Image réciproque

possibilités des éléments constitutifs d’une prise : la mise en scène de l’image (le choix de la valeur de plan), la mise en scène de la caméra (organisant le point de vue du spectateur dans l’espace de l’action), la mise en scène du sujet (l’action réciproque de la chose filmée dans un espace donné par rapport au point de vue et au cadre). Dans «Elephant» sont exploitées des combinaisons au service de la montée en puissance de la tension dramatique : la caméra se stabilise (par ex. scène de la douche)

tour, voici qu’ils font image, du réel au réel, comme un mot avec tous les autres. » Une nouvelle alliance entre le texte littéraire et l’image génère alors, dans l’œil du lecteur / spectateur, de  nouvelles images jaillissant d’un « entre-deux » créateur.   IV)              Une incitation à la rêverie Dessins et poèmes peuvent fonctionner librement les uns par rapport aux autres, mais s’ils sontautonomes, leur proximité peut être la source d’ « une fécondation réciproque qui résulte de leurdifférence »

traduisant son indignation à l’égard de la condition réservée aux femmes De nombreuses phrases elliptiques du verbe et nominales, qui traduisent sa colère Des termes violents, presque injurieux : « des imbéciles » pour parler des prêtres Un langage très imagé, qui fait surgir tableaux et scénettes : Le croquis de l’homme qui «  a le menton couvert d’un vilain poil dur », des hommes qui « ont des muscles plus forts » ( elle focalise l’attention sur un détail physique qu’elle caricature ) et qui « peuvent

surtout, il permet de ne pas ce faire trop d'espoire et donc, de ne pas être déssus. Dans la vie, il faut être et optimist et pessimist afin de ne pas être dessus mais également de ne pas ce retrouver avec trop d'idées noir en tête. Lors d'un amour réciproque, une personne étant trop négatif peu ainsi amener l'autre dans le même monde que lui. Cela peut crée de conséquences désastreuse pour les 2 personne. Cette personne est donc « contagieuse » . De plus , le principale moyen pour combattre

New-York, qu'il raconte dans New-York en 1929. L’œuvre est composée de quatre parties : « la ville basse » d'où est tirée l'extrait, « la ville moyenne », « la ville haute » et « panorama de New-York ». Romand nous offre ici une description très imagée, poétique même de l'architecture new-yorkaise, à travers l'édifice prodigieux qu'est le gratte-ciel, symbole d'une Amérique nouvelle, une Amérique moderne. Car New-York semble bien être La ville de la modernité, où se brouillent les perspectives,

décoration ❑ Avoir quelque chose à vendre et surtout s’arranger pour que les produits soient à coté et faciles à vendre. ❑ Préparer de l’animation : c’est fondamental ❑ S’entraîner régulièrement à l’animation ❑ Développer un esprit réciproque de recherche ou d’animation. On peut faire de l’animation dans tous les lieux du magasin : ❑ Rayon ❑ Tête de gondole ❑ Allée centrale ❑ Entrée ❑ Sortie ❑ Parking ❑ Rue (pour les magasins centre ville)

relations personnelles autour d’intérêts communs. - Groupe restreint : groupe dont la taille est limitée. Une organisation est un groupe dit « large ». Tandis que les groupes dont elle est composée sont dits « restreints ». - Interaction : influence réciproque entre deux personnes, ou entre un individu et le groupe auquel il appartient. - Normes : règles de conduite auxquelles une personne se conforme dans une société donnée. - Organisation : ensemble d’individus et de moyens structurés en vue d’atteindre

le sous-titre, Baudelaire expérimente une confrontation entre prose et poésie, apothéose dans son but qui est de décloisonner les genres littéraires. Le Spleen de Paris reste de la poésie, non pas par la forme mais avec le langage métaphorique et imagé comme c'est le cas dans Le Joujou du pauvre, dont nous allons voir le commentaire. Ce poème est en prose. Le premier paragraphe entend que ce texte a une morale, un message à faire passer (« Je veux » + usage de l'impératif présent pour impliquer

plus savoir où mettre la tête. Il est persuadé de ne pas l'avoir perdue ni supprimée. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce me moment je me demande s'il ne l'a pas supprimé volontairement. Je ne vois aucune image de lui dans son ordinateur. Supporte-il son image? Est-ce pour lui gênant d'avoir une image de soi? Je lui demande d'arrêter de chercher, que ce la nous empêchera pas de dessiner. Il laisse tomber sa recherche mais semble déçu. Durant cette séance il retrace les traits dessinés au fusain ainsi

réagir (cf. L.32 à 37). Beaucoup de phrases sans verbes ou nominales => traduisent son emportement. De nombreuses exclamations et interjections => traduisent son indignation à l’égard de la condition réservée aux femmes. Emploi d’un langage très imagé qui fait surgir de véritables tableaux dans l’esprit de l’interlocuteur. description des hommes : deux adjectifs négatifs « vilain » et « rude » dans « menton couvert d’un vilain poil rude », « tondre de fort près »  => elle focalise sur un détail