Inné Acquis

ultimement à ce but. Pour continuer, une différence évidente entre les conceptions de Lamarck et de Darwin est l’hypothèse de la transmission du caractère. Lamarck soutient que le caractère acquis pendant la durée de vie d’un vivant est transmis à sa descendance, alors que pour sa part, Darwin affirme que le caractère acquis par un organisme n’est pas automatiquement transmis à ses petits, mais que, comme seuls les plus avantagés survivent (grâce à la sélection naturelle), les chances augmentent que leur

professeur. D’une part, par la manière ou le professeur change de personnalité lorsqu’il est en pouvoir. « Le professeur, changent brusquement de ton, d’une voix dure.»[1] Par ce changement de ton on peut évidemment constaté la facette sadique et cruelle inné à l’hommes alors qu’il sont en trop grand pouvoir. Alors qu’il est le maître de la leçon qu’il donne, le doux professeur devient abusif envers la jeune élève. D’autre part, il nous fait voir le sadisme ainsi que la cruauté de l’homme par le meurtre

donc qu’un artifice et si l’homme en est victime, ce ne serait que parce qu’il l’aura voulu (en suivant les cartes routières). Y. Lacoste est d’accord sur ce point puisque selon lui, les nomades ont « une carte dans la tête ». Ce savoir ne serait pas inné mais leur serait appris au sein de leur tribu. De plus, même si l’on se trompe de route, cela peut nous être bénéfique puisque cela peux nous permettre de rencontrer des personnes intéressantes tel que l’on peut le voir dans le document 1. Y. Lacoste

Note d’intention Texte choisi : Identité&Violence/La découverte 2006 Ce texte d’Amartya Sen traite de la relation complexe entre l’identité et la violence. L’être humain a le besoin inné d’appartenir à une communauté ayant des lois propres (religion, culture, doctrines etc.…). Ce besoin prend souvent forme d’un idéal à imiter, une personne morale dont on s’approprie les pensées et principes. L’Homme dont les perspectives se limitent à certaines directives, méprise l’idée même de différence

possible Une justice recherchée pour elle-même une justice instrumentalisée considérée comme un moyen une idéalisation possible de la justice : un accès à la liberté I/ La justice recherchée pour elle-même a)Un sentiment de justice inné en nous Muley chez Steinbeck nous fait sentir qu'il existe une vérité de la justice mais ne la démontre pas. Les actes de justice de Tom lui viennent de façon instinctive. Pour Pascal, ce sentiment suppose la foi. Oreste le fait sur l'ordre du Dieu

parlant d’une personne gentille par exemple, nous nous trompons. Ce n’est pas la nature qui lui a donné la faculté de se comporter gentiment, car ce n’est pas inné, ça n’est pas universel   mais c’est sa culture qui lui a permis d’acquérir la gentillesse.   Toutes ses qualités physiques ou morales relèvent donc de   la culture alors que ce qui est inné en nous relève de la nature. Nous pouvons donc nous interroger sur les limites de la nature de l’Homme,, qu’il puisse par ailleurs être un être sans nature

l'attachement et la construction du premier lien.Bowlby (1969) décrit l'attachement comme étant le produit des comportements qui ont pour objet la recherche et le maintien de la proximité d'une personne spécifique. Pour lui c'est un besoin social primaire et inné d'entrer en relation avec autrui, et non comme une pulsion d'ordre sexuel comme FREUD l'avait énoncé.La fonction de l'attachement est une fonction adaptative à la fois de protection et d'exploration. La mère, ou son substitut, constitue une base de

s’oppose à la nature comme l’élaboré s’oppose au donné. L’objet naturel est produit par une cause naturelle. Celle-ci peut être physique et/ou chimique, biologique ; l’objet élaboré est donc différent de l’instinct. Caractère de l’instinct : il est inné, transmis biologiquement ; il est inconscient, comme un automatisme. L’instinct est donc une force innée et inconsciente, qui détermine les mouvements de l’animal. Cette force amène l’animal à répéter les mêmes gestes, répétitions qui s’oppose

langage… montre, à l’évidence, les limites d’un apprentissage par imprégnation. Une autre approche, approche dite maturationniste, celle du linguiste Noam Chomsky parle du développement du langage, comme processus programmé à partir d’un dispositif inné, suivant un ordre fixe. La critique fut vive de ce modèle innéiste : il y a bien un ordre d’acquisition, un processus constant de développement, mais il se fait dans les échanges avec l’entourage, dans cette interaction ; le langage repose sur des

la notion de culture à des sens différents. L’Homme est un être de culture car il possède des facultés qu’il doit cependant développer en société, par la transmission de savoir et de pratique. Le langage est le propre de l’Homme, mais n’est pas inné, il s’apprend. Cette faculté nous permet d’évoluer et d’appartenir à une civilisation, et nous donne la possibilité de créer tout ce qui nous manque (outils…) I. L’homme a-t-il une nature ? (L’existentialisme de SARTRE) Le coupe papier est