Mélancholia, victor hugo
Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?
Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?
Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules ;
Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement
Dans la même prison le même mouvement.
Accroupis sous les dents d’une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre,
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,
Ils travaillent. Tout est d’airain, …afficher plus de contenu…
Le champs lexical de la maladie et de la mort "Rachitisme" "souffle étouffant" "tue" montre encore une fois les conséquences du travail sur les enfants. Le travail est sujet du verbe tue. Le chiasme " La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensées " est le compléments d'objet direct du verbe tue. Hugo démontre donc que le travail des enfants tue la beauté et la pensé. pour finir l'antithèse entre "richesse " et "misère" enforce cette idée de la comparaison entre l'enfant et l'outil " qui ne sert d'un enfant ainsi que d'un outil".
Conclusion
En conclusion nous pouvons retenir que ce poème fait bien partie de l'œuvre qui montre une partie de sa vie durant laquelle il évoque son engagement et son combat contre les injustices sociales. De plus …afficher plus de contenu…
Il a été écrit en 1856 par Victor
Hugo qui est le chef de file du romantisme, mouvement littéraire du 19ème siècle.
Dans ce poème, l'auteur nous évoque sa première histoire d'amour avec une jeune fille du nom de "Lise" . Le poète y décrit cette relation pure et innocente et considère cet amour enfantin d’un point de vue adulte. De plus il nous partage sa réflexion nostalgique sur ce souvenir amoureux.
Problématique :
J'avais douze ans ; elle en avait bien seize.
Elle était grande, et, moi, j'étais petit.
Pour lui parler le soir plus à mon aise,
Moi, j'attendais que sa mère sortît ;
Puis je venais m'asseoir près de sa chaise
Pour lui parler le soir plus à mon aise.
Que de printemps passés avec leurs fleurs !
Que de feux morts, et que de tombes closes