La lecons
L’absurde courant qui a vu le jour après la Seconde guerre mondiale et qui se caractérise par la remise en cause de la dramaturgie traditionnelle, l'émergence du sentiment de l'absurde et le thème de la communication impossible entre les êtres. L'absurde est un courant littéraire qui a pour but de produire un effet de non-sens, contraire à la raison. Ce théâtre dénonce l'absurdité de la vie et des rapports sociaux grâce à un univers parodique. L’absurdité et le non- sens peut être clairement vue dans la leçon D’Eugène Ionesco. Un univers tellement tordu que l’on peu voir que le professeur de la leçon relève, par ses abîmes de cruauté, la dimension sadique inhérente à l’humanité, par la manière de s’exprimer ainsi que par ses actions.
Avant tout, dans la leçon d’Ionesco on peut voir toute la dimension sadique et cruelle inhérente à l’humanité, par les actions posées du professeur. D’une part, par la manière ou le professeur change de personnalité lorsqu’il est en pouvoir. « Le professeur, changent brusquement de ton, d’une voix dure.»[1] Par ce changement de ton on peut évidemment constaté la facette sadique et cruelle inné à l’hommes alors qu’il sont en trop grand pouvoir. Alors qu’il est le maître de la leçon qu’il donne, le doux professeur devient abusif envers la jeune élève. D’autre part, il nous fait voir le sadisme ainsi que la cruauté de l’homme par le meurtre fait sans aucune raison morale valable. «Ce n’est pas ma faute! Elle ne voulait pas apprendre! Elle était désobéissante. C’était une mauvaise élève! Elle ne voulait pas apprendre.»[2] Voici les raison pour lesquelles il là tué. Selon la morale, il ne s’agit pas d’une bonne raison valable pour enlever la vie à quelqu’un. Encore ici un bon exemple de pur sadisme humain. Bref, on perçoit la férocité et l’atrocité infus à l’homme par le changement de personnalité du professeur alors qu’il est en pouvoir, mais également par les meurtres fait sans jugement.
D’autre part,