Gallicanisme

affirmé comme le maître des finances et de la justice de son royaume. Il se pose en protecteur des libertés de l'église de France = elle reste soumise au pape en matière spirituelle, mais en matière temporelle, elle est soumise au roi de France = le gallicanisme. Cette théorie n'est pas toujours très nette, et est à l'origine de nombreuses crises entre la royauté et la papauté jusqu'au XIXème. Pour rétablir de bonnes relations avec le roi de France, la papauté s'est installée en Avignon à partir de 1309

évêques). L'importance de cet ordre résulte des liens particuliers qu'il entretient avec le pouvoir royal. L’Église, durant le Moyen-Age, est l'un des soutiens du Roi dans la reconquête de son pouvoir. À la fin du Moyen Age, le Roi, en favorisant le Gallicanisme (Pragmatique Sanction de Bourge de 1438 et Concordat de Bologne de 1515), permet au clergé de France d'échapper en partie à l'autorité du Pape. Le Roi devient le protecteur de cette église nationale, et cette dernière est placée sous son contrôle

pouvoir du droit divin, défendait le catholicisme. Toutefois, dans le domaine religieux comme dans les autres, il visait à contrôler l'ensemble de ses sujets au profit de sa politique de grandeur à l'extérieur. C'est pourquoi il était partisan du gallicanisme: il voulait une France catholique unifiée sous ses ordres mais indépendante du pape si celui-ci soutenait ses ennemis Habsbourg. Ayant aboli « l'Edit de Nantes » (南特赦令) , contracté par Henri IV, qui avait permis la mission païenne en France, il

rapports entre spirituel et temporel va prendre une forme particulière que l'on appèle le gallicanisme. C'est une doctrine qui régit les relations du roi et de l'Église de France avec la papauté. Cette doctrine assure une certaine liberté à l'Église nationale : l'église gallicane. Cela veut dire que le roi est considéré comme le protecteur de L'Église. Ce gallicanisme peut prendre deux formes : le gallicanisme politique : il repose sur l'idée que le roi de France et l'Église de France ne sont pas

seculiers et dvp une vie de cour fastueuse:contraste fort ac la misere des popu ce qui choque une partie des chre et les condui a reflechir La papauté est critiqué mais la critique de la papauté est ss le control de la monar fr ds le cadre d u gallicanisme d etat:pr le roi de fr il s agit d affirmer son indepen a l egard de la papau et aussi le plan mili et aboutit en 1516 sur le concordat de bologne qui place la fr ds une situa tres particu et favorable. Les confessions minoritaires jufs et muslim

Régale. Le Sacré-Cœur se révèle à sainte Marguerite-Marie. 1676 Début du règne du bienheureux Innocent XI (1676-1689), le plus grand pape du XVIIème siècle. Début de la lutte avec Louis XIV pour faire respecter les droits de l’Église face au gallicanisme. 1682 Déclaration schismatique des quatre articles par l’Assemblée du Clergé de France. 1683 2ème siège de Vienne. Jean III Sobieski, roi de Pologne, et Charles V, duc de Lorraine sauvent la capitale de l’Empire avec le capucin, Marc

avec la révocation de l’édit de Nantes par Louis XIV en 1685, qui met fin à la tolérance vis-à-vis des protestants, et le poids des Jésuites et des Jansénistes. En effet les Jésuites, en plus de leur influence politique, critiquée par les tenants du gallicanisme, contribuent à la formation de la pensée du siècle et à l’élaboration du style classique. Les écoles jésuites apportent deux éléments essentiels dans la formation du classicisme : le goût humaniste pour les Anciens reconnus comme modèle de beauté

sont mieux distingués. Le système de la cité antique continue en son existence historique si bien que comment le dissocier ? Alors ce sont les chefs politiques qui mettent la main dessus et c’est la période des investitures 4. Anglicanisme et Gallicanisme. Révocation de l’Edit de Nantes. En 1685, ce n’est pas religieux mais cela s’est fait dans le cadre de l’anglicanisme. La révocation de cet édit voulait que le religieux serve au politique. La tendance gallicane est une tendance nordique, sa source

souveraineté : le gallicanisme a) L’attitude plus conciliante des successeurs de Boniface VIII Les papes suivants se montrèrent bien plus accommodants et le roi obtient la condamnation de l’attitude de Boniface et la reconnaissance du bien-fondé de la sienne. S’ils se montrent aussi conciliants à l’égard de la royauté française, c’est parce qu’ils sont sous sa coupe, installés à Avignon. L’immixtion de la papauté dans les affaires du royaume est ainsi condamnée. b) L’émergence du gallicanisme politique

rythme le quotidien. La paroisse = centre de vie administrative. C'est peut être au sein du clergé lui même que les désordres et conflits sont les plus importants. Dissensions entre le Haut et le Bas clergé. Il y a des querelles doctrinales (Gallicanisme, jansénisme, richerisme, athéisme…) Dans la France d’Ancien Régime, les relations entre l’État et l'Église sont réglées par le Concordat de Bologne de 1516. Le roi nomme la hiérarchie ecclésiastique. Le pape se réserve l’investiture canonique