Je l'aimais

qu'elle avait d'ailleurs. Je connais Bérénice et ne sais que trop bien que son cœur n'ait jamais. Voilà. Elle lui a demandé son cœur. Elle lui demande l'amour. Est ce qu'il va donner de l'amour ou pas ? Je l'aimais, je lui ai plu. Ah bon, Majid, voyons ou tu es Majid ? Regarde, je l'aimais, je suis plus. C'est quoi ça ? Bien sûr, il l'aime, il l'aime, il l'a toujours aimée. Est ce qu'elle a besoin d'autre chose ? Est ce qu'elle a besoin d'honneur ? Est ce qu'elle a besoin de concorde, de puissance

grandeur d'âme et la générosité . 2ème épisode: 1ère infidélité de Manon. Enlèvement de DG par son père. "Nous prîmes un appartement meublé à Paris..." (p.44 ou 64) "je trouverai des ressources" (= libéralités d'un nouvel amant, Mr de B...} "je l'aimais avec trop de simplicité "(=DG ne pouvant imaginer que Manon l'ait trahi, accuse son ami Tiberge, puis les voisins, de l'avoir dénoncé à son père.) Prévost ne parle jamais directement du caractère de Manon, c'est à travers le récit de DG que nous

elle avait donné naissance, et qui ne respira qu’après que la mère eut cessé de respirer, — son enfant, une fille, vécut. Et elle grandit étrangement en taille et en intelligence, et devint la parfaite ressemblance de celle qui était partie, et je l’aimai d’un plus fervent amour que je ne me serais cru capable d’en éprouver pour aucune habitante de la terre. Mais, avant qu’il fût longtemps, le ciel de cette pure affection s’assombrit, et la mélancolie, et l’horreur, et l’angoisse, y défilèrent

accueille avec empressement. Il se montre sincèrement ravi de revoir Ajax et Ulysse: « N'êtes-vous pas pour moi, malgré mon dépit, les plus chers des Achéens? » b. Il ressent du chagrin : il a perdu sa « douce épouse » (Briséis), « celle-là, je l'aimais, moi, du fond du coeur, toute captive qu'elle était » ; à la mort de Patrocle, son ami et compagnon, il est également profondément attristé. A cette occasion, il organise des jeux funèbres grandioses et distribue des prix de valeur en abondance

et qu’un maître puissent souhaiter. A l’un j’ai appris la nature des êtres, c’est-à-dire le pouvoir et le devoir, parce que son destin était de dominer le monde. A l’autre j’ai appris la nature des choses, c’est-à-dire le vrai savoir, parce que je l’aimais.»p.114↓ 4. Comment s’y prend-il pour réaliser ce projet? «Le peuple te suivra, car s’il lui importe de comprendre, il aime croire. Cependant dis-toi que tous ont le souffle court, que le dépassement et la foi sont peu durables et aisément renversés

vraiment que l’angoisse” P 163Description de son mari : “Toi aussi, tu m’as battue (…) Cela non plus, je savais qu’il ne le ferait pas (…) C’était un homme qui avait peur de tout (…) Il était encore plus avare que peureux, et c’est pourquoi je ne l’aimais pas” P 169“S’il ne l’a jamais fait, c’est pour ne pas se fâcher avec sa soeur Clémence qui a du bien de sa belle-famille et qui lui a promis l’héritage” O 170“A un moment, j’ai eu envie de rire en voyant que la vie continuait, qu’il n’était, pour

de sa chaise Pour lui parler le soir plus à mon aise. Que de printemps passés avec leurs fleurs ! Que de feux morts, et que de tombes closes ! Se souvient-on qu'il fut jadis des coeurs ? Se souvient-on qu'il fut jadis des roses ? Elle m'aimait. Je l'aimais. Nous étions Deux purs enfants, deux parfums, deux rayons. Dieu l'avait faite ange, fée et princesse. Comme elle était bien plus grande que moi, Je lui faisais des questions sans cesse Pour le plaisir de lui dire : Pourquoi ? Et par moments elle

forteresse et ma naïveté en chapelle. Je voulais que la vie me laisse intact alors que Maman, au péril de la sienne, était allée chercher ses proches aux portes de l’Enfer. Elle l’aurait aussi fait pour Ana et moi. Sans hésiter. Je le savais. Je l’aimais. Et maintenant qu’elle avait disparu avec ses blessures, elle nous laissait avec les nôtres. » 1J’ai choisi cet extrait car il met en avant la maturité de Gabriel et à quel point il remarque les efforts qu’à fait sa mère, ce qu’un enfant de 11 ans

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. « Pourquoi m'épouser alors ? » a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs, c'était elle qui le

revenait triste et les yeux cernés (with shadows under the eyes) le lundi matin en maudissant (maudir: to curse) les distances et le zèle (diligence) des contrôleurs (contrôleur,euse: conductor). Plutôt Arlequin que golden boy, c'est vrai. Comme je l'aimais, je négligeais mes études et comme je foirais (rater) mes études, entre autres flottements (un flottement: hesitation), elle m'a abandonné. Elle devait penser que l'avenir étais trop...incertain avec un type dans mon genre. Quand je lis mes relevés