Grandeur Déchue

également des différences dans les missions attribuées au poète. Baudelaire laisse place au rêve « le poète est semblable au prince des nuées ». On retrouve la notion de grands espaces, l’aspect sublime : l’oiseau représente la majesté, la grandeur comparé à ce qui se trouve sur l’eau : la société. Pour Aragon, au contraire, le poète ne doit pas trouver son inspiration dans un passé imaginaire, mais s’inspirer de la réalité pour donner à ceux qui souffrent la force de poursuivre leur combat

maître Don Salluste. Les contradictions internes qui sont en lui vont aussi provoquer sa chute. Son identité usurpée est une autre cause de son échec puisqu’il prend le rôle de Don César. Néanmoins, Ruy Blas va atteindre le sublime, la grandeur. D’abord son courage lorsqu’il accepte le duel avec Don Guritan ; ensuite sa droiture dans la tirade aux ministres ; et à la fin, il assume sa condition de valet et décide de se suicider après avoir tué Don Salluste. • Don Salluste : C’est

est demi-dieu et son père, et coucher avec sa mère) ii. Périphrases excessivement valorisantes : le plus glorieux des enfants de Thèbes, l’enfant de Laïos font contraste avec d’autres fortement rabaissantes : sacrilège, souillure.  Œdipe est donc déchu de sont statut. b. Pitie i. Beaucoup de questions rhétoriques (l.4, 5, 6,13) égarement, perturbation ii. Exclamations (l.1, 7, 12) grandes émotions : Ah ! cri de douleur, dégout de soi iii. Impératifs (l.1, 2,34) : supplicationposition d’infériorité

Paris, capitale du « mal ») : « Tu m’a donné ta boue, et j’en ai fait de l’or ». Il reste à commenter la valeur généralisante du singulier défini : le mal, qui embrasse ici toutes les formes de souffrances et de misère. Mal social : les êtres déchus peuplent l’univers de Baudelaire. Mal moral : sadisme et goût du crime hantent les âmes. Mal physique : souffrance du corps et des nerfs du poète. Mal métaphysique : celui d’une âme angoissée par l’absence de Dieu, et attaquée pourtant par le tourment

bonheur. Mais au contraire, il est blasé et sans élan et Candide en parvenir a l’idée de « être heureux n’est pas n’être pas malheureux ». pococuranté a seulement une placidité matérielle, intellectuelle. 3. Chapitre 26 candide rencontre les rois déchus qui incarnent le malheur à ceux qui mesurer tous les exemption sur terre, mais qui ont tout perdu. Il arrive à la conclusion que ce ne sont pas les garants du bonheur puisqu’on peut tout perdre. 4. Chapitre 30 candide rencontre le derviche, il

ponctuation (v.7-8 par exemple) illustrant sa petitesse ; refrain (dernier vers de chaque strophe) : rythme mécanique, sans génie ni originalité (2+2) : mépris du terme « petit » (utilisé pour appeler la volaille). Cette opposition entre la grandeur et la mesquinerie est aussi l’occasion pour Hugo de rappeler des événements historiques qu’il présente de manière subjective. II) Réalité historique et parti pris : 1) réalité historique - Repères temporels et spatiaux : le

incompréhensible) et met en relief des sujets philosophiques importants. La justice, la politique, le bien et le mal, la misère et la grandeur de l’homme ainsi que le pouvoir sont en tous point des sujets sur lesquels Pascal se montre subversif sans pour autant être révolutionnaire. En effet Pascal réfléchit et use de toute sa réflexion pour démontrer le vide de l’homme, ce roi déchu et dépossédé par la chute originelle se noyant dans el divertissement pour oublier la conscience de sa misère qui fait de pourtant

parabole du poète oiseau - Le poème est fondé sur une double comparaison. L'albatros est personnifié étant donné que le poète est comparé à l'oiseau. Grâce à un réseau de personnification, les trois premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu « roi » v. 6, à un voyageur ailé tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une comparaison et une métaphore hyperbolique, un « prince des nuées » v.13 aux « ailes de géant » v.16. Exilé parmi les hommes, la vie

Mais au contraire, il est blasé et sans enthousiasme et Candide en arrive a l’idée de « être heureux n’est pas n’être pas malheureux ». Pococuranté a pourtant une sérénité matérielle, intellectuelle. 3. Chapitre 26 Candide rencontre les rois déchus qui incarnent le malheur à ceux qui avait tous les privilèges sur terre, mais qui ont tout perdu. Il arrive à la conclusion que ce ne sont pas les garants du bonheur puisqu’on peut tout perdre. 4. Chapitre 30 Candide rencontre le derviche, il

une sorte de voyage qui comporte six étapes. - Spleen et Idéal (85 poèmes) qui se caractérise par la déchirure du poète entre une aspiration vers un "Idéal" et le "Spleen ", c'est-à-dire l'ennui, l’angoisse. Cette section montre la misère et la grandeur de l'homme ainsi que le combat éternel de celui-ci, sans issue. - Tableaux Parisiens (30 poèmes) qui est une description de Paris considéré comme une ville fourmillante et pleine de rêve. C’est également une angoisse du poète due au spectacle des