Grand Seigneur Mechant Homme

précédente le Tartuffe. Dans cette pièce, il met en scène un libertin, DJ, dans une comédies de mœurs. Acte I scène 2 Dans cet extrait on attend l’apparition en scène de DJ qui a été présenté dans la scène précédente par Sganarelle. « Grand seigneur méchant homme » Nous verrons comment DJ va justifier ses actions, laisser Don Elvire. Tout d’abord pourquoi il réfute la fidélité, ensuite de comprendre qu’il est amoureux de la beauté. Enfin si ca justification est sincère. 1 axe DJ caractérise

critique de cette pièce bafoue les traditions religieuses, sociales et morales et suscite le scandale. En 1664, Tartuffe provoque la colère des catholiques. La pièce est interdite. Dom Juan en 1665 n’a pas plus de chance : on y voit un « grand seigneur méchant homme » braver Dieu et se transformer en faux dévot. Les ennuis s’accumulent. En 1666, Le Misanthrope n’a pas le succès escompté. Molière est malade et malheureux en ménage depuis qu’il a épousé la très jeune sœur (ou fille ?) de Madeleine en

chaque scène, une foule de qualités exquises, la science consommée du théâtre, un dialogue plein de naturel, une verve étourdis- sante, et plus encore, le poète comique guidé à chaque pas et sans cesse dominé par l'esprit profondément observateur du grand moraliste. II LE MARIAGE FORCÉ Le Mariage forcé vient après la Princesse d'Elide et fut joué sur le théâtre du Palais Royal le 3 février 1664. A la cour, où il avait été représenté, sous le titre de Ballet du Roi, le ' 29 janvier de la même année,

Créatures fantastiques Anges : créer par Dieu avant les hommes, ce sont ses messagers. Intelligents et d’une grande beauté, ils sont représentés vêtus de blanc et dotés d’ailes, mais en réalité, ce sont des esprits et ils sont donc immatériels. Il est dit que nous avons chacun un ange gardien qui est là pour guider notre vie. Centaures : créatures mi-homme, mi-cheval. Egocentriques et hautains, ils méprisent l’humain. Cerbère : chien à trois têtes dont le rôle est d’empêcher les damnés de

l'an 100. l'intérêt économique d’Église est menacé. le XIIe Siècle(la littérature française commence):la Société féodale < le fief un Seigneur devient le Suzerain le seigneur:pas de preuve d'écriture les autres seigneur deviennent le vassal:crée par la guerre ou le mariage une société tout est privée:pas comme la Société féodale, on connaît pas « le grand chef », on connaît seulement celui qui nous protège. Pas d'état. Il existe jusqu'au XVe Siècle. la croisade:contre les musulmans,renforcer

d’égal au tabac : c’est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre. Non-seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu’on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d’en donner à droit et à gauche, partout où l' on se trouve ? On n'attend pas même qu' on en demande, et l' on court au-devant

Dom Juan. _____1)__La volonté de faire un portrait. l.39-40 : « tu ne sais pas », l.41 : « je ne sais pas ». La répétition suscite la curiosité chez Gusman et le spectateur par le principe de la double énonciation. l.40 : « quel homme », l.41 : « quel homme » = répétition. On va chercher à savoir qui il est. Le champ lexical de la peinture « ébauche » (l.72), « portrait », « pinceau » (l.73) montre que le portrait qu'a entrepris Sganarelle n'est pas fini. « Il faudrait bien d'autres coups

Le chevalier et la pomme, deux en un. Connaissez-vous l'histoire d'Adam La Pomme autrement surnommé «Trognon»? C'était un homme très intelligent, habile, courageux mais aussi courtois. Il avait quand même un petit défaut: la gourmandise. Il était beau, musclé et tellement puissant qu'il pouvait vaincre le roi en duel. Mais maintenant vous allez assister à son adoubement. Le roi lui tendit ses équipements dont son épée, son écu et son haubert et dit le rituel. Les gens étaient contents et heureux

[modifier] Scène XII MONSIEUR SORBIN, HERMOCRATE, TIMAGÈNE, UN AUTRE HOMME, PERSINET HERMOCRATE Non, seigneur Timagène, nous ne pouvons pas mieux choisir ; le peuple n'a pas hésité sur Monsieur Sorbin, le reste des citoyens n'a eu qu'une voix pour vous, et nous sommes en de bonnes mains. PERSINET Messieurs, permettez l'importunité : je viens à vous, Monsieur Sorbin ; les affaires d'État me coupent la gorge, je suis abîmé ; vous croyez que vous aurez un gendre et c'est ce qui

rien d'égal au tabac : c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez vous pas bien, dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d'en donner à droit et à gauche, partout où l'on se trouve ? On n'attend pas même qu'on en demande, et l'on court au−devant