Grand Seigneur Mechant Homme

qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle. 1:20 Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit: Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l'enfant qu'elle a conçu vient du Saint-Esprit; 1:21 elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. 1:22 Tout cela arriva afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé

est annoncé par Sganarelle qui n’en fait qu’une « ébauche » l79. Cela éveille la curiosité du spectateur/lecteur. Ce portrait est fondé sur 2 points antagonistes : « Grand seigneur » : sous entend la dimmension aristocratique et les valeurs que DJ serait sensé avoir. Or, il les bafoue toutes. « méchant homme » : son coté libertin, débauché, libertinage de mœurs et de pensées (bafoue liens du mariage et c’est un athée (l64 65)) Choque Sga. (l83/84) C’est donc 1 portrait

flatterie (y compris l'aspect social). 2a –. Charmeur mais insolent et égoïste : il fascine (M.D.) et corrompt (S.). 2b – Vainqueur mais hypocrite, trompeur ("l'abuseur"), dénué de scrupules et de morale. 2c – La honte de la noblesse ("un grand seigneur méchant homme"). Conclusion Personnage ambigu (pièce ambiguë) puisque D.J. est une sorte démon séducteur et fascinant ; registre comique tempéré par le cynisme insolent de DJ. En ce sens quelque chose qui annonce les ambiguïtés de Diderot par

La Peste – Robert Desnos Une écriture poétique au service de la démonstration un tissu serré de symboles Rhinocéros – ionesco Le métamorphose Le fantastique / le surnaturel Séquence 4 : Itinéraire d'un grand seigneur méchant homme Acte I scène 1 Acte I scène 2 Acte III scène 2 Tentation de corruption choix de vie + personnalité de don juan Acte IV scène 4 Discours rhétorique basée sur valeurs aristocratiques complète le

« pourceau d’Epicure », qui désigne Dom Juan dans ce contexte comme un porc et « Epicure » est le nom d’un philosophe grec de l’antiquité dont la moralité et le plaisir. Sganarelle fait une antithèse qui définie très bien son maitre : « un grand seigneur méchant homme. ». …..Après avoir fait le portrait de son maitre, Sganarelle nous fait part du

La culpabilité de Dom Juam est sensible dans la représentation du spectre et le fait qu'il soit sous des traits féminins rappelle les fautes du libertin à l'égart des femmes qu'il a trahi et l'absence de remord domine chez Dom Juam. Le grand seigneur méchant homme répond à la possibilité et à l'injonction par l'endurcissement au péché, "il ne sera pas dit que je sois capable de me repentir." Dom Juam est l'homme du refus comme le traduisent le lexique et la syntaxe, et sa mort apparaît comme une

son gout pour la résistance. On peut aussi voir en ce gout de la conquete un narcissisme : Don Juan veut s'assurer qu'il plait, qu'il existe. L'amour est vu comme une conquete Don Juan utilise un lexique guerrier, et se compare a Alexandre le Grand. II L'autoportrait Don Juan incarne le libertin, et Moliere s'inspire et transfigure a travers Don Juan le Prince de Conti, qui a été elevé dans le meme college que lui. Beaucoup de démocrates pensaient que la religion amenaient la guerre et

Personnage hâbleur : Sganarelle est un perso qui parle beaucoup (de longues tirades). Il décrit son maître avec un vocabulaire courant, voir familier : « Si tu connaissais le pèlerin » (dans le langage populaire, « pèlerin » signifie un homme peu recommandable qui va de fête en fête). Langage courant mais aussi imagé et drôle : « épouser toi, ton chien, ton chat ». Il recherche à imiter le langage de son maître dans la première tirade : « inter nos » (latin), mais n’arrive qu’a le parodier

noble, Dom Juan, et plus généralement sur le thème de l'opposition entre la noblesse dominante qui possède tous les droits, et la roture encore impuissante et soumise du 17éme siècle. On se situe à l'acte I scène 2, après que Dom Juan ait fait sa grande tirade de l'inconstance, son valet essaie tant bien que mal de critiquer son maitre. Beaumarchais, auteur du 18eme siècle écrit Le mariage de Figaro en 1884 dans le cadre d'une trilogie, après Le barbier de Séville et avant La mère coupable. C'est

dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français. Il est l’auteur de nombreuses comédies très connues comme Tartuff ou l’imposteur (1664), l’Avare (1668) ou encore Les Fourberies de Scapin (1671).Molière est un grand partisan de la comédie, qu’il préfère à la tragédie, pour critiquer les mœurs. Dom Juan, qui et joué la première fois en 1665, connaît un succès considérable jusqu’à ce qu’il soit secrètement interdit par le roi sous la pression des dévots qui venaient