Je l'aimais

réconcilier Comme au beau temps de notre ivresse, J'implorai d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route obscure. Elle y vint — folle créature! Nous sommes tous plus ou moins fous! Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée! et moi, Je l'aimais trop! Voilà pourquoi Je lui dis: Sors de cette vie! (phrase exclamative- p.54, intensité du désir, joie tristesse) Nul ne peut me comprendre. Un seul Parmi ces ivrognes stupides Songea-t-il dans ses nuits morbides À faire du vin un linceul

que j’avais une maman extraordinaire. Nos mamans nous guide tout au long de notre vie. Nous faisons par d’elle. Avant cette histoire d’amour désastreuse, moi et ma mère n’étions pas très proche l’une de l’autre et ce n’est pas pour autant que je ne l’aimais pas. Je ne me confiais pas beaucoup à elle . Pourquoi ? je ne sais pas trop, et pourtant maintenant je me dis que j’aurai dû. Je me rends compte que j’ai perdu beaucoup trop de temps. Mais c’est après cette épisode de ma vie, que j’ai

ans ..." Mme Forestier, triste de voir Mathilde aussi désespérée , esseya de la consoler en lui déclarant un peu maladroitement: "Je peux vendre la parure, et te donner l'argent.Pendant toutes ses années , elle est restée dans son écrin car je ne l'aimais pas vraiement. Je la trouvais trop tape à l'oeil. Mathilde répondit entre deux sanglots . Meme si je récupère mon argent, cela ne me redonnera jamais les dix ans de ma vie .Regarde ce que je suis devenue : je suis vieille , je suis minable, je

detours. Seulement tu pense encore a elle, Meme a distance elle t’enterre a coup de pelle, Alors tu pense a ce qui ta fait mal Pour aller a peu près normal C’est paradoxal La verité fait toujours scandale Mais faut souffrir pour allez mieux Il l’aimais ,il l’avais mais , il l’as perdu Et il l’as meme pas revu C’est encore foutu Et C’est reparti pour un tour de solitude, Un manège infernal Sa en devient machinal. C’est horrible mais c’est une question d’habitude. Certain dise

ce que sa programmation soit achevée. Il y a ainsi toujours le même nombre de néohumains sur terre et ils se ressemblent de génération en génération. -Et vous n’avez jamais eu d’ami ? reprit le vieil homme. - J’ai eu un chien. Je crois que je l’aimais ; sa présence me réconfortait et j’ai souffert quand il a disparu. Le vieil homme se détendit. Contrairement à ce qu’on lui avait dit, les néo-humains étaient peut-être capables d’éprouver des sentiments. « Venez, nous allons sortir », dit le

Roxane : La Duègne, Comment faire pour oublier l’amour de ma vie? Comment faire pour s’arrêter de penser qu’à lui? Il est mon autre demie, celui qui tient mon cœur, Ses lettres d’amour me font fondre comme du beurre. Je l’aime, je l’aimais, je vais toujours l’aimer. La Duègne : Oh, Roxane, au contraire, ne l’efface de vos pensées, Vous devez juste continuer à vivre votre vie; Sachez que c’est tout à fait naturel, ma chérie, De se sentir inadéquate après une perte

café tout les matins juste a la bonne température voilà comment il est mort. Je me suis défendu de Baptiste je vous l'ai peut-être pas dis mais il me battait, et au fils des années j'en ai eu marre, je n'arrivais pas a partir de chez lui car je l'aimais comme une folle. Il y a maintenant 1semaine que j'ai tué mon mari et j'en pleure jours et nuits, je me suis venger de tout ce qu'il a pu me faire, mais on m'as forcé. André mon ancien mari ma convaincu de le tué car il me voulait pour lui a nouveaux

jamais aimé les femmes que c 'étais Coelio qui l'aimé & qu'il avait consacré sa vie & meme mort a cause d'elle & que c'était lui qui devait etre mort à la place de Coelio, Marianne essaya de lui dire qu'elle l'aimé mais Octave lui répéta qu'il ne l'aimais pas. Personnages principaux : coelio qui va croire en l'amour avec marianne & va mourir à cause d'elle, Marianne la fille que Coelio est amoureux va aimé une autre personne à sa place, Claudio, le mari à Marianne qui va tué l'amant de sa femme

et Oreste et attiser l’inquiétude et la jalousie de ce dernier. L’aveu d’amour d’Hermione pour Pyrrhus, avec l’hésitation voulu sur les temps de passé, du présent et du futur sur la persistance de ses sentiments : «  je le hais […] je l’aimais  » ou «  Tant qu’il vivra, craignez que je ne lui pardonne  », est destiné à pousser Oreste à éliminer précipitamment le danger que représente Pyrrhus pour sa passion pour Hermione et donc à obéir immédiatement

que je ne peux plus vivre ici et tu as grandi. Tu te feras de nouveaux amis à Chicago. » Mélinda : « Je ne comprends pas comment tu peux aimer un homme qui t'a trompé durant tant d'années ! » Élisabeth : « C'est comme ça, et ça reste ton père. Je l'aimais... de plus tu sais très bien que les affaires à la boutique ne marchaient pas, c'est pour cela qu'il fallait que je tente ma chance à Chicago, dans la boutique de ta tante. » Alors que Mélinda n'arrivait pas à convaincre sa mère de rester, elle