Je l'aimais

repartir. Mais quelque chose en elle n'allait pas, j'avais l'impression que ce n'était plus la même, qu'elle voulait me faire du mal. Je l'ai baisée. Je lui ai fait croire que je me vidais les couilles alors que j'avais envie de lui crier que je l'aimais. Puis je lui ai expliqué que j'étais fou amoureux de Diane, qu'elle était l'amour de ma vie, la mère de mes enfants et d'autres conneries du même acabit, ça ne lui a fait ni chaud ni froid. Tout ce que je voulais, c'était l'atteindre, voir briller

pire, ce n’est pas de ta faute si il est mort, il n’avait qu’à pas faire le con. -Si c’est de ma faute ! Il est mort parce que j’ai fait une connerie, la première depuis mon arrivée dans la police, et par cette connerie mon équipier est mort, je l’aimais comme un frère, mais ça…ça vous passe au-dessus de la tête ! S’énerva Vince. -Ola, du calme Vince, je voulais juste discuter. S’excusa Marc.  -Ben tiens je vois que t’es en forme Vince. » Ce dernier se retourna et aperçu Bob, le chef de la police

la mauvaise et d’être en tort, il m’insultait quand je faisais quelque chose qui ne lui plaisait pas et un certain jour, ma mère est venue à la maison et m’a dit clairement qu’il était dangereux et c’était que le début, j’avais des doutes mais je l’aimais tellement que j’étais devenue aveugle, aveuglé par l’amour que je portais à mon mari. Je restais auprès de lui sans rien dire. Après les insultes, il était passé à une gifle, puis un fameux soir il était revenu du travail, je lui préparais à manger

j'arrête de faire la con, d'arrêter de te faire mal, de nous faire mal. Je voulais garder juste un petit espoir et me dire que je ne suis pas folle, que je n'ai rien inventé. Mais tu étais bien là avec moi, avec ton sourire..Si tu savais à quel point je l'aimais ce sourire, je pouvais y puiser tout ce que le monde pouvait m'offrir, il pouvait me faire croire à tant de choses, grâce à lui j'avais vraiment cru à l'amour, oui il existait avec toi . Et j'avais finis finalement par croire que le bonheur existait

voyelle accentuée et de ce qui la suit : exemple :" Je veux te raconter, ô molle enchanteresse ! Les diverse beautés qui parent ta jeunesse ; "( Baudelaire, Le beau navire)Assonance = homophonie de la dernière voyelle accentuée  :exemple : " Et je l'aimais comme j'aime se son Au creux duquel rajeunirait le monde Ce son qui réunit quand les mots divisent, Ce beau commencement quand tout finit " ( Y. Bonnefoy, La voix lointaine, III)Rimes plates ou suivies : AA, BB, CC...Rimes croisées : A / B / A

vie le jeune homme doit se concentrer presque exclusivement sur sa seule maîtrise, si bien que lui échappe l'objet même de l'amour: la femme qu'il aime (...)" J'étais "prêt à me rendre n'importe où pour être avec Marketa; tout cela parce que je l'aimais, mais essentiellement parce qu'elle était l'unique femme à mon horizon et que ma situation de garçon sans fille était pour moi intolérable" "Cette poignée de vieux chants populaires, ils sont de toute beauté. Quant au reste, notre répertoire le

Marie à l’initiative de l’action citation : (Marie est venu me chercher et ma demander si je voulais me marier avec elle), ici on a une inversion des rôles , dans le schéma traditionnel car c’est elle qui interroge Meursault (elle a du savoir si je l’aimais) ( elle voulais simplement savoir si j’aurais accepter la même proposition venant d’une autre femme) Par opposition Meursault réagit par rapport a Marie il déclare ( j’ai repondu,j’ai exepliqué) depuis Meursault subit et conscient de sa passivité

qu’aller à la pêche ou faire des campings en forêt. Mon père n’a jamais cherché à « me changer » mais j’ai toujours regretté le manque d’effort accomplis pour essayer de réparer le fossé qui existait entre nous, comme si j‘étais un cas désespéré. Je l‘aimais, mais nous n’avons jamais connu cette relation virile et masculine qui existe entre la plupart des pères et leur fils. Quand mes parents ont décidé de divorcer, j’étais trop jeune pour comprendre les raisons mais assez grand pour réaliser que ma

Oui, ces gens harcelés de chagrins de ménage, J'implorai d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route obscure. Elle y vint ! - folle créature ! Nous sommes tous plus ou moins fous ! Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée ! et moi, Je l'aimais trop ! voilà pourquoi Je lui dis : Sors de cette vie ! Nul ne peut me comprendre. Un seul Parmi ces ivrognes stupides Songea-t-il dans ses nuits morbides A faire du vin un linceul ? Cette crapule invulnérable Comme les machines de fer Jamais, ni

votre pays m’a fait comprendre en quelques mois, plus que j’ai plus comprendre pendant le reste de ma vie. C’est un cadeau inestimable d’avoir pu vous rencontrer. Vous m’avez fait reconsidérer ma société, et m’avez fait comprendre à quel point je l’aimais, malgré ses cotés les plus malsains. Sans cette expérience, je serais sans doute encore à me lamenter sur mon sort, à croupir au fond de mon vieux studio empoussiéré par l’ennui et la déprime que me procurais ma vie. Aujourd’hui j’ai pris conscience