Imagination Lucrèce

à cette occasion, année après année, un cahier commun qu'ils nomment tendrement le « Livre de l'anniversaire »[23],[24]. Mais Juliette ne fut pas la seule maîtresse de Victor Hugo qui en eut de nombreuses[25]. Juliette Drouet par Champmartin Lucrèce Borgia et Marie Tudor sont montées au Théâtre de la porte Saint Martin en 1833, Angelo, tyran de Padoue au Théâtre Français en 1835. Il manque de salle pour jouer les drames nouveaux, Victor Hugo décide donc, avec Alexandre Dumas, de créer une salle

l'anniversaire[note 3],[25],[26]. Mais Juliette ne fut qu'une de ses nombreuses maîtresses[27]. Il y aura notamment Léonie d'Aunet avec qui il entretiendra une liaison de 1844 à 1851 ou l’actrice Alice Ozy en 1847. Juliette Drouet par Champmartin. Lucrèce Borgia et Marie Tudor sont montées au Théâtre de la porte Saint Martin en 1833, Angelo, tyran de Padoue au Théâtre Français en 1835. Il manque de salle pour jouer les drames nouveaux. Victor Hugo décide donc, avec Alexandre Dumas, de créer une salle

| Victor Hugo peintre dessinateur, cela peut étonner. Pourtant après avoir observé quelques une de ses œuvres, on est frappé par l’émergence d’un style unique. Victor Hugo avait en art une vision, une imagination sensible, complète, étendue, foisonnante, bref mystérieuse. Il est habitué à saisir sur le vif le trait caractéristique, à en faire la satire, à le reproduire et son écriture qui doit son «  incisivité » a ses qualités de dessinateur. Tous ce retourne

donne les couleurs, les formes mais elle laisse une place à l’imagination. C’est cette imagination qui rend le plaisir de contempler une oeuvre d’art aussi durable. Enfin, il existe des plaisirs guérisseurs, purificateurs ; des plaisirs au service de la vie. En effet, le plaisir de contempler le monde , les autres est un moyen de réfléchir sur sa situation, et celle des autres hommes. Ainsi, Lucrèce dans le De Rerum Natura ( II 1 à 19) fait l’éloge de ce plaisir de contemplation. Les

Molière : Lucrèce, une jeune femme saine et fidèle, est affublée d’un vieux mari retors, avare, et un peu stupide. Le couple voudrait un enfant. Un soupirant, Callimaque, se fait passer pour un médecin disposant d’une potion magique la mandragore , infaillible pour le but recherché. Le drame, c’est que, lorsqu’une jeune femme prend la potion, le premier homme qui ensuite la connaîtra au sens biblique du mot, doit mourir. Avec la complicité de tout l’entourage, y compris de la mère de Lucrèce et de

de l'anniversairenote 3,27,28. Mais Juliette ne fut qu'une de ses nombreuses maîtresses29. Il y aura notamment Léonie d'Aunet avec qui il entretiendra une liaison de 1844 à 1851 ou l’actrice Alice Ozy en 1847. Juliette Drouet par Champmartin. Lucrèce Borgia et Marie Tudor sont montées au Théâtre de la porte Saint-Martin en 1833, Angelo, tyran de Padoue au Théâtre Français en 1835. Il manque de salle pour jouer les drames nouveaux. Victor Hugo décide donc, avec Alexandre Dumas, de créer une salle

fait oublié. D’autres peut-être jugeraient d’un fâcheux augure que vous m’écriviez au sujet des esprits. A mes yeux au contraire il y a là quelque chose qui mérite considération : non seulement les choses vraies mais aussi les sornettes et les imaginations peuvent m’être utiles. Laissons toutefois de côté pour le moment la question de savoir si les spectres sont des fantômes de l’imagination, puisqu’il vous semble étrange d’en nier l’existence ou seulement de la mettre en doute, alors que tant d’histoires

découvert les littératures septentrionales ; on les connaissait avant lui. Mais, plus que quiconque, il a habitué les âmes françaises à sentir un peu à la manière des Allemands et des Anglais, élargissant ainsi le champ encore restreint de notre imagination. Et surtout, il a imposé sur notre littérature le sceau de son extraordinaire tempérament. Par là, il a fait à lui seul une révolution. Il a réinstallé d'emblée le sentiment là où depuis plus d'un demi-siècle ne régnait que l'intelligence. Avec

qu=ils ne faut rien affirmer avant d=en avoir le droit@, s=intéresse à la perspective plus éloignée où l=on arrive le plus souvent par une science mise en scène ou par une pseudoscience. Par cela, il réussit à inventer des thèmes ayant pour base une imagination prodigieuse et surtout une nouvelle mentalité face à la science de la littérature de science-fiction. Si Jules Verne part des données offertes par l=expérience scientifique de l=époque, Wells imagine des choses inexistantes (la cavorite, matériau

faire une generation bonne et naturelle, il les faut embesoigner d’une autre semence : ainsi en est-il des esprits. Si on ne les occupe à certain sujet, qui les bride et 1 contraigne, ils se jettent dereiglez, par-cy par-là, dans le vague champ des imaginations »** « [b] J’aymes ces mots, qui amollissent et moderent la temerité de nos propositions : A l’avanture, Aucunement, Quelque, On dict, Je pense, et semblables. Et si j’eusse eu à dresser des enfans, je leur eusse tant mis en la bouche cette façon