Hobbes Léviathan Chapitre 13

Droit Constitutionnel (2) Premiere partie: Element de theorie generale du pouvoir Chapitre 1: L'Etat Section 1: La notion d'Etat Section 2: Les formes de l'Etat Section 3: Les fonctions de l'Etat Introduction: 193 membres aux Nations Unis (Onu) le dernier étant le Soudan du Sud (14 juillet 2011). (1) L'Etat a toujours existé, il est synonyme d'organisation politique d'une société humaine (Conception minoritaire). Elle ne convainc pas car cela voudrait dire que l'on ne pourrait pas distinguer

l’opposition de l’Ancien et du Moderne 4 B. Deux exemples de combinaison spécifique entre éléments classiques et éléments modernes : la Révolution française et la révolution américaine 9 II.- Souveraineté et représentation : Jean Bodin et Thomas Hobbes 17 Liminaire 17 A. La notion de souveraineté 18 B. La question de la représentation 23 III.- Rousseauisme et jacobinisme 30 A. Le problème de la souveraineté populaire 31 B. Le problème de la représentation parlementaire 36 IV.- Benjamin

Chapitre 1 : Les fondements contradictoires de la société de l’ancien régimeComment concilier la volonté royale d’affirmer un pouvoir unitaire et absolu avec une société divisé et inégalitaire qui va progressivement nourrir à d’autres aspirations ? La conciliation est impossible Section 1 : le concept de souveraineté, Fondement de l’unité du pourvoir Par l’affirmation de cette souveraineté, il s’agit d’une royauté en difficulté face au seigneur de se maintenir et de se renforcer

l’homme est soumis non seulement à la violence de ses instincts mais aux passions et en particulier à la passion d’ambition qui suscite des jalousies et des conflits dont les conséquences sont bien plus graves qu’entre des animaux. Dans le chapitre 13 du Léviathan, Hobbes montre que ce qui rend nécessaire l’institution de l’état, c’est la dégénérescence de cette première société dans laquelle l’homme est livré à ses passions. Chacun devient alors un danger pour ses semblables. L’égalité de tous devant

| | | |Thomas HOBBES (1651) | |

l’ordre ; sans elles, en effet, la société se retrouve sans structure et sombre donc dans la tyrannie. De même, dans le Léviathan, on comprend qu’il n’y a pas de sécurité, ni donc de survie, dans un état de “guerre de tous contre tous” (chapitre 13) ; Hobbes nous enjoint donc à utiliser notre raison et nos passions de manière conjointe pour instaurer “[l]e grand Léviathan”, c’est-à-dire un ordre qui nous dépasse et nous transcende, et permet donc aux Hommes de faire monde en tant qu’ils font

érige la volonté en lois alors que le magistrat philosophe soumet sa volonté à la loi inscrite dans le monde intelligible puisque la politique s’enracine dans la connaissance du Bien ou Vérité première. II/ Hobbes 1) L’état de nature La plus fondamentale aspiration de l’homme est selon Hobbes le désir de se conserver ce qui va déterminer chacun à s’approprier tout ce qu’il juge utile à cette conservation de soi. Le désire se conserver se ramenant en dernière analyse au désir de puissance. La raison

PHILOSOPHIE : CHAPITRE VI /VII L’Etat, le pouvoir, la société : esquisse d’une réflexion sur le fait politique Introduction : « L'État, c'est moi » est une formule attribuée à Louis XIV et qu'il aurait prononcée le 13 avril 1655 devant les parlementaires parisiens en lit réunit en lit de justice pour éviter toute fronde. Cette expression marque la personnalisation extrême du pouvoir incarnée par un homme, qui dans la théorie absolue de droit divin est dit « lieutenant de sur terre ». Le

un appareil judiciaire. Si chacun a tout intérêt à respecter la loi c’est alors parce que : - On évite les punitions (prison, amandes, etc.) - Parce que chacun de comprendre que c’est un contrat dans l’intérêt de tous de les respecter. Chapitre 7 : La religion « Les êtres humains ont-ils besoin de la Religion » Introduction : La religion est une pratique culturelle qui semble concerner l’humain de façon essentielle: s’interroger sur la religion en philosophie c’est s’interroger

L’impact du contrat social sur les libertés fondamentales se justifie et se confirme par Hobbes, Locke mais aussi par Jean Jacques Rousseau. Ayant précédé John Locke , et Jean Jacques Rousseau , Thomas hobbes dans la lignée de Machiavel estime que toute philosophie politique doit être fondée sur la vraie nature de l’homme, lequel est fonciérement égoïste et méchant. Dans son ouvrage Léviathan (1651) , Hobbes essaie de prouver que la vie en société n’a rien de naturelle. Si les hommes acceptent de