Je l'aimais

de laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : « Parce que c'était lui, parce que c'était moi ». Il y a, au-delà de tout mon discours, et de ce que j'en puis dire particulièrement, je ne sais quelle force inexplicable et fatale, médiatrice

qu’Olive est partie et que depuis cela, ma vie n’est plus que routine et ennui. Oui, je m‘ennuie royalement.  Cela fait deux semaines qu’elle s’en est allée. Je n’ai pas franchement eu le temps de la retenir, ou bien même de lui dire que je l‘aimais. Elle est partie un soir, et avant de claquer la porte, elle a simplement lâchés ces mots : « Je sors. Je ne rentrerais pas. Je ne rentrerais plus. Salut. ». Sur le coup, je n’ai pas bien compris qu’elle me quittait, mais les faits étaient là : elle

latin et, admirateur de la Pléiade, en français. L’amitié de Montaigne et de La Boétie, que l’on a parfois soupçonnée à tort d’homosexualité, est célèbre. Montaigne a écrit dans la première édition des Essais : « Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne peut s’exprimer. » Son admiration pour la grandeur intellectuelle de son aîné s’allie à de profondes affinités culturelles et à un parfait accord idéologique dans cette période de guerres religieuses. Mais cette amitié dure peu

par utilité, et par lesquelles nos âmes sont liées. Dans l’amitié dont je parle, elles s’unissent et se confondent de façon si complète qu’elles effacent et font disparaître la couture qui les a jointes. Si on insiste pour me faire dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne peut s’exprimer qu’en répondant : « Parce que c’était lui, parce que c’était moi » [355]. Au-delà de tout ce que je peux en dire, et même en entrant dans les détails, il y a une force inexplicable et due au destin, qui a agi

Gros contraste entre la mort de sa femme, et la liberté qu’il y gagne. | Ce texte m’a rappelait comme une histoire semblable déjà vécu, où l’alcool faire des ravages au sein d’une famille | Elle était encore jolie,Quoique bien fatiguée ! et moi,Je l’aimais trop ! voilà pourquoiJe lui dis : Sors de cette vie ! | Fleurs du mal | La fontaine de sang | Thème: Une blessure qui ne se referme pasRegistre: Lyrique pathétique | Le titre m’a intrigué et quand j’ai lu ce poème il ma tout de suite plus, pas

retentissent dans mon esprit et me hantent toutes les nuits. Ma conscience me harcèle incessamment. Je remémore son regard chargé de doutes, inondé de larmes, plein de confusion! je sens que sa confiance envers moi s'est volatilisée! Je lui ai dit que je l'aimais, elle est tombé sous mon charme, mais je n'étais pas sûr de l'aimer ni de répondre à ses attentes. alors je suis devenu agressif et méchant avec elle, quand elle a commencé à s'attacher à moi et à faire des efforts pour nous deux. Elle parlait souvent

collège y'as très peux de chance qu'on se retrouve je part en cure de dé intox et après j'vais a l'armée donc j'te dit bisous bonne nuit je t'aime et surtout Vie bien +++je t'aime (L) Jen est marre putain les mecs tous les meme !!!! :’( Et julien je l’aimais tellement 1er fois ke jaime un mec autant et il me prends pour une grosse conne j’en est troop marre merde !jetai prete a tous pour lui maintenant qu’il n’est plus la ba chui perdu.. L’amitier peux elle mené a l’amour ???! Cette kestion je l’est

ans ..." Mme Forestier, triste de voir Mathilde aussi désespérée , esseya de la consoler en lui déclarant un peu maladroitement: "Je peuxvendre la parure, et te donner l'argent.Pendant toutes ses années , elle est restée dans son écrin car je ne l'aimais pas vraiement. Je la trouvais trop tape à l'oeil. Mathilde répondit entre deuxsanglots . Meme si je récupère mon argent, cela ne me redonnera jamais les dix ans de ma vie .Regarde ce que je suis devenue : je suis vieille , je suis minable, je suis

yeux. * « Messieurs les policiers, veuillez relâchez Mademoiselle Rose. La vrai coupable est… MONIQUE ! » Tous le monde s’était retournée sur elle. Elle a voulu prendre la fuite mais des agents l’avait tout de suite rattrapée. * « Je l’aimais, si je ne peux pas l’avoir, personne d’autres ne l’aura !» criait-elle, avant de disparaître dans la voiture aux vitres teintées.

accident qui lui a été mortel, j'ai donc recommencer à aller mal de plus belle. Un peu avant, un "ami" m'a dis qu'il m'aimait j'ai donc décidée de me mettre avec lui parceque j'avais besoin de quelqu'un... Trés mauvaise décision puisque comme je ne l'aimai pas il a décidé de me pourrir la vie et a propagée de fausses rumeurs sur mon dos qui m'a permis donc d'aller encore plus mal au point de ne plu vouloir vivre, mes amis étaient là, ils m'ont aidés à tout surmonter. Peu aprés j'ai rencontrée une personne