Je l'aimais

tout ceci est « inexplicable ». Hélas, l’amitié passionnée n’a duré que quatre ans : « ayant si peu à durer : et ayant si tard commencé », l’opposition imparfait/ présent renforce encore ce sentiment éphémère « Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais je sens que cela ne peut s’exprimer qu’en répondant : parce que c’était lui : parce que c’était moi » Ce parallélisme qui est un alexandrin césuré à son hémistiche donne une définition très noble et précise de ce qu’est l’amitié. La construction

réconcilier Comme au beau temps de notre ivresse, J'implorai d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route obscure. Elle y vint ! - folle créature ! Nous sommes tous plus ou moins fous ! Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée ! et moi,  Je l'aimais trop ! voilà pourquoi Je lui dis : Sors de cette vie ! Nul ne peut me comprendre. Un seul Parmi ces ivrognes stupides Songea-t-il dans ses nuits morbides A faire du vin un linceul ? Cette crapule invulnérable Comme les machines de

mariage« « Pourquoi m’épouser alors ? » » puis « « Tu ne veux pas savoir ce que j’ai à faire ? » » elle est dépitée, cela sonne comme un reproche. b. La recherche des sentiments et de la vérité par Marie. l.3 « Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. » outre l’espoir d’une vie normale il y a le désir de s’assurer de ses propres sentiments et de ceux de Meursault. Elle ajoute qu’elle l’aime peut-être pour sa bizarrerie et ne peut plus l’aimer pour la même raison. c. Les réticences de Marie

(Raymond) « Allons, dis-je doucement, c’est vous qu’il (Raymond) aime, Elsa ! » concernant Cyril : (chapitre III) Anne va s’opposer à sa demande en mariage (à Cécile). Cécile ne veut pas épouser Cyril. « Je ne voulais pas l’épouser. Je l’aimais mais je ne voulais pas l’épouser. » « Anne ne voudra pas, dis-je. Elle prétend que je ne suis pas adulte. Et si elle dit non, mon père le dira aussi. » Elsa passe à la villa simplement pour reprendre ses affaires... Mais Cécile lui expose alors

j’étais de la famille j’avais dit non et m’on refuser l’entrée, j’étais frustrée, j’avais l’habitude de venir ici et ils ne m’ont jamais refusé l’accès. Arriver chez moi la mère de Gregory était là je me précipite vers elle pour l’embarrasser, je l’aimais tellement elle était tellement gentille, pis après je lui dis comment fâcher j’étais car l’hôpital m’avait refusée l’accès pour aller voir Gregory, elle commença à pleurer, c’est à ce moment que j’ai compris qu’il n’y avait plus de Gregory. » J’arrêtais

bonheur. T’es une perle, tu sais t’es rare..je crois que je t’aime ect.. & malgré tout se que l’on en pense moi je kiff ma préférence ! J’aurais tant à lui dire si j’vais su parler ; comment lui faire lire le fond de mes pensées ? Je l’aimais…& pourquoi ai-je tant de mal a conjuguer ce verbe à l’imparfait ? Un seul être vous manque & tout est dépeuplé. Tu vis dans mon cœur, même si tu crois exister ailleurs - J'aimerais bien, je sais pas si tu veux mais si tu pouvais un peu

inexplicable et fatale, médiatrice (Qui a servi d’intermédiaire dans) de cette union ». Cette amitié est comme un défi au langage l.7-8 «  Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne peut s’exprimer qu’en répondant : ». On a l’impression que c’est seulement 25 ans après cette rencontre que Montaigne peut tenter d’approcher l’inexplicable l.9 « Parce que c’était lui ; parce que c’était moi ». Il met lui-même

commissaire leur donna une feuille, sur laquelle étaient expliquées en détail les analyses effectuées sur cet objet. Les empruntes de Monsieur Rubino étaient présentes sur l'arme du crime. John dit « Jamais je n'aurai pu tuer ma mère, c'est impossible je l'aimais plus que tout au monde. » Tout à coup, il changea de comportement, et devint complètement fou, il hurlait, tapait sur la table de toutes ses forces. Il fut placé en cellule. Par moment il était calme et même triste. Une heure après il redevint méchant

par galanterie ou timidité ! c’est parce que cette hypothèse-là ou son contraire (ne pas se marier) lui sont égales. Même savoir s’il aime Marie ou pas lui est indifférent ! Il n’en est même pas sûr : «  sans doute je ne l’aimais pas ». Pourtant, Meursault n’est ni bête ni confus, au contraire. Il fait preuve d’acuité et de précision  : les verbes qu’il emploie le prouvent : « je lui ai expliqué », il souligne qu’il s’est déjà

s'entretiennent( se maintiennent ensemble) . En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant: « Parce que c'était lui; parce que c'était moi. » Il y a, au-delà de tout mon discours et de ce que j'en puis dire particulièrement, ne sais quelle force inexplicable et fatale( voulue