Haute Cour de justice

du Président de la République pour les actes accomplis dans l’exercice de ses fonctions régis par les articles 67 et 68. La seule exception est celle prévue par l’article 68, qui évoque la haute trahison. Dans ce cas, le président de la République devra répondre de ses actes auprès de la Haute Cour de justice qui statuera sur sa destitution. De plus, la constitution confère une immunité pénale présidentielle qui suspend tous procès ainsi que poursuites judiciaires contre le président devant une

contrôlés au regard de normes internationales (exemple : les traités européens et autres conventions internationales) et c’est normes peuvent être directement invoquées par les justiciables, mais qu’en est-il du droit de l’Union ? L’arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne, The Air Transport Association of America e.a., en date du 21 décembre 2001, est justement relatif au contrôle et à la validité d’une directive au regard de dispositions et principes de droit international et à ses effets

Institutions judiciaires publiques Partie 1 : Les juridictions de l’ordre administratif Une juridiction vient du latin juris dictio = dire le droit, rendre la justice. Les juridictions de l’ordre administratif sont celles qui sont appelées à juger, nées de l’activité administrative. Les juridictions administratives vont traitées des litiges qui proviennent soit des administrations elles-mêmes soit d’un conflit entre une administration et un administré (un contribuable contre l’Etat)

La justice est un service public rendu au nom du peuple par différents organes (juridictions) dont l’ensemble constitue le système judiciaire. Qu’est ce qu’une juridiction ? Elle désigne : o le lieu où on rend la justice ; o les personnes regroupées en formation pour juger. Quels sont les principes de base de l’organisation judiciaire ? Ce sont : o Le caractère national de l’organisation judiciaire. Seuls les tribunaux sénégalais ont compétence sur tout le territoire

Suite Féodalité 1/ Lundi 16 Janvier : I_ la justice Au 11ème siècle, les institut° reprennent… grâce : * aux vassaux qui vont remplacer les Scabinis * au fur et à mesure que la hiérarchie féodale se précise les seigneurs ses plus puissants vont pouvoir de nouveaux faire respecter leur décis°. (EX : le roi de France va de nouveau oser faire comparaître le défendeur = celui qui est accusé, et faire assurer l’exécut° de la sentence_ 1108 roi Misses le Gros, le roi somme sans succès le Sire

durant la totalité du mandat le président est protégé par une immunité juridictionnelle contre tout type de poursuite. Il y a cependant deux enjeux cruciaux : Un enjeu traditionnel, en réalité inscrire dans la Constitution dans la jurisprudence de la Cour de cassation de 2001 statuant sur le fait que tous délais, de prescription ou de forclusion, sont suspendus pendant la durée du mandat. Lorsqu'il a fini son mandat, le président redevient un citoyen ordinaire et les actions judiciaires peuvent être

ordinaire. En outre, comme le souligne le professeur Favoreux, l'aménagement des poursuites pénales susceptibles d'être engagées contre lui est considéré comme une règle générale dans les démocraties comparables à la nôtre. En effet, qu’il s’agisse de haute trahison en Italie ou de violations délibérées à la Constitution en Allemagne, les chefs d’Etat ne sont responsables qu’en cas d’atteinte grave à la fonction présidentielle. Sous la V République, de 1958 à 1997, la question du statut pénal du président

rendre la justice. Dès lors que l’on a une vie en société, on a besoin de la fonction juridictionnelle. Sans cette fonction on n’a ni stabilité ni paix sociale. A partir du moment ou on a l’implication société = justice, la vrai de question est de savoir qu’est ce la justice. Quand on parle de justice : plusieurs sens. - 1er sens du mot justice c’est un sens large selon lequel la justice est une vertu un sentiment d’équité (notion subjective). - 2eme sens du mot justice : La justice est une fonction

ministres endossent la responsabilité des actes du président. La règle du contreseing est le corollaire de l'irresponsabilité du chef de l'Etat : puisque le chef de l'Etat ne peut en principe être renversé au titre des décisions qu'il prend (sauf haute trahison), il faut que le gouvernement, soumis au contrôle du Parlement, en assume la responsabilité. Le chef de l’Etat a donc d'avantage de pouvoirs que par le passé, mais il ne peut toujours pas être soumis à un contrôle politique. Si il prend une

de la République n'est responsable des actes accomplis dans l'exercice de ses fonctions qu'en cas de haute trahison. Il ne peut être mis en accusation que par les deux assemblées statuant par un vote identique au scrutin public et à la majorité absolue des membres les composant ; il est jugé par la Haute Cour de justice ». CONSEIL CONSTITUTIONNEL Décision du 22 janvier 1999 relative à la Cour pénale internationale (n° 98-408 DC) PRIVILÈGE DE JURIDICTION 3 Catégories d’actes :  S’agissant