Je l'aimais

1ére texte Les deux pièces du rez-de-chaussée étaient occupées par la Chouafa principale locataire. Au premier étage habitaient Driss El Aouad, sa femme Rahma et leur fille d'un an plus âgée que moi. Elle s'appelait Zineb et je ne l'aimais pas. Toute cette famille disposait d'une seule pièce, Rahma faisait la cuisine sur le palier. Nous partagions avec Fatma Bziouya le deuxième étage. Nos deux fenêtres faisaient vis-à-vis et donnaient sur le patio, un vieux patio dont les carreaux

savoir. Il prend tout au long de sa vie de nombreuses notes sur différents thèmes. Nombreuses références grecques et latines. Modernité de ses idées > due à son père et à son éducation; ex : idées sur l’éducation. “Si on me demande pourquoi je l’aimais, je répondrais : parceque c’était lui, parceque c’était moi.” Nombreuses parutions et édition. > ajout, changement d’avis = changement perpétuel, l’homme est en perpétuel mouvance. > le corps change comme l’esprit. “L’univers est une branloire

No joy without annoy.No joy without annoy. Prologue Je la regardai à nouveau, je ne l'aimais pas, vraiment pas. Elle était tout ce que je détestais, belle, intelligente, intéressante. Tout ce qu'il aimait. Ses longs cheveux blonds tombaient sur son dos et elle passait ses doigts dedans, voulant avoir toute l'attention du garçon. Je la regardais une dernière fois, fronçant mon pauvre petit nez qui avait été malmené avec toute la haine que je portais à la blonde, et je pris le chemin de la scène

universel » (l.3-4). Modalisateurs de la subjectivité «  je crois », « je sens » et une forte présence de la première personne « je, me, moi, mienne ». Un champ lexical de l’affection très présent, l’évocation de sentiments forts et tendres «  je l’aimais », « union », « affection ». L’auteur fait appel aux sentiments à un engagement personnel et affectif pour Boétie. Une amitié rapide entre les deux hommes « elle n’avait pas à perdre de temps » (l.18), à cause de la mort prématurée

sous forme d'argent et de propos intimidants pour les gardes. On devine la passion amoureuse du couple."Nous prîmes un appartement meublé à Paris..." (p.44 ou 64) "je trouverai des ressources" (= libéralités d'un nouvel amant, Mr de B...} "je l'aimais avec trop de simplicité "(=DG ne pouvant imaginer que Manon l'ait trahi, accuse son ami Tiberge, puis les voisins, de l'avoir dénoncé à son père.) Prévost ne parle jamais directement du caractère de Manon, c'est à travers le récit de DG que nous

rouges marqué de fatigue exprime une tristesse remarquable. SA MERE : Ton père me manque à moi aussi. OSKAR ravalant sa salive avec ironie :Vraiment ? SA MERE exaspéré par incompréhension de son fils : Oui vraiment. Il étais mon mari et je l'aimais. OSKAR avec une moue entre le regret et le dédain : Tu ris, moi je ne rie pas. Si il te manquait réellement tu ne rirait pas. En se levant et tournant le dos à sa mère : Et tu ne gaspillerai pas ton temps avec cet homme... Ron... en baissant

mais je devais lui dire. Je devais lui dire que les sentiments que j’éprouvais pour lui n'étaient plus ceux d'il y a quelques semaines encore même si j'en savais la conséquence, même si je savais ce qu'il allait se passer en lui révélant que je ne l'aimais plus.En effet, j'ai vue des le départ que Don José n'était pas comme moi. J'ai vite compris que lui et moi n'avions pas la même conception de l'amour, pourtant, cela ne nous a pas empêcher de le vivre ensemble même si cela n'a durer qu'un cours instant

ne passait sans qu'une de mes pensées ne s'adressent à lui.. Son visage, sa voix, ses mains, ses traits, tout m'envoûtait. J'aimais poser ma tête contre son torse et entendre battre son coeur. J'aimais me plonger dans son regard et lui dire que je l'aimais simplement avec mes yeux. Ma bouche s'interdisait à lui dire, mon regard lui, ne faisait que lui crier. Je n'avais de yeux que pour lui. Ce fût mon grand Amour durant deux ans. Maintenant, je ne le vois plus, n'ai plus de nouvelles de lui, une partie

en faisant comprendre à Meursault : « Je ne pouvais en appeler à ce cœur humain dont j’ignorais les réactions élémentaires » (p. 155). Ceci n’est pas faux Meursault semble ne pas croire, ni être, en l’amour : « […] elle (Marie) m’a demandé si je l’aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire, mais il semblait que non. Un autre trait très important de sa personnalité est son constant détachement vis-à-vis ce qui lui arrive ou ce que les autres font. Par exemple, lorsque son patron lui propose

que l’amour échappe à la raison. L’amour est ce qui reste, finalement, quand, ayant fait abstraction de ces qualités qu’on affectionne chez l’autre, il reste comme de l’attirance. Ainsi dit Montaigne : « Quand on me presse d’expliquer pourquoi je l’aimais, je ne sais que répondre si ce n’est : parce que c’était lui, parce que c’était moi », en parlant de son ami, La Boétie.