Hiatus

jurerait pas que le bizarre pluriel "des lyres" ne soit pas là pour qu'on comprenne "délires". Quant au mot "pied" dans "Un pied prés de mon cœur", comment faut-il l'interpréter. Comme l'organe de la marche ou comme l'unité de mesure du vers ? Et le hiatus de "paletot aussi" : il aurait été facile de le supprimer. le conserver est donc un choix réfléchi du poète o le mélange du noble et du familier : Une autre caractéristique "fantaisiste" est le mélange de motifs poétiques traditionnels

l'éducation traditionnelle consiste à imposer le savoir du dehors et de l'extérieur. Effectivement, il impose les points de vue, le programme, les méthodes de l'adulte à ceux qui ne peuvent que s'acheminer à petits pas vers le stade de l'adulte. Le hiatus est tel que l'emploi du temps et les méthodes d'enseignement et de comportement à l'égard de l'enfant demeurent étrangères à ses aptitudes. Son expérience est trop élémentaire pour de telles exigences : il faut donc les lui imposer, et il en est ainsi

des lunettes de grimacier, et un visage qu'on ne pouvait regarder sans rire. Nous venons de le dire, la nature avait comblé Gwynplaine de ses dons. Mais était-ce la nature? Ne l'avait-on pas aidée? Deux yeux pareils à des jours de souffrance, un hiatus pour bouche, une protubérance camuse avec deux trous qui étaient les narines, pour face un écrasement, et tout cela ayant pour résultante le rire, il est certain que la nature ne produit pas toute seule de tels chefs-d'oeuvre. Seulement, le rire

parler encore de relation d’aide, au sens caractérisé ci-dessus... En d’autres termes, la prise en compte suppose de savoir qu’entre l’aide demandée et l’aide fournie subsistent d’inexorables décalages, des non correspondances significatives, des hiatus plus ou moins importants. C’est ce que les insatisfactions des destinataires ne cessent d’exprimer. Cela dit, ces préconisations sont-elles réalistes quand on a à faire avec des personnes handicapées mentales ? Pas simple, en effet. Gardons-nous

s’oppose à « fictif » ; le fictif n’existe que dans l’imagination des hommes et n’a pas d’effectivité. C’est pourquoi ces grandeurs font que l’on estime quelqu’un plus que quelqu’un d’autre ou que l’on soit meilleur qu’un autre. On perçoit ici un hiatus car on peut être un Grand sans pour autant être un homme estimable, et réciproquement. Par convention, nous devons donc devoir le respect à quelqu’un que nous n’estimons pas ou qui n’est pas meilleur que nous, selon l’état de nature.

chantait aucune chanson ».  Ceci est souligné par des verbes d’action à la forme négative. Il a renoncé à bouger et à communiquer.   Le vieux saltimbanque est seul, « exilé lui-même de toutes ses splendeurs » ; sa cahute, « ici » - on notera le hiatus qui confère une sonorité particulière au mot - est un espace misérable, a opposé aux baraques.   « Exilé », « à l’extrême bout de la rangée de baraques », de même que « à quelques pas de sa répulsive misère « soulignent bien l’exclusion –volontaire 

passé. Le naïf épithalame, les chants qui se répondaient d’un bout à l’autre de la table nuptiale sont eux aussi des traditions, héritages du passé, qui s’évanouissent avec le temps : « nous répétions ces strophes si simplement rythmées, avec les hiatus et les assonances du temps ». L’usage de cette expression dévoile un regret de ce temps passé. Ces strophes ont pour lui quelque chose de sacré puisqu’il les compare au cantique de l’Ecclésiaste de l’Ancien Testament : « amoureuses et fleuries »

surtout chez les Romantiques ; - cette exclusion se traduit par une violence de la société à l’égard du poète qui devient victime des « huées ». Les marins parodiaient l’oiseau, se moquaient de lui ; l’homme raille le poète, l’insulte, l’agresse. Le hiatus et la prononciation en deux syllabes « hu/ées » de même que le « h » aspiré insistent sur le terme, mis en totale opposition à la rime avec « nuées » ; - ce rejet montre enfin l’inadaptation du poète à la société basée sur le mal, la violence, la

l'amour comme responsable, l'élément moteur du deuxième bloc. Le mot "amour" est personnifié avec la majuscule. Cette figure de style est appelée l'allégorie, qui est encore une inspiration de Pétrarque. Pour les sonorités, on repère la présence d'un hiatus avec "ainsi Amour", ce qui attire encore plus l'attention sur amour et d'une allitération en "m", ce qui prolonge le "m" de "amour" et donc amplifie la portée de ce mot. Le pronom "il" est à l'initiale de la chute Enfin, on remarque un rythme irrégulier

voyelles côte à côte s'appelle une synérèse. La césure: C'est une coupure, un repos placé dans un vers après une syllabe accentuée. Mais si quelqu'un venait /de la part de Cassandre; césure due au groupe fonctionnel L'hiatus :Il se produit un hiatus quand deux voyelles, l'une finale, l'autre initiale se rencontrent. Ceci est surtout mal venu lorsqu'une voyelle rencontre une même voyelle: Il se réveilla à l'aube. Enjambement:Une partie du vers suivant, comptant quelques mots est contenue dans