Géométrie non euclidienne

du livre. Ce narrateur qu'on peut, au vu du titre, imaginer être le mari, détaille de façon scrupuleuse et obsessionnelle, en empruntant à la langue de la géométrie et de la physique, les gestes et échanges des deux personnages ainsi que leur environnement, une maison coloniale sur une plantation de bananiers. Le récit, divisé en neuf sections non numérotées, n'est pas chronologique mais fonctionne sur le mode de la reprise, conformément à cette évocation à signification manifestement méta-poétique

seulement sur l’opinion en général, ou la science, voire leur opposition, mais sur la formation de l’esprit : l’enjeu est de former une pensée : apprendre à penser et cela, plus précisément, en science. Bachelard parle du point de vue scientifique, non dans l’absolu. En quoi l’opinion peut-elle constituer un obstacle à la formation de l’esprit scientifique ? Bachelard raisonne en opposant la science à l’opinion : il y a exclusion, chacune interdit l’autre. Il y a deux parties logiques dans ce §

aux sciences naturelles — en quête d’une légitimation scientifique de leur discipline —, permet à Giedion d’avancer une vision de l’architecture détachée de toute question de style. L’évolution de l’architecture est ainsi vue comme une continuité, non pas sous ses aspects formels, souvent « éphémères », mais sous ses aspects « constitutifs », des principes qui régissent l’intégration de ses parties. Elle a un subconscient (la construction), un concept structurant (l’espace — « grande constante de

le PGCD de 108 et de 135 en utilisant l’algorithme d’Euclide : |Etapes |A |B |Reste |Division euclidienne | |( |135 |108 |27 |135=108(1 +27 | | ( |108 |27 |0 |108 = 4 ( 27 | Le dernier reste non nul est 27 Donc PGCD(135 ;108) =27 2. a) le nombre de paquets qu’il pourra réaliser est le PGCD de 135 et 108 soit 27 paquets

des données supplémentaires. La représentation des schémas peut être simplifiée. PARTIE I : ANALYSE DU SUJET I) « Grandeurs et mesures » Le domaine est « Grandeurs et mesures » mais le sujet fait intervenir d'autres domaines tels que « Géométrie dans le plan » et « Nombres et calcul ». (cf III) Une grandeur est un caractère quantitatif associé à un objet. Il existe deux types de caractères quantitatifs : discrets (dénombrables) ou continus (indénombrables). La longueur existe indépendamment

de données : On peu retenir 3 grands objectifs : Explique : Explique une variable par une autre ou plusieurs autres variable Parmi les techniques utilisée dans ce chapitre les techniques de régression ( simple, linéaire, non linéaire, multiple, MLG, pas à pas, paramétrique, non paramétrique, Spline, PLS…etc) Synthétise ou résume : Réduire la volumétrie des données, retenir l’essentiel et le plus significatif Parmi les techniques utilisées dans ce chapitres les techniques d’analyse factoriel ( ACP

être Numérique, Chaine, Date, Monétaire, ou autres - Longueur : C’est l’espace alloué à la variable par SPSS pour le stockage. - Décimales : Le nombre de décimales après la "virgule" - Etiquette : Un label descriptif pour la variable, L’étiquette, et non le nom de la variable, suivra la variable dans les sorties -Valeurs : Pour affecter des étiquettes descriptives de valeur pour chaque valeur d'une variable - Manquants : Cette caractéristique donne sens aux valeurs manquantes. - Colonnes : La largeur

propositions logiques. 5.1.1 Connecteurs logiques Les connecteurs logiques sont des opérations permettant de créer de nouvelles propositions à partir de propositions existantes. La négation Soit P une proposition. La négation de P , ou « non P », notée ¬P est la proposition qui est vraie si P est fausse et fausse si P est vraie. On peut décrire la proposition ¬P à l’aide d’une table de vérité : P V F ¬P F V 5 La conjonction (et) La conjonction de deux propositions P et

factor(expr) factor(expr, Touches b32 var) Touches b3A2 Factorisation dans le corps cFactor(expr) des complexes ou cFactor(expr, var) PGCD de deux polynômes polyGcd(poly1, poly2) Touches b363 Quotient et reste dans la division euclidienne de deux polynômes polyQuotient(poly1, poly2) poly2) Touches b362 Touches b361 polyRemainder(poly1, © T³ France 2008 / Photocopie autorisée 8 Journées d’Été 2008 Racines d'un polynôme Racines dans le corps des complexes

des propositions logiques. 1.1.1 Connecteurs logiques Les connecteurs logiques sont des opérations permettant de créer de nouvelles propositions à partir de propositions existantes. La négation Soit P une proposition. La négation de P , ou « non P », notée ¬P est la proposition qui est vraie si P est fausse et fausse si P est vraie. On peut décrire la proposition ¬P à l’aide d’une table de vérité : P V F ¬P F V 5 La conjonction (et) La conjonction de deux propositions P et Q est la proposition