Individuation

* La mère et l’enfant fusionnent * Le bébé ne fait pas la différence entre lui et sa mère. * La maman répond à tous ses besoins : on parle de la préoccupation maternelle primaire * A partir de 4 mois : processus de séparation-individuation * Il commence à faire la différence entre lui et les autres. * Il prend conscience qu’il est un être à part entière. * Il interagit plus avec son entourage * De 4 à 8 mois : stade du miroir * Il ne se reconnait

optimales lorsqu’il y a eu réconciliation entre l’individuation avec et celle contre les parents, la première étant celle où enfant, on apprend progressivement à se différencier et à nommer ses propres sentiments, la deuxième où pour parfaire cette individuation, il paraît nécessaire de s’opposer aux modèles anciens. Élargissant son propos, Helm Stierlin développe l’importance des délégations véhiculées par le contexte sociopolitique jusqu’au sein des familles avec le risque qu’ensuite, les générations

Sens fort (allemand) du dramaturge. Celui qui écrit le spectacle (auteur de texte / metteur en scène)Génère du jeu :Notion de création, génération, genèse. Quelque chose se crée au plateau. (simondon : tension = potentiel =>déphasage =>individuation) ici la tension se joue dans la relation triangulaire. Forte énergie de toute relation triangulaire (penser à l’apport du 3ème protagoniste avec Sophocle).Jeu : · Créer du jeu = un espace de battement (du

premier temps, la phase symbiotique, puis dans le second, la phase du processus de séparation- individuation mère/enfant. Pendant la phase symbiotique, tout se passe comme si les deux sujets (mère/enfant) constituaient une unité duelle. Dans ce système, l’enfant est en état de dépendance absolue, sa mère quant à elle, en état de dépendance relative. La phase du processus de séparation- individuation contient deux lignes de développement : l’une, la différentiation, aboutit au détachement d’avec

symbolisation qu�’ils voient comme le moment d�’individuation du sujet. Dans le premier langage, il n�’est d�’autres mots que les mots de la mère, des bouts de mère, au même titre que sa voix, sa peau, son corps. L�’entrée dans le symbolique correspond au moment où les mots de la mère (porteurs de traces de son inconscient autant que de messages conscients) servent à désigner des événements indépendants de la mère, des objets purement extérieurs. L�’individuation est donc cette catastrophe qui résulte

« préoccupation maternelle primaire » décrite par D. Winnicott. L’attachement se porte sur une personne et non plus, pour la mère, sur une partie d’elle-même. L’accouchement permet la naissance de l’attachement, par un processus de « séparation-individuation » (M. Mahler, F. Pine, A. Bergman, 1990). La confrontation de l’enfant réel avec l’enfant imaginaire peut causer une certaine déception, mais elle est atténuée par cet état psychique particulier de la naissance : excitation, joie, soulagement.

Introduction : la creche, quels defis ?INTRODUCTION : LA CRÈCHE, QUELS DÉFIS ? Miriam Rasse, Julianna Vamos Érès | « Spirale » 2006/2 no 38 | pages 13 à 20 ISSN 1278-4699 ISBN 2-7492-0604-9 DOI 10.3917/spi.038.0013 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-spirale-2006-2-page-13.htm ---------------------------------------------------------------

y a une différence de vecteur, le second allant vers des masses de plus en plus grandes où opèrent des mécanismes statistiques, le premier vers des masses de plus en plus petites et polarisées où s’exercent une machinerie individuante, une individuation interne. Pressentiment chez Leibniz de plusieurs aspects qui ne se développeront que beaucoup plus tard 18 ? Certes, l’individuation interne selon Leibniz ne s’expliquera qu’au niveau des âmes : c’est que l’intériorité organique est seulement

En changeant la forme de leur corps, ils entendent changer leur existence, et parfois y réussissent en effet car leur regard sur eux même peut radicalement se modifier. D’autant que la marque corporelle est souvent une prise d’autonomie, une individuation, une manière symbolique de prendre possession de soi : le jeune souhaitant modifier le corps légué par les parents et le faire sien. A défaut d’exercer, un contrôle sur son existence, le corps est un objet à portée de main sur lequel la volonté

l’entourent (proches et référents professionnels) afin de se forger sa propre estime de soi. Ces moments individuels dans un temps collectif permettront la construction de la personne, ou comme le disait René Zazzo[11], la construction de l’ « individuation psychologique ». Comme Henri Wallon, il accorde une grande place au milieu dans lequel évolue l’enfant mais insiste sur le fait qu’un « même milieu ne produit jamais les mêmes individus » ; Cette précision a toute son importance et se pertinence