Je l'aimais

qui il me trompé. Bizzarement, ou plutot aveuglé par l’amour, je niais tout. Le fait d’être trompé, mais pourtant je le savais.. Je voulais juste ne pas y croire. Le fait qu’il ne m’aimait que pour mon corps, et pour rien d’autre.. Malgrès sa, je l’aimais et j’en étais complétement folle. Mais depuis cette rupture, car oui, il y a eu une rupture. Là où j’ai ouvert les yeux, où je me suis dit que ce n’étais plus possible ainsi, que je n’en pouvais plus. Malgrès mon amour pour lui, je l’ai quitté..

silencieux étouffa le bruit du coup de feu. Les gouttes de sang éclaboussèrent les cierges. Devant Dieu, je mourrais en souriant… J’entendais les sirènes qui se rapprochaient… Je revoyais ma femme préparant le dîner, m’attendant avec impatience… Je l’aimais tant, j’aurais juste aimé pouvoir lui donner un enfant… Un rideau noir s’abaissa ; je ne vis plus rien ; j’entendais juste les pas de Jean fuyant, poussant les portes de l’église… Puis, un échange de coups de feu. Et enfin, plus rien… Je revoyais

terrifiaient en disant qu’ils vont me traîner par terre et me bannir si je refusais de me marier à cet homme. J’étais pour lui une aventure à vivre mais je n’en avais aucun choix juste de patienter et de vivre dans ce foyer que je détestais. Pourtant je ne l’aimais pas, lors d’une relation sexuelle je fermais les yeux. Il me dominait, je devais le suivre sans opposition. Après des années, j’ai découvert qu’il n’a pas pu effectuer l’acte de mariage, ni enregistrer les enfants dans le livret d’état familial

pourquoi, et elle me répondit que j’étais un maître, un blanc. Lorsqu’elle me dit cela, j’eus mal au cœur. Mon bras tomba comme s’il n’avait plus de force. Ne me contrôlant plus, je me mis à lui dire toutes sortes de choses. Je lui racontai que je l’aimais dès le premier jour et que si je ne pouvais la voir, j’en mourrais. Elle dût avoir peur en entendant mes paroles car elle se jeta sur le sol et prononça des paroles incompréhensibles. Je m’approchai d’elle et la relevai. Elle me regarda et me dit

Jean-Jacques Rousseau - Les contes de Perrault - Les Arthur de Luc Besson - Le Guépard de Di Lampedusa - Pierre et Jean de Maupassant - Oedipe sur la route de Henry Bauchau - Antigone de Henry Bauchau - Le portrait de Dorian Gray de Wilde - Je l'aimais de Anna Gavalda - Le temps des secrets de Marcel Pagnol - L'élégance du hérisson de Muriel Barbery - Les faux monnayeurs d'André Gide - Mémoire d'une jeune fille rangé de Simone de Beauvoir. - Jacques le fataliste et son maître de Diderot.

charger entre autre, de représenter ses propres sentiments envers les femmes et sa fidélité inflexible à ses principes. Rappelons-nous les sentiments de Marie pour Meursault dans ce récit et ce qu’en pense ce dernier : « …elle m’a demandé si je l’aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire… » (L’Etranger, p. 39) […]  « Le soir, Marie est venue me chercher et m’a demandé si je voulais me marier avec elle. J’ai dit que cela m’était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait

terrifiaient en disant qu’ils vont me traîner par terre et me bannir si je refusais de me marier à cet homme. J’étais pour lui une aventure à vivre mais je n’en avais aucun choix juste de patienter et de vivre dans ce foyer que je détestais. Pourtant je ne l’aimais pas, lors d’une relation sexuelle je fermais les yeux. Il me dominait, je devais le suivre sans opposition. Après des années, j’ai découvert qu’il n’a pas pu effectuer l’acte de mariage, ni enregistrer les enfants dans le livret d’état familial

profondément, sans le savoir au début, puis passionnément sans être payé de retour autrement que par une sincère amitié et une estime constante voit cette jeune fille devenue Mme de Nièvres lui échapper complètement [« Madeleine était perdue pour moi et je l'aimais »]. Quand il était en sa présence, cela tenait pour lui d'une apparition, d'un moment de félicité et il ne savait pas, compte tenu de ses sentiments, s'il était « torturé ou ravi », ce qui n'était pas sans provoquer chez lui des maladresses. Il est

-Monsieur Hamil, est ce qu’on peut vivre sans amour ? -Oui -Je me suis mis à pleurer. » (p 12, L 7) « ce chien. Je me suis mis à l’aimer comme c’est pas permis. » (p 25, L 1) « Je voyais bien qu'elle ne respirait plus mais ça m'était égal, je l'aimais même sans respirer. » (p 268, L 20) « Madame Rosa … est la seule chose que j’ai aimé ici » (p 235, L 29) « on ne peut ne pas vivre sans quelqu’un à aimer » (p 273, L24) La peur est un thème moins présent, moins tenu que celui de l’amour mais

de sa chaise Pour lui parler le soir plus à mon aise. Que de printemps passés avec leurs fleurs ! Que de feux morts, et que de tombes closes ! Se souvient-on qu'il fut jadis des coeurs ? Se souvient-on qu'il fut jadis des roses ? Elle m'aimait. Je l'aimais. Nous étions Deux purs enfants, deux parfums, deux rayons. Dieu l'avait faite ange, fée et princesse. Comme elle était bien plus grande que moi, Je lui faisais des questions sans cesse Pour le plaisir de lui dire : Pourquoi ? Et par moments elle