Jean De La Fontaine Naïveté

mise en abyme, notamment lorsque Cléante et Angélique, deux amants, se jouent de la naïveté d'Argan, père d'Angélique : Cléante se fait passer pour maître de musique et chante avec Angélique leur propre histoire d'amour qu'Argan prend pour une pastorale ; l'histoire du berger Tircis et de la bergère Philis est en tous points similaire à celle de Cléante et Angélique. La mise en abyme permet ici de rire de la naïveté d'un père et de montrer l'habileté de la jeunesse rebelle ; elle participe du comique

Fables Jean de La Fontaine par YVES STALLONI Clefs d’analyse Livre premier Action et personnages 1. Dans la fable 1, lequel des deux personnages vous paraît le plus sympathique, et pourquoi ? Si l’on raisonne en termes de sympathie, la cigale entraîne, plus que la fourmi, notre adhésion : elle est gaie, joyeuse, fait preuve d’un réel amour de la vie et affiche une philosophie de nature épicurienne proche de nos modèles actuels. La fourmi, bien que travailleuse, sérieuse et prévoyante (qualités

spectateur (et/ou le personnage secondaire) le découvre donc avant eux, ou en même temps qu’eux, en sentant justement la valeur réelle des propos. (Il faut donc des acteurs très naturels, laissant comme filer malgré eux les propos). Pour le critique Jean Rousset, « Toute pièce de Marivaux est une marche vers l’aveu » et chaque acte s’organise autour d’une scène d’aveu finale qui marque une progression par rapport à l’acte précédent. Le rôle des acteurs témoins, à la fois spectateurs et auteurs,

films comme « 2001, l'Odyssée de l'espace » ou encore « Barry Lyndon » qui lui rapporta quatre Oscars : meilleure direction artistique et décors, meilleure photographie, meilleurs costumes, meilleur arrangement musical. Le tournage du film Pour Jean Tulard: «Kubrick apporte désormais un soin méticuleux au tournage de chaque plan, de chaque séquence de ses films. Adapté d'un roman de Thackeray, Barry Lyndon demandera plus de 300 jours de tournage. ». Stanley kubrick est une sénariste et un metteur

moyens d’éviter la guerre, mais face à la furie belliqueuse de Picrochole, il est contraint de mener une guerre défensive pour restaurer la paix. La troupe de Gargantua, aidée par l’énergique Frère Jean des Entommeures, remporte la victoire. La guerre finie, Gargantua offre en récompense à son ami Frère Jean des Entommeures l’étonnante abbaye de Thélème. Cette abbaye s’oppose en tout point aux abbayes de l’époque dans lesquelles régnaient l’ordre, la pauvreté, la chasteté et l’enfermement. A l’inverse

chaudronnier à qui il prête une vie secrète ; c'est aussi le regard curieux qu'il porte sur une mère omniprésente et une douzaine de frères et de soeurs. Mais c'est surtout, au bout de la rue, entre un mur et un pan de ronces, un endroit anodin que la naïveté de l'enfance rend magique : le champ de personne... (J’ai Lu, 375 pages). 2 Le livret de Famille, Patrick Modiano * Quatorze récits où l'autobiographie se mêle aux souvenirs imaginaires. L'auteur peint aussi bien une soirée de l'ex-roi Farouk

toujours important. Certains romans se concentrent sur des destins individuels : chercher dans les romans éponymes, Don Quichotte de Cervantès, Jacques le Fataliste de Diderot, Manon Lescaut de l’Abbé Prévost, La vie de Marianne de Marivaux, Pierre et Jean de Maupassant,Madame Bovary de Flaubert, Lucien Leuwen de Stendhal,Nana de Zola, Le Docteur Pascal Zola, Signé Parpot, Un Amour de Parpot, Parpot le Bienheureux d’Alain Monnier (extraits travaux d’élèves sur le site internet du lycée + extraits

connaît un rayon sur les bandits. » Rufus : « Plus tard, il sera jouer aux billes et il vient d'avoir un petit frère. » Texte adapté du scénario du film Le Petit Nicolas d'après l'œuvre de René Joachim : « Il aime beaucoup Goscinny et Jean-Jacques Sempé. et aussi… Papa : « Qui a peut-être voulu m'abandonner dans la forêt, comme le Petit Poucet. » Maman : « Qui a toujours voulu être maman. » M. Blédurt : Le Bouillon : « Notre surveillant général. Il a l'air très dur, mais

Seconde 2 Le roman et la nouvelle au XIXème siècle Présentation J’ai choisi d’analyser Pierre et Jean, de Guy de Maupassant. Maupassant pour son œuvre réduit le titre a trois mots : Pierre et Jean. On est tout de suite dans le vif du sujet et l’on attend avec impatience le dénouement de l’histoire. Ce titre pourrait faire penser aux titres de fables d’auteurs comme Jean De la Fontaine. Par les deux prénoms il introduit le fil conducteur de son œuvre qui semble se résumer à la description de

Les passions sont dominées par la raison. Mais selon Molière, en dépit de la faute originelle, l’homme peut faire qqch pour son salut. Il s’agit alors de l’optimisme auquel va s’opposer, vers le milieu du siècle, une attitude morale différente. La Fontaine et Molière ne croient plus au stoïcisme. Ils ne pensent pas qu’on puisse beaucoup compter sur l’homme, ni beaucoup lui demander. Ce serait une naïvité de croire qu’il est naturellement bon ou raisonable (l’infulence du courant libertin). Un pessimisme