Grandeur Déchue

de ses oeuvres principales ILAN IV/conclusion NATTHANEL I/Charles Baudelaire Charles Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867. « Dante d'une époque déchue » selon le mot de Barbey d'Aurevilly ( écrivain français. Surnommé le « Connétable des lettres », il a contribué à animer la vie littéraire française de la seconde moitié du xixe siècle. Il a été à la fois romancier, nouvelliste, poète, critique littéraire

apaisée. Cette fête nous est présentée comme magnifique, grandiose et surtout luxueuse. La comparaison à la ligne 2 "comme une marée montante" nous montre cette magnificence. Des mots et des phrases sont utilisés pour qualifier cette grandeur : « l'orchestre enflait » (l. 2), « le foule des invités, multipliée dans les glaces, semblait s'élargir » (l.4), « accentuaient d'avantage le branle des planchers » (l.6). L'auteur a mis en avant l'aspect luxueux de cette fête : « les velours de

double comparaison Le poème L'Albatros est fondé sur une double comparaison. L'albatros est personnifié étant donné que le poète est comparé à l'oiseau. Grâce à un réseau de personnification, les trois premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu (" roi " vers 6), à un voyageur ailé tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une comparaison et une métaphore hyperbolique, un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de géant " (vers 16). Exilé parmi les

sanglants et des armes de plus en plus sophistiquées qui laisseront de profondes cicatrices dans la mémoire de plus d’un peuple. Malgré toute cette violence, des visionnaires, des pacifistes ou bien des idéalistes on toujours gardé l’espoir, parfois déchu, d’une paix future pour l’humanité. Dans cette analyse littéraire, je considèrerai le thème de l’espoir dans le roman Les Cerfs-volants de Romain Gary et dans le film La vie est belle de Roberto Benigni. Dans ces deux œuvres, plusieurs personnages

quittant la Maison Blanche. Lettre de démission de Richard Nixon (1974). II) L'influence des médias • L'interwiew de Frost En 1977,le journaliste britannique David Frost, pour relancer sa carrière, veut interviewer le président déchu Richard Nixon. Celui-ci préférerait un journaliste plus connu mais accepte après avoir négocié une importante somme d'argent. Pour Frost, il faut maintenant trouver le financement de son émission et réussir à mettre la pression sur Nixon à propos

en témoigne -> l’excessif soumission avec la métaphore filée de la noyade : « torrent », « emporte », « force » (idée de triomphe de l’opinion unanime) + -> le parallélisme « ce qu’il en pense » / « ce qu’ils n’en pensent pas »Ce qui fait la grandeur d’un homme, sa liberté de pensée, n’a pas lieu de la cour -> il est réduit à répéter ce qu’il est usage de dire.L’auteur sans toutefois expliciter son jugement, dénonce les engagements excessifs et visible a la cour. Il révèle que la vérité n’est

prologue. - La première section «Spleen et Idéal» ou il y a la présence de 85 poèmes. Une déchirure est faite du poète entre une aspiration vers un " Idéal " et le " Spleen ", c'est-à-dire l'ennui ,l'angoisse. Cette section montre la misère et la grandeur de l'homme: combat éternel de l'homme sans issue "Il y a dans tout homme, à tout heure, deux postulations, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan" (Baudelaire). L'homme est condamné à vivre ces deux forces. - La deuxième section «Tableaux Parisien»

­­­­ Une double comparaison  Le poème L'Albatros est fondé sur une double comparaison. L'albatros est personnifié étant  donné que le poète est comparé à l'oiseau. Grâce à un réseau de personnification, les trois  premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu (" roi " vers 6), à un voyageur ailé  tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une  comparaison et une métaphore hyperbolique, un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de  géant " (vers 16). Exilé parmi les hommes

») : « Que la nature est corrompue par la nature même ». On invite les élèves à préciser ce qu’entend Pascal par cette phrase : en s’appuyant sur la séance 1, on fait émerger l’élément central de la théorie janséniste : « L’homme est une créature déchue » qui ne peut racheter son salut .L’idée d’impuissance s’impose donc et le rapprochement avec Pascal s’en trouve justifié. C’est à ce moment qu’on peut poser la question : « Qu’est-ce qui compose les malheurs de l’humanité pour Pascal ? » I – L’homme

L’effort de réflexion intérieure fourni par C. est marqué par « de profondes réflexions ». C. fait un véritable retour sur soi et se montre capable maintenant d’une analyse fondée sur l’expérience acquise. Le sort du vieillard est préférable aux grandeurs trompeuses et éphémères. -Ce passage renvoie au début du conte. La présentation de C comme ayant « le jugement le plus droit avec l’esprit le plus simple » montre qu’il est capable d’évolution malgré son aspect le plus souvent passif. Ici, il