Gene
Lors de l’expérience d’analyse génétique, il est advenu que sur 12 étudiants-expérimentateurs, 3 ont le phénotype d’homozygote goûteur et 3 ont celui d’homozygote non-goûteur tandis que 5 personnes ont été établie comme étant des hétérozygotes faibles goûteurs. Ces résultats peuvent aussi être interprétés en pourcentage. Effectivement, les données finales de cette expérience indiquent que 25% des étudiants sont des supers-goûteurs, 25% sont des homozygotes non-goûteurs et qu’environ 42 % des élèves sont des faibles goûteurs. Il manque visiblement 8% pour compléter le 100% au complet. Ce manque est explicable par le fait qu’une équipe n’a obtenu aucun résultat, en raison de manipulations manquées. Ces résultats suggèrent donc qu’avec l’analyse d’ADN, il est facile de prédire le phénotype d’une personne par rapport à sa capacité à goûter le goût amer du PTC. En effet, puisque la corrélation est très bonne entre les génotypes et les phénotypes des données, celles-ci concordant parfaitement comme elles sont supposées être (un homozygote goûteur est fort goûteur, un homozygote non-goûteur est non-goûteur et un hétérozygote est faible goûteur), cela confirme qu’en analysant l’ADN d’un individu, sont phénotype sera quasiment une certitude