Je l'aimais

réchapper Me bout serait ma fin ? ________________________________________________________________________________ Hélios Elle fut ma lumière, Elle fut mon bonheur, Elle qui me réchauffait le cœur, Elle qui était comme une mère. Je l'aimais dès le premier jour Mais ne me rendis pas compte de cet amour Et quand vînt la révélation Le lui révéler, je ne le pus. Larmes à l'œil par tant de faiblesse Je pris les armes pour ma déesse Et elle m'accueilli avec tendresse Le mal qui

lui fait avouer à son insu mais toujours implicitement son amour pour Rodrigue. Ceci est démontré dans l‘acte final, à la 6ème scène: tout les sentiments qu’elle éprouve et qu’elle éprouvait pour Rodrigue éclate au grand jour au vers 1725: « Je l’aimais vous l’avez su, », au vers 1728 à 1730 « Comme j’ai fait céder […] amante affligée ». Alors par ces aveux Chimène est obligé d’assumer son amour pour le héros. Ceci nous ramène au dilemme cornélien du dramaturge, avec le thème principal qui oppose

dépit lié à l'amour, mis en évidence à la rime " déclarer/pleurer ". L'amour n'apporte pas la joie mais la douleur. expression lyrique de l'amour par l'anaphore des " je " pendant six vers (v. 21 à 26) qui culmine dans le vers conclusif : " je l'aimais à Lesbos, et le l'aime en Aulide " où répétition et parallélisme des constructions insistant sur la profondeur de l'amour + temps : durée du sentiment. Naissance de l'amour exprimée dans un récit où les étapes progressives du sentiment révèlent

choix et de prise de position de l’auteur : utilisation de modalisateurs, de connotations, mentions elliptiques. Dans ce texte, nous ne trouvons pas seulement le discours argumentatif de l’essayiste, mais aussi le champ lexical de l’affection : « je l’aimais », « nous nous embrassons par nos noms »l11 2. Une union fusionnelle Pour expliquer cette amitié et nous persuader de son caractère exceptionnel, fusionnel, Montaigne a recours aux métaphores en utilisant le champ lexical du liquide : au contraire

bien dans ses réponses. La négation : Meursault est un personnage dessiné négativement ; on ne connaît de lui que son indifférence aux jugements de valeur, exprimée sous une forme toujours négative : « cela ne signifiait rien », « sans doute je ne l'aimais pas », « cela n'avait aucune importance »... Meursault rejette tout dans le néant : le mariage, l'amour, les différences, alors que pour Marie le mariage est un engagement, une preuve d'amour, et non une formalité. Le mariage est un ancrage social

J'eus beau lui crier : Monsieur ! Point de nouvelles, il n'y avait personne au logis. A la fin, pourtant, il revint à lui avec un air égaré ; je le jetai dans une voiture, et nous retournâmes à la maison. J'espérais que cela se passerait, car je l'aimais : c'est le meilleur maître ! Point du tout, il n'y avait plus de ressource : ce bon sens, cet esprit jovial cette humeur charmante, vous aviez tout expédié ; et dès le lendemain nous ne fines plus tous deux, lui, que rêver à vous, que vous aimer

laquelle nos âmes s'entretiennent1. En l'amitié de quoi je parle elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel, qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer, qu'en répondant : « Parce que c'était lui ; parce que c'était moi. » Il y a au delà de tout mon discours, et de ce que j'en puis dire particulièrement, ne sais quelle force inexplicable et fatale2, médiatrice

n’aime plus Clairville. Elle utilise à plusieurs reprises des verbes conjugués au passé, notamment « aimer », afin d’insister sur le fait que cette histoire d’amour est définitivement terminée et appartient au passé : « je ne l’aime plus »(l.5), «Je l’aimais ; j’ai cessé »(l.9), « J’aimais Clairville »(l.21). Les deux personnages utilisent un vocabulaire qui rend cette perte d’amour un événement réellement tragique, notamment ; « froideur »(l.4), « horrible disgrâce »(l.8), « bien malheureux »(l.11)

nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle! Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira

qui lui sont attribués. 3. … inspire de la pitié au lecteur. Le fait que l’héroïne souffre d’un amour non-réciproque, et de plus qu’ elle culpabilise car elle n’aime pas un « gentil » homme inspire de la pitié au lecteur. Puis, le v.34 « Je l’aimais à Lesbos, je l’aime en Aulide. » est une anaphore assez contradictoire des vers précédents puisqu’elle ne voulait pas avouer qu’elle l’aimait et avait plutôt honte. Elle ne paraît donc pas sûre d’elle et assez perdue dans ce qu’elle ressent. Il y