Je l'aimais

l'oubli de soi-mème de deux individus qui ne forment plus qu'une seule entité. II/ Une amitié prédestinée : ligne 8 à 26 -Montaigne se concentre ensuite sur le cas plus particulier de son amitié avec La Boétie et sur ses origines ("pourquoi je l'aimais"). Le fait que son ami ne soit pas nommé explicitement mais seulement désigné par "l'" souligne l'exclusivité du lien qu'il partageait avec lui: La Boétie est l'ami par excellence, qui sert de fondement aux théories de l'auteur sur l'amitié véritable

pleurer. C’est tellement dur… Sarah se rapproche de moi et me prends dans ses bras. Puis je commence a me calmer. « - C’est Audrey…  -Tu la connais ? -Oui… Elle… C’est mon ex… Je l’ai quitté mais je ne m’étais pas rendu compte a quel point je l’aimais… Quand je m’en suis rendu compte, il était déjà trop tard… Elle était partie… » Pendant que je lui racontais tout, je sentais ces bras ce resserrer autour de moi. Je recommençais a pleurer. On est resté comme ça bien 5 minutes. Elle essayait de

seul mais cette fois c'était dans ma voiture. Je me dis j'allais mettre l'argent à la banque comme prévu, et que la vie allait reprendre son court. Ce cour de vie que l'on appelle normal. Ce genre de vie que je trouve insupportable. Avant je l'aimais cette vie. Mais maintenant je veux changer, car je connais tout ça. Et je n'aime plus cette vie. Je suis là à ne rien faire. Mais pourtant, je suis jeune, je suis en bonne santé, et je suis en possession de Trois Milles Euros. Sans hésiter je changea

mentir même aux derniers moments de sa vie, c'est pourquoi il est hors jeu. Meursault préfère dire la vérité quitte à blesser les gens. Marie est chez Meursault. Alors qu'ils préparaient le déjeuner, (p.39) « un moment après, elle lui a demandé si je l'aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire, mais qu'il me semblait que non ». ici Meursault ne répond pas de manière adéquate, il blesse Maris mais de son côté, il n'a pas menti. La coutume veut que les gens cachent leurs vrais sentiments afin

lui donner, je restais avec elle un petit peu. Je remontais, je m'occupais des trois enfants. Le soir quand tout le monde dormait je me couchais à côté d'elle, je lui parlais, je mettais de la musique, elle avait des câlins, je lui disais que je l'aimais, j'essayais de jouer avec elle, on avait une relation particulière".  "Pour moi, je ne l'ai jamais maltraitée, je ne pouvais pas m'en occuper comme je me suis occupée de mes trois premiers enfants, mais j'ai essayé de la maintenir en vie". 

aller et lui dit “Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t'en aller, c'est que je t'aime. [...] Avant toi, j'étais heureuse, je croyais aimer mon fiancé. Je lui pardonnais de ne pas bien me comprendre. C'est toi qui m'as montré que je ne l'aimais pas. Mon devoir n'est pas celui que tu penses. Ce n'est pas de ne pas mentir à mon mari, mais de ne pas te mentir. Va-t'en et ne me crois pas méchante ; bientôt tu m'auras oubliée. Mais je ne veux pas causer le malheur de ta vie. Je pleure, parce

autre monde. Brodeck est malheureux, même s’il en est amoureux « C’est grâce à elle que je n’ai pas sombré jadis. C’est à elle que je songeais à chaque minute, lorsque j’étais au camp ». De plus il est là pour elle « J’ai dit à son oreille que je l’aimais et que je l’aimerai toujours, que j’étais là, pour elle, tout contre elle ». Arrive un jour au village, un homme étrange, l’Anderer. C’est l’appellation qu’on lui donne : « Ne me demandez pas son nom, on ne l’a jamais su » nous livre Brodeck

elle ce refuge dans un couvent avec la tristesse de la perte de son mari. Quatorze ans plus tard, elle constata que tout le long qu’elle était en amour avec Christian, elle était réellement en amour avec Cyrano. Lorsque Christian a su que Roxane l’aimais, il devient heureux soudainement et voulu l’admettre ses sentiments vers elle mais il ce décourage tout de suite en disant : « Roxane est précieuse et surement je vais désillusionner Roxane! » (Rostand, E. Cyrano de Bergerac, Acte II, scène X) ce

Comme au beau temps de notre ivresse, J’implorai d’elle un rendez-vous, Le soir, sur une route obscure. Elle y vint ! - folle créature ! Nous sommes tous plus ou moins fous ! Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée ! et moi, Je l’aimais trop ! voilà pourquoi Je lui dis : Sors de cette vie ! Nul ne peut me comprendre. Un seul Parmi ces ivrognes stupides Songea-t-il dans ses nuits morbides À faire du vin un linceul ? Cette crapule invulnérable Comme les machines de fer

- C’est vrai ?! - Bien sûr que non ! Je disais ça pour voir si tu suivais. Je ne suis quand même pas aussi vieille ! - Excusez-moi… - Tais-toi et ne m’interrompt plus maintenant. « Tout a commencé le jour où j’ai quitté mon mari parce que je ne l’aimais plus. J’avais 25 ans, j’étais encore jeune alors j’ai voulu recommencer ma vie à zéro. Le 23 mai 1958, avec pour seul bagage mon baluchon, j’ai tout quitté et ai pris un billet d’avion pour une destination au hasard. Le vol s’était très bien passé