Gène Hox

L2-Biotechnologie Santé Module S3-4 : Biotechnologies, épigénétique et génétique moléculaire Expression des genomes: la traduction 2015-2016 Julien Fauré, MCU-PH ---GTGCACCTGACTCCTGAG-----CACGTGGACTGAGGACTC--- --- GUGCACCUGACUCCUGAG --- --val-his-leu-thr-pro-glu--- I. Le code génétique 1. Mise en évidence 1957: Nirenberg & Matthaei - 4 bases vs 20 acides aminés lecture des bases 1 à 1 : 41 = 4 combinaisons lecture des bases 2 à 2 : 42 = 16 combinaisons lecture des bases 3 à 3 : 43 = 64

Chapitre 1 : brassage génétique et diversification des génomes Acquis des années précédentes : - chromosome constitué d’ADN, support de l’information génétique gène – allèle – notion de dominance/récessivité au niveau cellulaire et macroscopique caryotype identique pour tous les individus d’une même espèce caryotype identique pour toutes les cellules de l’organisme (sauf les cellules reproductrices) existence dans chaque cellule de paires de chromosomes portant les mêmes gènes mais pas forcément

la synthèse d'une protéine = copie du gène (ADN) en une molécule d'ARN = transcription Ribonucléotides libres 3’ 5’ 5’ 3’ Copie du gène en ARN = ARNm (ARN messager) 3’ 5’ 3’ 5’ 5’ 3’ L'ARNm se détache et la molécule d'ADN se referme Synthèse de l'ARNm se fait par l'enzyme ARN polymérase ARN polymérase se fixe à l’ADN au niveau d’une courte séquence d'ADN placée juste avant le début du gène = promoteur Le promoteur indique: • Le début du gène à transcrire en ARNm (où l’ARN polymérase

I-Condylomes ano-génitaux : I.1 Définition : Les condylomes ou verrues ano-génitales sont des lésions macroscopiques (prolifération épithéliale exophytique), pathologie fréquente chez les sujets ayant débuté leur activité sexuelle. Ils sont dus à une infection par des papillomavirus humains (PVH), dont certains jouent un rôle déterminant dans la survenue et le développement des cancers épidermoïdes de l'anus, de la vulve et du col utérin [1]. Cette infection est transmise le plus souvent par voie

Exercice 9 page 46 : 1- Deux allèles différents du gène LCT ont été étudiés : l'un portant un G en position 22 108 du gène , l'autre présentant un A à cette position 2- Tous les homozygotes G/G sont intolérants au lactose, les homozygotes A/A tolèrent le lactose. Les hétérozygotes G/A sont majoritairement tolérants au lactose. La capacité à tolérer le lactose à l'âge adulte dépend donc des allèles du gène LCT, l'allèle A favorisant la tolérance au lactose. 3- Les populations les plus tolérantes au

Canaux de Wolff -> Canaux de Müller 2.1.2) Mise en place du sexe gonadique *Chez l'embryon XY : présence du gène SRY sur le chromo. 4 -> code pour une protéine TDF => différenciation de la gonade bi potentielle en testicule. Protéine TDF se lie à l'ADN -> expression en cascade de gènes -> différenciation *Chez l' embryon XX, en l'absence de gène SRY, la gonade indifférenciée évolue en ovaire à partir de la 8e semaine et jusqu'à la 18e semaine. Intervention des gènes dans la

provenant du père et un chromosome X de la mère. Les femmes sont donc XX et les hommes XY. bien qu’il y ait le même nombre de chromosomes chez les femmes et les hommes, un chromosome les différencie et possède un gène permettant de passer d’un sexe à l’autre. Il s’agit en effet du gène SRY ( Sex determining region of y) qui détermine la masculinisation d'un individu. Après l’activation de la différenciation testiculaire, deux hormones sont produites (testostérone et AMH (anti müllérienne hormone))

mis en évidence de nombreuses similitudes. Les similitudes sont interprétées comme le résultat d’une ou plusieurs duplications d’un gène ancestral tandis que les différences sont le résultat de l’accumulation de mutations au cours du temps. Les gènes des pigments rétiniens constituent une famille multigénique.   Famille multigénique: ensemble des gènes dérivant d’un gène ancestral par duplication et mutations. Conclusion du chapitre Grâce au cristallin qui focalise la lumière sur la rétine et à l’absorption

les chromosomes seulement visibles au moment de la mitose. Chaque chromosome porte des gènes, qui déterminent des caractères héréditaires. En général dans une cellule un gène existe en deux exemplaires, occupant la même position sur chacun des deux chromosomes d’une paire. Les allèles représentent les différentes versions d’un gène. Chaque cellule humaine comprend 23 paires de chromosomes, soit 46 chromosomes. Les gamètes ne contiennent que 23 chromosomes, le stock chromosomique étant reconstitué au

présentent un caractère nouveau (ici la couleur blanche) absent chez l’individu dont cette colonie est issue. Au fil du temps la proportion des colonies mutante devient donc de plus en plus importante en proportion avec la durée des rayons ultraviolets. Le gène responsable de la couleur des colonies a été modifié sous l’influence des UV pour la cellule mère. Ce qui crée des colonies qui ont changé de couleur. Ceci est donc du au rayons UV qui est un agent extérieur .On peut dire que c’est un agent mutagène