Imagination Pascal Montaigne

jeta contre ces sacrilèges qui le traitèrent de «sale petit cagot». D’autre part, ses premiers rêves naquirent des histoires racontées par la mère : légendes des Ardennes peuplées de démons et de saints, de monstres et de chevaliers. Puis son imagination s’enflamma à la lecture des grands romans pour la jeunesse d’alors (comme ‘’Costal l’Indien’’ de Gabriel Ferry) qui se déroulaient dans les jungles, sur les océans, faisaient découvrir des sauvages, des animaux fantasmagoriques ; l’enfant y devint

chapelle il se jeta contre ces sacrilges qui le traitrent de sale petit cagot. Dautre part, ses premiers rves naquirent des histoires racontes par la mre lgendes des Ardennes peuples de dmons et de saints, de monstres et de chevaliers. Puis son imagination senflamma la lecture des grands romans pour la jeunesse dalors(comme Costal lIndien de Gabriel Ferry)qui se droulaient dans les jungles, sur les ocans, faisaient dcouvrir des sauvages, des animaux fantasmagoriques lenfant y devint mousse, chasseur

Dieu et de s’embellir par la création). L’idée commence à se rependre que l’éducation humaniste n’a pas changé la nature humaine, débouchant sur le développement des hérésies et le développement de division. Mouvement du scepticisme, Les Essais de Montaigne traduisent l’esprit, le doute sur la possibilité de la connaissance, et la relativité des vérités. Cette méfiance s’accompagne de la montée des particularismes nationaux, du rejet de la suprématie italienne, dans la culture, et dans la défense des

jeta contre ces sacrilèges qui le traitèrent de «sale petit cagot». D’autre part, ses premiers rêves naquirent des histoires racontées par la mère : légendes des Ardennes peuplées de démons et de saints, de monstres et de chevaliers. Puis son imagination s’enflamma à la lecture des grands romans pour la jeunesse d’alors (comme ‘’Costal l’Indien’’ de Gabriel Ferry) qui se déroulaient dans les jungles, sur les océans, faisaient découvrir des sauvages, des animaux fantasmagoriques ; l’enfant y devint

accablante pour un seul homme. Là dormait un enfant en cire, sauvé du cabinet de Ruysch, et cette ravissante créature lui rappelait les joies de son jeune âge. Au prestigieux aspect du pagne virginal de quelque jeune fille d'Otaïti, sa brûlante imagination lui peignait la vie simple de la nature, la chaste nudité de la vraie pudeur, les délices de la paresse si naturelle à l'homme, toute une destinée calme au bord d'un ruisseau frais et rêveur, sous un bananier qui dispensait une manne savoureuse

| |- Vigny, « Dernière nuit de travail, du 29 au 30 juin 1834 », Préface de Chatterton |Dissertation : Pour être poète, suffit-il de se laisser emporter par son imagination et de fuit ; comme l’écrit Alfred de Vigny, « vers des | |- Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les ombres |mondes inconnus » ?

accablante pour un seul homme. Là dormait un enfant en cire, sauvé du cabinet de Ruysch, et cette ravissante créature lui rappelait les joies de son jeune âge. Au prestigieux aspect du pagne virginal de quelque jeune fille d'Otaïti, sa brûlante imagination lui peignait la vie simple de la nature, la chaste nudité de la vraie pudeur, les délices de la paresse si naturelle à l'homme, toute une destinée calme au bord d'un ruisseau frais et rêveur, sous un bananier, qui dispensait une manne savoureuse

accablante pour un seul homme. Là dormait un enfant en cire, sauvé du cabinet de Ruysch, et cette ravissante créature lui rappelait les joies de son jeune âge. Au prestigieux aspect du pagne virginal de quelque jeune fille d’Otaïti, sa brûlante imagination lui peignait la vie simple de la nature, la chaste nudité de la vraie pudeur, les délices de la paresse si naturelle à l’homme, toute une destinée calme au bord d’un ruisseau frais et rêveur, sous un bananier, qui dispensait une manne savoureuse

26 D.R. Directeur de la publication : François Emanuel. LE LIVRE DB LA QUINZAINE L'histoire d'une conversion 1 Claude Roy Moi je Gallimard, éd., 480 p. Voilà bien un t i t r e à la Claude Roy. En forme d'aimable provocation à Pascal, en dépit de Montaigne et de Jean-Jacques, en dépit de tous ceux qui se sont fait un nom en littérature par confessions, autobiographies et journaux intimes. Mais c'est aussi une façon d'annoncer la couleur. Et, en fin de compte, il y a là moins de désinvolture

accablante pour un seul homme. Là dormait un enfant en cire, sauvé du cabinet de Ruysch, et cette ravissante créature lui rappelait les joies de son jeune âge. Au prestigieux aspect du pagne virginal de quelque jeune fille d'Otaïti, sa brûlante imagination lui peignait la vie simple de la nature, la chaste nudité de la vraie pudeur, les délices de la paresse si naturelle à l'homme, toute une destinée calme au bord d'un ruisseau frais et rêveur, sous un bananier qui dispensait une manne savoureuse