Gene Roddenberry

l’être humain a 23 paires de chromosomes. Les 2 chromosomes d’une même paire ont la même taille et les mêmes gènes aux même endroits. 3- Du gène à la protéine Un gène est une partie du chromosome exprimant au moins un caractère héréditaire. Expliquer qu’un gène est rarement un caractère. Sauf la langue en U! A partir d’un gène on obtient une protéine. Une protéine est une grosse molécule jouant un rôle important pour la structure et le fonctionnement des cellules. Elles permettent :

constater la différence entre une personne ayant le phénotype de fort goûteur ou encore une personne considérée comme faible goûteuse. C’est en évaluant les résultats et en déterminant qu’uniquement les personnes homozygotes dominantes peuvent goûter le PTC suffisamment pour être des individus goûteurs forts qu’il fut évident de conclure que la majorité des gens hétérozygotes sont des personnes goûteuses faibles. C’est pourquoi en utilisant ce «groupe de contrôle expérimental» lors de l’expérience

des métastases qui sont les localisations secondaires de la tumeur. Le cancer est une maladie génétique car il résulte d'altérations qui se manifestent au niveau du génome d’un individu donné. Il y a donc une modification brusque (mutation) d'un gène, c'est-à-dire d'une séquence de nucléotides entrant dans la composition de l’ADN d'une cellule donnée. Trois grandes catégories de gènes interviennent dans le développement des cancers : les oncogènes, les gènes « suppresseurs de tumeurs » et les gènes

d'une même espèce. La diversité des caractères au sein d'une espèce est révélatrice de la biodiversité engendrée par les mutations. En effet, nous savons que la variation d'un caractère dépend de la variation des séquences de nucléotides d'un même gène. La diversité des caractères est donc directement en lien avec les mutations ayant permis l’apparition de ces allèles. Cas des groupes sanguins. Cas des bactéries : baisse de la biodiversité 55 2/3 Chapitre 2 : variabilité génétique et mutation

portant des gènes. Le phénotype est l’ensemble des caractères observables d’un être vivant, il s’exprime à plusieurs échelles : moléculaire, cellulaire, macroscopique. Le phénotype dépend directement ou indirectement des différentes protéines. Un gène peut présenter plusieurs versions différentes (Allèles) qui diffèrent par leurs séquences nucléotidiques : il y a polyallèlisme. Comment apparaissent de nouveaux allèles ? Comment évolue le génome au cours du temps ? I- Le polymorphisme des

toujours au bon endroit, ce qui n'est pas sans conséquences pour la cellule. Cela peut la conduire à une mort cellulaire ou a une mutation. C'est un des problèmes de la thérapie génique. Il se présente deux solution : la première est de laisser le gène à l'extérieur des chromosomes, auxquels cas, il n'y aura pas de modifications. La deuxième est la substitution. Cette dernière présente l'avantage de ne pas modifier l'ordre des gênes. Si l'on introduit alors un herbicide dans les cultures, seules

dont l’un est d’origine paternelle, l’autre maternelle, selon le mécanisme habituel de la synthèse protéique. * Les parties protéiques des Ag sont ainsi réalisées directement. * Les parties glucidiques le sont indirectement la protéine codée par le gène de GS étant une glycosyl-transférase spécifique capable de greffer un sucre particulier sur une structure donnée (protéique résultant de l’activité génétique précédente ou glucidique résultant de l’activité d’une autre transférasse) en un point défini

particular gene or genes involved and the precise functions of these genes. […] Le terme « allèle » réfère à n’importe quel code d’AND qui se retrouve copier au même endroit sur un chromosome. Le génotype d’un individu correspond à son agencement d’allèle. Le terme « genetic polymorphism » réfère à la variabilité à travers les membres d’une espèce.[…] […]For instance, it was discovered in 2004 with research on male meadow voles that manipulating a gene, the

similaire à la production de protéines de soie chez les araignées donc on pense que la réticulation de protéines bon pourrait se produire chez les chèvres. Il a été suggéré que la séquence du gène entier peut ne pas être nécessaire pour produire de la soie d'araignée utile. Les perspectives incluent l'insertion de gène dans des champignons et des plantes de soja. Il peut également être possible de modifier les gènes de soie à des fins spécifiques. Par exemple la modification des gènes responsables de la

dire une combinaison de facteurs plus ou moins maîtrisables. On trouve dans certaines familles des gènes qui favorisent l'apparition de milliers de polypes, ce qui représente un risque élevé de cancer du côlon. D'autres familles ne possèdent pas ce gène, mais on y observe tout de même une incidence de cancer du côlon plus élevée que celle de la population générale. De la même façon, des personnes issues de familles où cette maladie n'est jamais apparue peuvent être frappées par le cancer du côlon