Je l'aimais

l'amour. Les poèmes que j'ai choisi représentent ce thème sous toutes ces formes. Effectivement, le poème « O Ninon » de Musset représente l'amour d'une face triste, un sentiment qui cause de la souffrance, de la peine alors que le poème « Tant je l'aimais » de Maurice Sève affiche ce sentiment comme de la folie, comme un sentiment très fort. Nous pouvons notamment le voir dans le titre avec l'utilisation de l'adverbe « tant » qui grandit la sensation. Enfin le troisième poème de ce thème là « L'andalouse »

exemplaires, Je l'aimais à 1 259 000 exemplaires et Ensemble, c'est tout à 2 040 000 exemplaires. Aujourd’hui elle tient une chronique dans le magazine Elle à propos des livres pour enfants et participe au jury pour le festival international de la bande dessinée d'Angoulême. • Bibliographie : 1999 : Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part 2000 : Ceux qui savent comprendront 2001 : L'Échappée belle 2001 : La Moitié d'un confetti  2002 : 35 kilos d'espoir 2002 : Je l'aimais 2004 : Ensemble

terminé. Je ne peux pas faire une croix sur toi et sur tout ce que nous avons vécu ensemble. Cette dispute a commencer a cause de cette fille tu l’aimée mais moi aussi. Mais elle ne pouvez en choisir que un , et elle ta choisie j’ai mal réagit car je l’aimais mais je n’aurait pas du t’insulter je ne le penser pas tout se que je tes dit mais tu ma aussi insulter mais je peut le comprendre. Il est certain que dans cette histoire, nous avons tous deux nos responsabilités. De mon côté, la culpabilité

de laquelle nos âmes s’entretiennent3 . En l’amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l’une en l’autre d’unmélange si universel qu’elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu’en répondant : « Parceque c’était lui ; parce que c’était moi. » Il y a, au-delà de tout mon discours et de ce que j’en puis dire particulièrement, ne sais quelle force inexplicable et fatale4, médiatrice

sa chaise Pour lui parler le soir plus à mon aise. Que de printemps passés avec les fleurs! Que de feux morts, et que de tombes closes! Se souvient-on qu'il fut jadis des coeurs? Se souvient-on qu'il fut jadis des roses? Elle m'aimait. Je l'aimais. Nous étions Deux purs enfants, deux parfums, deux rayons. Dieu l'avait faite ange, fée et princesse. Comme elle était bien plus grande que moi, Je lui faisais des questions sans cesse Pour le plaisir de lui dire: Pourquoi? Et, par moments

dire à Montaigne dans les Essais, Livre 28, livre 1 : « En l’amitié nos âmes se mêlent et se confondent l’une l’autre d’un mélange si universel qu’elles effacent et ne retrouvent la couture qui les a jointe. Si l’on me presse de dire pourquoi je l’aimais je sens que cela ne se peut exprimer qu’en répondant parce que c’était lui parce que c’était moi ». Ici autrui apparaît comme un prolongement de moi-même. Mais cette relation ne saurait servir à comprendre l’ensemble des rapports que nous avons envers

réconcilier Comme au beau temps de notre ivresse, J’implorai d’elle un rendez-vous, Le soir, sur une route obscure. Elle y vint ! - folle créature ! Nous sommes tous plus ou moins fous ! Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée ! et moi, Je l’aimais trop ! voilà pourquoi Je lui dis : Sors de cette vie ! Nul ne peut me comprendre. Un seul Parmi ces ivrognes stupides Songea-t-il dans ses nuits morbides À faire du vin un linceul ? Cette crapule invulnérable Comme les machines de fer Jamais

« non ». Ensuite, Meursault a une très étrange conception de l'amour. Lorsque Marie l'interroge sur l'amour qu'il lui porte, voici sa réponse: « j'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. » Meursault n'a visiblement aucune idée précise de ces sentiments, comme s'il ne savait pas, ne comprenait pas ce qu'est l'amour et ne s'en inquiétait guère. Dans la citation qui suit, à noter les adverbes, révélateurs de la nonchalance de

Qu’a-t-il fait pour mériter cela ? Je l’aimais, pour moi, il était toujours présent; Je me souviens des bons moments passés ensemble, Sa voix était comme une douce mélodie ; Oh, oui il était

voir un jour, devenir un grand mathématicien (j’exagère peut-être un peu). Quant à moi, je ne prenais même plus la peine d’écouter. - Quelle heure ? Il demanda, l’élève à côté de moi. - Achète-toi une montre et laisse-moi tranquille ! Je ne l’aimais pas, avec son air de supériorité figé sur le visage et sa manie de demander l’heure lorsque je n’avais aucune envie de la lui donner. Il était moche en plus. Non en fait, pas moche du tout mais simplement insupportable. « Insupportable mais indispensable »