Ibm Opportunités Risques

d’activité devrions-nous être ? – dans quel(s) domaine(s) d’activité ne devrions-nous pas être ? La réponse à ces questions doit être considérée sous l’angle des besoins du client et non pas sous un angle technologique ou du métier, afin d’éviter le risque de myopie-produit (T.LEVITT). Le nouveau paradigme en terme de compréhension du comportement consommateur (voir Dossier P Estrat), prend en compte un client qui, confronté à un problème, cherche une solution adaptée. Dès lors, le marché de référence

perceptible globalement dans un climat organisationnel et ressenti, consciemment ou non, vis-à-vis d’un partenaire (individu, organisation ou marque) dans une situation d’échange (de savoirs, de savoir-faire, de biens ou de services) en dépit des risques actuels et potentiels susceptibles d’en découler ». D’aucuns font ressortir les enjeux de la confiance. Celle-ci est « la présomption que, en situation d’incertitude, l’autre partie va, y compris face à des circonstances imprévues, agir en fonction

une triple influence : la notoriété de la marque, la fidélité du client, la réduction de risque (une marque reconnue est synonyme d’un sentiment d’appartenance fort) Fournisseurs : plus la marque est importante plus elle devient un incontournable sur le marché et donc peut se permettre de négocier plus facilement avec ses fournisseurs. Actionnaires : Ils permettent aux entreprises de réduire leur risque financier. La réputation de la marque et les choix stratégique de la marque vont influés

suffisent pas à rendre compte du comportement du consommateur. Celui-ci agit dans son environnement au sein duquel il obtient les connaissances nécessaires à l’analyse des problèmes qui se posent à lui. Il choisit, prend des décisions, évalue les opportunités en fonction de ce qu’il perçoit de son environnement. Mais qu’est-ce que la perception dans le comportement du consommateur ? Quelles en sont ses fonctions et ses caractéristiques ? Quelles en sont les origines ? Quelles en sont les théories, les

services et BDD -La gestion de la sécurité, de l’évolutivité, de la capacité, de la persistance des données, du contrôle de version, etc… Les fournisseurs proposant des PaaS sont assez nombreux, on trouve notamment : -Google avec Google App Engine -IBM avec Smart Business Cloud -Microsoft avec Windows Azure -Oracle avec Fusion Middleware -Salesforce avec Force.com -SAP avec Business ByDesignStudio861695135890-VmWare avec vFabric2852420781051861820122555 3138170769620213741083820095694583629534143958382012426953810

objectifs : N, N+1, N+2 (année ) … Une définit° : / Hofer et Schendel : strat=rencontre des buts d’une org° ac l’environnement. NB : il suffit de détenir 13% d’1 SCT pr la contrôler Les opportunités se créent uniquemt / soi même (= l’E) Tout s’explique : il faut dc comprendre les strat. D’une E (ext et int) Pas de théories en strat., seulement des OUTILS qu’il faut choisir le mieux possible, ce en fct° de : La culture de l’économie

des paramètres clairs qui encourageraient les individus à prendre des décisions et des initiatives dans des limites bien définies, les entreprises donnent souvent trop de liberté à leurs collaborateurs avec des aphorismes tels que « Prenez des risques » ou « N’ayez pas peur d’échouer ». Lorsque les responsables d’entreprises deviennent alors de plus en plus nerveux, ils tentent de contrôler et de micro- gérer le travail en imposant toutes sortes de contrain- tes non prévues et de modifications

d’information doit être averti de tout risque de technologie d’information, qui pourra affectés les activités de l’entreprise, pour ceci, il doit disposer d’une boite à outils lui permettant de maîtriser ces risques. Cette maîtrise lui servira systématiquement à assurer la pérennité de son système d’information, et implicitement à assurer la continuité des activités de l’entreprise, ce qui est le noyau des enjeux de l’hiérarchie. Le management des risques des TI doit être aligné à la stratégie

entreprises dans un management plus responsable. Et tout ce qui peut faire progresser la société. Une gestion plus responsable des déchets, figure parmi ces attentes nouvelles. Par exemple, que faire des déchets générés par l’informatique ? Il y a là des opportunités concrètes pour des entreprises de recyclage. L’écologie apparaît de moins en moins aujourd’hui comme une mode, mais comme devant faire partie intégrante de l’économie. Aujourd’hui, les gens demandent qu’on leur fournisse un produit ou un service

du management international des entreprises à l’aube de l’actualité financière (prendre conscience de la complexité de l’environnement international). Enjeux des entreprises d’aujourd’hui ? • Enjeux de la mondialisation. • Gestion des risques • Contextes culturels différents • Développement durable et responsabilité sociale CAS RÉCENT : AIRBUS « Internationalisation d’AIRBUS, les syndicats inquiets » (challenges – Sept 2008). Pourquoi ? • Louis GALLOIS a annoncé