Frankenstein

sera amené a rencontré une pléiade de personnages plus extravagants les uns que les autres: Outre le roi des citrouilles, on trouve Sally, poupée de chiffon créée par l' odieu Docteur Finkelstein, qui parodie et reprend l' histoire du monstre de Frankenstein. Ces créatures fantasques évoluent dans des décors insolites, ocillants entre le gotisme baroque et la féerie pure: Champs de citrouilles au faciés ricanants, manoir biscornu, cimetière et laboratoire diabolique encombré de fioles et d' éprouvette

combattus que par arme nucléaire. Chez Max Brooks (World War Z), on apprend que le froid intense (fortes gelées ou froid persistant des zones polaires ou péri-polaires) aurait un effet inhibant voir mortel sur les zombies. Littérature La créature de Frankenstein est probablement le mort-vivant le plus connu de la littérature, et dont l'origine se rapproche le plus du zombie vaudou. Cependant, il demeure trop intelligent et autonome pour remplir les critères du zombie, sans compter que son corps n'est pas

mythe de l’individu sous différents angles. En effet son œuvre se découpe en 7 chapitres. Le premier traite de l’individu et de la création de la modernité, un second chapitre où il s’appui sur le mythe de Sisyphe, dans une troisième partie nommé Frankenstein: un individu. Dans une quatrième partie il traite de la déconstruction de l’individu puis dans le chapitre suivant il aborde le thème de la situation, c’est la partie la plus philosophique de l’ouvrage. Enfin dans les parties 6 et 7 il parle de

et de repousser ce qui fait peur à chacun de nous, ce qu’il ne peut vouloir devenir. Le monstre a donc un rôle important, et est d’ailleurs, après Homère promis à une postérité importante : des créations étranges de Jérôme Bosch en peinture, à Frankenstein chez Mary Shelley, aux orques dans Le Seigneur des anneaux, ils se multiplient en tendant à chaque fois un miroir inversé au lecteur.

ambivalente • Cette ambivalence de la technique, à la fois bonne pour l’homme et agressive à l’égard de la nature, s’aggrave dans la littérature du XIXe siècle : le confort acquis par l’homme s’accompagne d’un danger éventuel, thématisé dans le Frankenstein de Mary Shelley aussi bien que par les ingénieurs ou savants fous de Jules Verne. • Aucune technique n’est « neutre » : sa valeur vient de l’usage qui en est décidé. Pour peu qu’elle soit au service d’une science elle-même mal orientée, c’est la

c’est important pour la littérature science-fictionelle d’éviter la glorification des avancements technologique anthropocentrique, progressiste et superficiel. Mais avant Gernsback et avant Renard, il y était, Mary Shelley l’auteur de Frankenstein. Technophobe, elle évoquait ni l’optimisme de Gernsback ni l’ambivalence spéculative de Renard. Shelley était influencée par la révolution scientifique et industrielle en Angleterre, elle explore les rêves et les cauchemars venant

peut ensuite avoir pour rôle de faire rêvé le lecteur : il est invité à rentrée dans l’histoire ou considérer le monde qui l’entoure mais de le conduire dans de chemins inconnus. Avec les personnages comme Dracula, le plus célèbres des vampires ou Frankenstein, font de leurs des personnages exceptionnelle et d’une force extraordinaires pour manipuler les lecteurs.Les héros de roman séduit no parce qu’il renvoie à la société mais parce qu’il transporte loin de tout monde connu. Enfin, les portraits sont

cordée - A. GIDE, Les Caves du Vatican, le livre V (Lafcadio) - W. GOETHE, Faust - A. HUXLEY, Le Meilleur des mondes - Jean de LÉRY, Histoire d’un voyage en la terre du Brésil - R. MERLE, Malevil - P. PONSON DU TERRAIL, Rocambole - M. SHELLEY, Frankenstein ou le Prométhée moderne  - D. SIMMONS, Ilium - R. L. STEVENSON, L’étrange Cas du docteur Jekyll et Mr Hyde  - E. ZOLA, Au Bonheur des Dames ( Sans parler d’une grande quantité de romans de science-fiction, depuis Isaac Asimov, Arthur C. Clarke

• • • Art et esthétique de la laideur • • • • • • • Art et mur de Berlin • • • Affiche Extrait de Madame Butterfly, Puccini Cannibale, Daeninckx Candide ou l'optimiste de Voltaire Etranges étrangers Extrait de Frankenstein, Whale L'âge d'homme de Michel Leiris Les mystères de Paris Comparaison des 2 poésies Autoportrait à la grimace, Chagall Portrait de Michel Leiris extrait d'Elektra, Strauss Le naufrage du mur, Girot Heroes, Bowie Chute libre à Berlin

déjà contenu dans ce que nous avons dit précédemment, mais il faut entendre le caractère radical qu'il comporte et l'exigence devant laquelle il nous place. Éduquer n'est pas fabriquer et j'ai montré à quel point le syndrome de Frankenstein pouvait être mortifère (Frankenstein pédagogue, Paris, ESF éditeur, 1996). Éduquer c'est viser à l'émergence de quelqu'un qui nous échappe et que nous renonçons à contrôler, c'est se dégager de notre désir de maîtrise qui nous fait toujours vouloir « faire le bien