Je l'aimais

que pour le social. Je l’admirais et je voyais en elle une sorte de ces héroïnes prêtes à tout pour gagner leur bataille bien évidemment elle n’avait pas conscience de cette chose en elle, elle ainsi que moi-même n’étions que des adolescents. Je l’aimais et je ne savais pas l’empêcher de se détruire dans l’alcool et sa méchanceté apparente. Elle essayait juste de se protéger cependant cette agressivité verbale l’isolait du reste du monde. Je la suivais de loin dans ses débauches n’y prenant pas part

de son enfance. Ainsi, les descriptions se situent souvent dans celles-ci. Dans cet extrait l’église de Combray remplace le rôle des chambres, elle est le lieu où il se sent de chez-soi, elle est de lui-même. « Que je l’aimais, que je la revois bien, notre église ! », « […] à l’un de ces rares moments où l’église aérée, vacante, plus humaine, luxueuse, avec du soleil sur son riche mobilier, avait l’air

sûr de moi, une balle restait, elle n'aurait donc pas suffit pour tuer mes deux cibles. Le choix devait être quasi instantané : ma femme ou ma belle-mère ? Pas d'hésitation, l'amour que ma femme me portait l'empêcherait de me dénoncer. Et puis le l'aimais aussi. Ma décision était prise : je repoussais alors ma belle-mère, la faisant trébucher sur la table de chevet et lui portais un coup fatal. La dernière balle pointait au bas de son front, à égale distance de ses deux yeux, belle figure géométrique

voyais pas de raison de changer ma vie. Il m'a dit, mécontent, que je n'avais jamais d'ambition. Le soir, Marie m'a demandé si je voulais l'épouser. J'ai dit que cela m'était égal, qu'on pouvait se marier si elle le voulait, même si sans doute, je ne l'aimais pas. Moi, je me contenterais de dire oui. Plus tard, je me suis retrouvé seul chez moi, n'ayant rien à faire, n'ayant pas sommeil, avec Salamano pleurant son chien disparu. C'est à la mort de sa femme qu'il avait demandé un chien. Ensemble, ils avaient

mousse. Vers ces couchants de rêve où le soleil s’endort, Pour voir plus clair, plus loin, tu sembles faire effort. Il est couché, là-bas, au fond du cimetière, Celui qui t’aime encore autant que tu l’aimais. Petite maison vieille, au chapeau de poussière, Celui qui t’aime encore autant que tu l’aimais, L’absent, tant regretté, ne reviendra jamais. Alfred de Musset (1810-1857) est un poète et dramaturge français du 19ieme siècle. Ce poème est extrait du recueil « Poésies nouvelles »

je vis les autres me regarder avec une gêne polie. - A chaque pays ses manières de table, balbutiai-je. Vous venez de découvrir les Belges. » (Page 21) « Je l’aimais beaucoup. On ne peut pas dire cela à son amoureux. Dommage. De ma part, l’aimer beaucoup, c’était beaucoup. C'était parce qu'il n'y avait pas de mal en lui que je l'aimais beaucoup. C'était à cause de son étrangeté au mal que je n'avais pas d'amour pour lui. » (Page 55) « Etre Zarathoustra, c'est avoir à la place des pieds des

(L.115). Elle ne sait pas où elle en est et s'en réfère à la marquise, qui, dans sa réponse, la manipule en l'encourageant à continuer avec Valmont. Sa naïveté l’amène à penser qu’elle aime Valmont: «Il y avait des moments où j’étais comme si je l’aimais…» (L.97). De retour à Paris, elle continue, sans résister, à voir Valmont et fait une fausse couche en tombant. Le stratagème de Merteuil et Valmont étant découvert, elle retourne, honteuse, au couvent sans même alerter sa mère. Analyse : Cécile

jeté souvant des coups d'oeil. Jane resta seule au salon avec Mr Bingley. Quand elle sorti du salon elle confia à Elisabeth qu'elle allais ce marier avec Mr Bingley. Tout le monde est ravis. Il lui avais expliquer que quand il est parti à Londres il l'aimais toujours. Lady Catherine ce rendis à Longbourn pour voir Elisabeth elle lui demanda si elle est fiancer à Mr Darcy. Lady Catherine veut que son neveu ce mari avec sa fille miss de Bourgh elle veut qu'Elisabeth lui promette de ne pas épouser Mr Darcy

1) Quand j'étais enfant, j'habitais avec ma famille dans une toute petite maison située dans la banlieue de Paris. Je l'aimais beaucoup, car tout autour il y avait un petit jardin où je jouais toute la journée avec mes amis. Mais un jour, mon père a pris la direction de la filiale de Nice et toute ma famille a dû le suivre dans le Sud de la France. Mes parents ont acheté un très bel appartement, grand et spacieux en plein centre de Nice. Moi, j’étais triste, car je pensais à ma petite maison

et la bonne odeur qu'il y avait à cet endroit. Ce fut sur ce même lieu, dix mois auparavant, que j'avais rencontré Thomas un jeune homme métropolitain de vingt ans qui travaille ici comme ouvrier sur la balance. Lui et moi étions en couple et je l'aimais plus que tout au monde. Ce fut le premier amour de ma vie … Dès que Thomas avait fini sa journée de travail à dix sept heures, nous nous retrouvions tout le temps dans un coin près d'une petite cabane abandonnée en face de la balance sur un petit