Herbert Simon Et La Prise De Decision

microéconomie qui se situent en dehors du courant néoclassique : approches institutionnalistes (Oliver Williamson, Nelson et Winter), en économie des organisations (courant conventionnaliste, André Orléans, Olivier Favreau ) ou en économie cognitive (Herbert Simon). Les objectifs de la microéconomie sont de : * Analyser et prédire le comportement d'agents dans un environnement économique, technique et social donné ; * Analyser et prédire les interactions sociales entre agents résultant de ces comportements ;

composant ; Il ne connaît pas tant qu’il est en vie d’équilibre stable mais est maintenant dans un état d’équilibre instable appelé homéostasie. » Depuis 1930, on considère l’entreprise comme une communauté d’intérêts. C’est parce qu’il y a eu décision d’entreprise prise par un individu qu’il y a une entreprise. ≠ Les entreprises fermées se maintiennent en vie sans réajustement de ses objectifs [cause  conséquence]. On fait en sorte que les intérêts ne se contredisent pas. Autrement dit les intérêts poursuivis

Taylor, Fayol et Weber. Elle a aussi son pendant dans une vision mécaniste plus sophistiquée qui compare l’organisation à un cerveau ou à un ordinateur ou encore à une configuration, vision présente dans les travaux d’auteurs néo-classiques comme Simon et Mintzberg (Aktouf, 1989a ; Morgan, 1989). Cette vision instrumentale de la communication suppose que l’émetteur fait quelque chose au receveur à travers le message qu’il envoie (Krone et al., 1987). Elle met l’accent sur le message qui est en

détriment de celui des entreprises (théories actuelles : les managers tiennent leur pouvoir des propriétaires et sont missionnés pour faire fructifier le capital de la firme, les « propriétaires » exercent le contrôle direct et indirect). -> décision = manageur contrôle = actionnaire Distinction entre pouvoir et autorité de Weber : Le pouvoir est la capacité à forcer l’obéissance aux « ordres » et implique la capacité à « sanctionner ».( de manière négative ou positive) L’autorité est

de l’image. - Paris : McGraw-Hill, 1988. SEGRESTIN (Denis) - Sociologie de l’entreprise. - Paris : Armand Colin, 1992. SEYRIEX (Hervé) - L’effet Gulliver. Quand les institutions se figent dans un monde tourbillonnaire. - Paris : Calmann-Lévy, 1994. SIMON (Jean-Paul - Communication municipale : la double contrainte. - Paris : Revue Médiapouvoirs n°22, 1991. STERN (Patrice), TUTOY (Patricia) - Le métier de consultant. Principes, méthodes, outils. - Paris : Editions d’Organisation, 1995. STEWART (Jan)

radiophoniques) et le fait que les fichiers musicaux sont des biens économiquement « non rivaux » (si je le donne, je l’ai encore) et « non excluables » (il est difficile d’empêcher quelqu’un d’en bénéficier). Annoncée par le prix Nobel d’économie Herbert Simon dans les années 1970, popularisée par Michael Goldhaber dans un article de 1997, cette thèse alimente aujourd’hui de nombreuses références… et de nombreux business plans. En observant la manière dont elle se met concrètement en œuvre, on en retiendra

fondateurs de « l’école classique du management » ont pu introduire un ensemble de principes et de postulats au sein de l’entreprise afin d’en améliorer le fonctionnement, des principes qui préconisent la division du travail , la décentralisation des décisions , identification du poste et de la fonction pour chaque ouvrier… Il est important de noter que Fayol a tenu compte de la fonction administrative et il l’a considéré comme étant beaucoup plus importante que les autres fonctions ( technique ,comptable

interactions entre individus. * L’ignorance des interactions et des interrelations entre l’organisation et son environnement. Progressivement, la prise en compte du facteur humain et la nécessité d’une humanisation des relations de travail vont s’exprimer, en particulier sous l’impulsion du courant des relations humaines. Elton MAYO - la prise en compte des conditions de travail Professeur de psychologie industrielle, il réalise différentes recherches sur les comportements du salarié à son

si elle se présente aujourd’hui comme dominante, n’est pas la seule voie parcourue dans les reconstructions de la théorie de la firme auxquelles on a assisté au cours des dernières décennies. Commencée avec les travaux pionniers de Cyert, March et Simon, une toute autre perspective, a été parcourue parallèlement à la précédente. Dès les travaux fondateurs (Cyert, 1963) l’interrogation majeure qui anime les auteurs est autre que celle qui prévaut dans l’approche contractuelle. Ce ne sont pas les contrats

générique la plus adaptée. La matrice BCG : Définition : La matrice BCG, Boston Consulting Group, est un outil qui permet de classer et d’évaluer les produits et services d’une entreprise ou d’un marché. C’est un outil d’aide à la décision afin d’équilibrer les activités d’une entreprise parmi celles qui rapportent des bénéfices, celles qui assurent la croissance, celles qui constituent l’avenir de l’entreprise ou celles qui ne rapportent plus suffisamment mais qui constituent son