Frankenstein

earned ». Chose qui pourrait être difficile, compte tenu du fait que le cinéma utilise énormément la nanotechnologie comme médium de peur. Déjà, au début du cinéma, la peur du public face à la communauté scientifique paraissait : on a qu’à penser à Frankenstein de Mary Shelley ou à I,robot de Isaac Asimov. Certains scénarios catastrophes, tels des nanorobots qui se reproduisent et attaquent les humains, ont déjà commencés à être créer. Il est donc important que les gens commencent rapidement et le plus

la que l’expression faire pour faire prend tout sont sens. Le fait qu’ils choisissent un cast alléchant accentue le coté commercial en choisissant des acteurs qui sont en vogue. Certaines mises même sur d’anciens succès comme Sherlok Holmes ou Frankenstein en proposant au public une vision en phase avec son époque. Le film commercial se base plus sur la forme que sur le fond. Nous pensons qu’un vrai film, devrait être basé d’autant plus sur le fond que la forme. Le cinéma est appelé septième art

le caractère absurde voire grotesque de la guerre et de ce qu’elle a engendré dans la société. .Il nous montre qu'il n'y a rien de bon dans la guerre que tout est mutilation et désolation. On se retrouve avec des hommes “monstres” limite Frankenstein, des êtres humains assemblés et racommodés à la fois avec des prothèses en fer et en bois comme des marionnettes. Malgré ce faux semblant d'humanité dans l'idée que ces hommes soient bien habillés, bien coiffés, qu'ils sortent au café et avec

historien de la science-fiction est de négliger qu'il ne peut y avoir de science-fiction tant qu'il n'y a pas de sciences, et même de sciences appliquée. » Donc ont considèrent que le premier roman de science-fiction n'est autre que le roman Frankenstein de Mary Shelley. C'est du moins le premier ouvrage dans lequel un auteur prétend créer une histoire fantastique qui ne relève pas de la pure fantaisie ou du surnaturel. • Thomas More (1478-1535), Utopia, 1516 • Francis Godwin (1562-1633)

pièces dans différentes espèces, et les assembler pour créer de nouvelles espèces. A la vitesse à laquelle évoluent ces sciences, qui jouent avec les mécanismes fondamentaux de la vie, il est à craindre que l’on obtienne dans un avenir proche des Frankenstein mi-animaux mi-végétaux. Le risque est donc de voir disparaître la notion même d’espèce. On ne parlera plus de colza ou de maïs, mais d’organisme producteur de telle ou telle molécule. Perte de spécificité du monde agricole L’agriculture intensive

trop étroite. II. MAIS les personnages romanesques ont d'autres fonctions. 1. Un personnage peut distraire le lecteur, susciter l'émotion, le rire ou les larmes. Manon Lescaut, le chevalier des Grieux la pitié du lecteur. Dracula, le monstre de Frankenstein… 2. Un personnage peut donner lieu à une analyse psychologique. Le bovarysme. Le père Goriot, ce Balzac : Le "Christ de la paternité". Chez Balzac, encore : l'avarice de Grandet, l'ambition de Rastignac. Meursault dans L'Étranger, de Camus. 3.

le Bossu de Notre Dame de V. Hugo, archétype du "monstre sympathique", atteint de déformations physiques, il reste capable de sentiments, amoureux d'Esméralda, il va mourir auprès de son corps après qu'elle fut exécutée. De même, la créature de Frankenstein, inventé par Mary Shelley, est hideuse et criminelle, pourtant elle touche le lecteur par sa particularité, elle est paradoxalement émouvante. Cependant, plus souvent, les héros sont monstrueux sur le plan moral. En effet, dans Les Liaisons Dangereuses

l’adéquation entre le mot et son idée. Mais la lucidité de l’auteur ne suffit pas. L’auteur compose également son œuvre à partir d'une expérience personnelle, comme Mary Shelley qui, une nuit d'hiver, fait un cauchemar et décide alors d'écrire Frankenstein. Nous pouvons donc penser que la part que Michel Tournier fait au lecteur est excessive. Néanmoins, le roman fonctionne grâce à la communication de ces deux éléments, l’auteur et le lecteur. Une œuvre a certes besoin de son lecteur et de son

romantiques que celles du lac de Genève ». (Nous soulignons dans la citation.)] [11: Aspect mystique (= relatif au mystère, à une croyance cachée, supérieure à la raison, dans le domaine religieux, cf. Le Petit Robert). ] [12: Cf. Dossier de Frankenstein ou Le Prométhée moderne de Mary Shelley (Folio-plus-classiques, p. 319). Nous soulignons certains passages dans la citation. ] 6) Un malaise moral : le héros romantique (tourmenté, souvent partagé entre exaltation

produire dans des formes nouvelles assujetties à des attentes précises. Cf. en ce sens les évocations contemporaines qui confondent souvent sans grande rigueur les figures de Prométhée, de Faust et de Frankenstein, dans la peur diffuse d'un savoir capable de produire un pouvoir sans limites (le docteur Frankenstein comme stéréotype du « savant fou » imaginé à la fin du XVIIIème siècle, en liaison avec certaines expérimentations électriques sur le vivant). 3) Scénario inquiétant rendu familier par une « contre-utopie