Hiatus

talons, la bise siffle, mugit, orgue, les loups vont répondant, qui craque (allitérations), cris, ricanements, chant des ossements. Ces sons s’incarnent dans des allitérations, parfois un peu forcée pour nous (r 6: sifflantes+liquides, 24, 25; des hiatus: claquant au, danser aux, dans un hideux amour, heurtant armures, moustier ici; des rimes abondantes participe aux échos, aux vibrations angoissantes: paladins/Saladins aussi peu en rapport qu‘aimable et diable. Cravate est raffiné, pas savate, avec

anachronisme, anacoluthe, apostrophe, anagramme, analogie, anaphore, antonomase, archaïsme. assonance, calembour, césure, chiasme, cliché, comparaison, dérision, digression, distanciation, ellipse, enjambement, euphémisme, gradation, hémistiche, hiatus, hyperbole, interrogation, rhétorique, ironie, lapsus, litote, métaphore, métonymie, mythe, néologisme, onomatopée, oxymoron, paradoxe, paraphrase, parodie, pastiche, périphrase, personnification, pléonasme, prosopopée, question rhétorique, redondance

alors de faire oublier son inculture et peu à peu de se faire valoir par les connaissance qu'il acquiert.Où la connaissance engendre la reconnaissance,là où la réussite professionnelle et la richesse ne sont plus suffisant. Cependant il y a un hiatus entre ces gouts de la culture et ce sentiment qui vient du Beau et qui semble n'être pas réductible à l'approche théorique de l'école ou bien même la reproduction des {text:soft-page-break} intêrets de ses pairs. II:Le Beau est ce qui plait universellement

contraste avec la supplique chrétienne la précédant. Appel aux sens > visuel, auditif, olfactif. Ainsi les auditeurs sont vigoureusement interpellés. 5 Horreur du spectacle que les pendus offrent, avec l'impact brutal de «voyez» à la césure, du hiatus central «ci a». Les faits s’imposent dans cette description objective (déclarative au présent). Avec le détail technique précis comme attribut: «attachés»; on pendait les condamnés entravés pour limiter les soubresauts  violents de l'agonie. >

constitution américaine stipule qu’il y a nécessité d’admettre toutes les opinions. Je ne peux poursuivre untel pour diffamation sous prétexte que son opinion est inacceptable à mon égard. Les critiques transatlantiques sur le sujet cernent bien le hiatus d’une telle constitution. Comment l’homme, produit d’un tel gouvernement peut il être libre s’il est contraint à la nécessité, c’est à dire s’il s’est vu confisqué sa liberté de choix ? La démocratie ne se prétend-t-elle pas faussement garante

aporie : si la connaissance de soi semble impossible, elle n’en demeure pas moins comme l’horizon de toute conscience de soi et le fondement de toute identité. S’efforçant de dépasser une telle aporie, nous examinerons dans un premier temps le hiatus qui sépare conscience et connaissance de soi, puis nous verrons en quelle mesure toute conscience de soi, loin de rendre possible cette connaissance, est au contraire ce qui nous en détourne ; enfin, nous nous demanderons si cette identité que

jurerait pas que le bizarre pluriel "des lyres" ne soit pas là pour qu'on comprenne "délires". Quant au mot "pied" dans "Un pied prés de mon cœur", comment faut-il l'interprèter. Comme l'organe de la marche ou comme l'unité de mesure du vers ? Et le hiatus de "paletot aussi" … Il eût été si facile de le supprimer qu'on doit le considérer comme une laideur volontaire. • le mélange du noble et du familier : Une autre caractéristique "fantaisiste" est le mélange de motifs poétiques traditionnels

en prend, puisque ses accusateurs vont voir là l’origine de la colère divine ! 4. L’acte III : - Le vers 55 marque le tournant du drame : on tient le coupable ! De façon très habile, la violence de la foule déchaînée est marquée par le hiatus (succession de deux voyelles dans le vers : « cria haro ») et la double assonance en [A] et en [O]. - Alors, l’action se précipite : le loup abrège le procès et une ellipse nous permet de comprendre le dénouement tragique de l’histoire (v.61-62)

l’instinct, dont il reconnaît et accepte la toute-puissance, refuse tout idéalisme moral, refuse la sévérité (de Port-Royal…), montre son indulgence vis-à-vis de toutes les formes du désir. Ce naturalisme de Molière exprime l’existence en germe d’un hiatus entre cette « morale de la raison accordée aux choses », cette philosophie mondaine, et la morale chrétienne. L’attitude morale de Molière se résume donc par l’acquiescement à l’ordre des choses, c'est-à-dire à la loi naturelle du plaisir, et avec

des Nations unies, à la demande de son secrétaire général", a insisté François Baroin. Mais entre la résolution 1975, qui prévoit la destruction des armes lourdes menaçant les civils, et le bombardement de la résidence de Gbagbo, "il y a comme un hiatus", souligne Michel Galy. Seul l'avenir, qui s'annonce incertain, dira si la France et l'ONU ont été bien inspirées de jouer de l'ambiguïté de leur mandat pour porter Ouattara au pouvoir.