Grandeur Déchue

LES FLEURS DU MALCharles BaudelaireETUDE DU TITRE :Titre en forme d’oxymore.Les fleurs : stéréotype de la poésieLe mal fait référence à 4 types de malLe mal social (être déchu, paria), moral (gout du crime et du sadisme) , physique et métaphysique (sentiment d’abandon de Dieu)INTRO : les fleurs du mal retrace l’itinéraire de Baudelaire, le cheminement de son âme qui vit une véritable descente aux enfers.Le spleen désigne la rate en anglais qui est l’organe considérer comme l’organe responsable de

de ponctuation (v.7-8 par exemple) illustrant sa petitesse ; refrain (dernier vers de chaque strophe) : rythme mécanique, sans génie ni originalité (2+2) : mépris du terme « petit » (utilisé pour appeler la volaille). Cette opposition entre la grandeur et la mesquinerie est aussi l’occasion pour Hugo de rappeler des événements historiques qu’il présente de manière subjective. v.2 « quinze ans » : référence au « règne » de Napoléon Ier, de 1799 (coup d’état du 18 Brumaire) à 1814 (1° abdication

transfigurer par le travail poétique l'expérience douloureuse de l'âme humaine en proie aux malheurs de l'existence (Baudelaire dit : " tu m'as donné ta boue, j'en fais de l'or "). Le mal fait référence à quatre types de mal : - mal social (être déchu) - mal moral (goût pour le crime et le sadisme) - mal physique - mal métaphysique (âme angoissé car il ne croit pas en Dieu) Oxymore : Fleurs/mal La structure du recueil de poèmes Baudelaire fait le constat que l’homme est

suivante (ceux du meilleur premier film et de la meilleure adaptation) ainsi que par une nomination aux Oscars du meilleur film d'animation. Le contexte historique: Persépolis était la capitale de l'empire Perse de 521 à 331 avant JC, et symbolise la grandeur de cette civilisation qui rayonnait sur le monde antique. Le titre de la bande dessinée de Marjane Satrapi porte donc un regard critique et ironique sur l'Iran d'aujourd'hui. Depuis 1953, l'Iran vit sous le régime du Shah, qui se durcit de plus en

cœur est brûlant de ta Parole. Rassasie-nous de ta Présence, De ton Corps glorieux. 1 - Car tu es l'Agneau immolé Qui enlève le péché du monde, En mourant tu as détruit la mort, En ressuscitant nous as rendu la vie ! 2 - Tu détruis un monde déchu Et voici la création nouvelle. De ta main nous tenons désormais La vie éternelle avec toi dans le Ciel ! 3 - Sur la croix, tu livras ton corps, Notre défenseur auprès du Père. Mis à mort tu es toujours vivant. Nous chantons ta gloire ô Christ

l’albatros évoque l’idée d’un être étranger au monde qui l’entoure. « L’Albatros » est composé de quatre quatrains en alexandrin. Les trois premiers quatrains sont opposés au dernier. Dans les vers 1 et 2, L'albatros est évoqué dans toute sa grandeur. Cette notion des grands espaces est renforcée par la périphrase du vers 2 : « Vaste oiseau des mers. ». L’oiseau donne une impression de majesté, de fluidité, comme l’eau sur laquelle vogue le navire mis en relief dans le vers 4 : « Le navire glissant

et son vocabulaire relève de la maturité : « fit de profondes réflexions », « je sais », « il faut » x 2, « mais » (opposition forte). Il n'est plus candide, il décide de son destin. 1 § : prise de conscience (réflexion et renoncement aux rêves de grandeur : « ce bon vieillard me paraît être fait un sort bien préférable) et prise de décision de Candide « il faut cultiver notre jardin »2§ : Mise en œuvre de la décision, mise au travail de la communauté. Les deux paragraphes sont construits de manière

instigateur de la Ve République fondée en 1958, il devient le 18e Président de la République française du 8 janvier 1959 au 28 avril 1969. Il est le premier à occuper la magistrature suprême sous la Cinquième République. Élevé dans une culture de grandeur nationale, Charles de Gaulle choisit la carrière d'officier. Prisonnier lors de la Première Guerre mondiale, il sert et publie dans l'entourage de Philippe Pétain, prônant l'usage des divisions blindées dans la guerre moderne auprès de personnalités

rationnelle, bien qu'elle s'adresse à des lecteurs nourris de philosophie et épris de sagesse antique. Il s'attache à montrer que la condition humaine ne peut être comprise qu'à la lumière de l'Ecriture, qui révèle l'histoire de l'homme, celle d'un être déchu. Pour lui, la philosophie stoïcienne d'Epictète pèche par orgueil en affirmant que nous sommes capables de faire notre salut nous-mêmes. De même, il critique le scepticisme de Montaigne, qui reconnaît l'impuissance de l'homme mais qui s'en accommode

Commune de Paris a été massacrée, la grandeur française semble belle et bien chose du passée. Entendons-nous, les pauvres français viennent de connaître deux révolutions, trois républiques, un retour de la monarchie, deux Napoléons différents. (Napoléon II est mort à 21 ans sans vraiment avoir régné, nous rappelant qu’il est toujours difficile de succéder à un parent populaire dans son domaine, n’est-ce pas Pascalin?) Tout ça en moins de 100 ans. Chez Littéraire déchu, nous ressentons un malaise et un