Je l'aimais

Comme au beau temps de notre ivresse, J'implorai d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route obscure. Elle y vint ! - folle créature ! Nous sommes tous plus ou moins fous ! Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée ! et moi, Je l'aimais trop ! voilà pourquoi Je lui dis : Sors de cette vie ! Nul ne peut me comprendre. Un seul Parmi ces ivrognes stupides Songea-t-il dans ses nuits morbides A faire du vin un linceul ? Cette crapule invulnérable Comme les machines de fer

son ami est une ultime forme de dialogue entre les deux intellectuels. 3. Les points communs entre cette amitié et l’amour Cette relation ne s’apparente t’elle pas à de l’amour, tout simplement ? C’est ce que tend à prouver le lexique : « je l’aimais », « nous nous embrassions » et surtout « union », qui est un terme très fort pour une amitié. De même, le thème de la première rencontre est largement développé, comme dans tout bon récit romanesque d’une histoire d’amour, et la fulgurance de

Julien Sorel : un jeune homme ……Julien Sorel est né en tant que fils de charpentier et meurt en tant que Monsieur le chevalier Julien Sorel de La Vernaye. Madame de Rênal et Mademoiselle Mathilde de La Mole, ses deux conquises, vont nous raconté l’histoire de notre cher précepteur et nous expliqué les relations qu’ils entretenaient durant sa vie. Durant le règne de Charles X, Julien Sorel habite durant la majeure partie de sa vie à Verrières qui se situe dans le Franche-Comté et va servir les de

sociales qui font qu’il ne se rend pas compte du mal qu’il peut faire à ceux qui eux, donnent un sens à leurs vies, comme lors d’une nuit avec Marie par exemple « Quand elle a ri, j’ai eu encore en4 - vie d’elle. Un moment elle m’a demandé si je l’aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire, mais qu’il me semblait que non. Elle eu l’air triste. » Tout ces petits détails aussi anodins soient ils, transcendent l’absurde par lequel la vie de Meursault se laisse guider de manière inconsciente

exemple : " Je veux te raconter, ô molle enchanteresse ! Les diverse beautés qui parent ta jeunesse ; "( Baudelaire, Le beau navire) Assonance = homophonie de la dernière voyelle accentuée : exemple : " Et je l'aimais comme j'aime se son Au creux duquel rajeunirait le monde Ce son qui réunit quand les mots divisent, Ce beau commencement quand tout finit " ( Y. Bonnefoy, La voix

Meursault accepte indifféremment. À Cause de sa réaction, elle lui questionne sur leur amour en lui demandant s’il l’aime. « J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, » réponds-il, « que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas » (Camus, 69). Tout au long du roman, Meursault semble détaché de Marie, comme si elle n’était rien de plus qu’un objet. Il est à la recherche de sa propre identité et il ne s’intéresse pas aux conformités de la société comme les relations amoureuses

place, je ne voulais pas sa veste, je voulais ses bras. Je crois qu’il l’avait bien compris. Je me levai et il suivit le mouvement. - Allez viens là, dit-il, tout en me prennant dans ses bras. Ce fût le moment le plus intense de toute ma vie ! Je l’aimais tellement et j’avais tellement envie d’être dans ses bras et maintenant que j’y étais je ne le lâcherais plus. Il mit un terme à cette étreinte mais nous recommençâmes à plusieurs reprises. Il était différent quand nous étions que les deux. Il était

fait pleurer... Elle me laisse et se met à côté d'elle... Et dire que j'ai trahi la moitié de mes amis pour cette fille... Je désespère, je ne fait rien pendant ces quatres heures... La prof, elle, a tout compris... Notre prof savais que je l'aimais, elle savais qu'on se copiais dessus... Surement savais elle aussi que je me faisais manipuler... Au bout de deux heures de cours, Jade -c'est le nom de mon amie- se met à crier : "Et Seb, où il est??" J'étais content parce qu'elle se préocupait

laquelle nos âmes s'entretiennent3 . En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant: « Parce que c'était lui; parce que c'était moi. » Il y a, au-delà de tout mon discours et de ce que j'en puis dire particulièrement, ne sais quelle force inexplicable et fatale4, médiatrice

chaise  Pour lui parler le soir plus à mon aise. Que de printemps passés avec leurs fleurs !  Que de feux morts, et que de tombes closes !  Se souvient-on qu'il fut jadis des coeurs ?  Se souvient-on qu'il fut jadis des roses ?  Elle m'aimait. Je l'aimais. Nous étions  Deux purs enfants, deux parfums, deux rayons. Dieu l'avait faite ange, fée et princesse.  Comme elle était bien plus grande que moi,  Je lui faisais des questions sans cesse  Pour le plaisir de lui dire : Pourquoi ?  Et par moments