Frankenstein

la dernière nouvelle pourquoi le recueil porte son nomII/- L’immortel, Première nouvelle et la plus richeAstérion : un des noms du minotaure.Ontologie : la science de l’être. Il n’a pas d’autre lui-même, on peut le rapprocher de la créature de Frankenstein Sémitiques (Grec, Arabe) ensemble culturel vaste, linguistique. Le mot vient de Sem, fils de Noé dans la Bible. 2. L’aleph comme symbole de l’infiniUtilisé dans les mathématiques, pour la puissance des espaces infinis, on parle des Aleph dans la

L’œuvre, Au Bonheur des dames Thérèse Raquin (1867)… (voir cycle des Rougon-Macquart) - R. et symbolisme : - Huysmans : A Rebours. - E. Brontë : Les Hauts de Hurlevent (1847) - Mary Shelley : Frankenstein (1818) - Walter Scott : Ivanhoe (1819) Quentin Durward (1823) - Dostoïevski : Les Frères Karamazov Crime et Châtiment (1866) L’Idiot

scientifiques, ethnologiques ou utopiques (Swift, « les voyages de Gulliver », 1726- Jules Verne, « Vingt mille lieues sous les mers »-1870) ; le roman fantastique ou de science-fiction bouleverse les lois de notre réalité quotidienne (Shelley, « Frankenstein ou le Prométhée moderne », 1817, Maupassant « le Horla » en 1887) ; le roman noir évoque la violence et l’immoralité ; le roman policier se fonde sur une énigme à résoudre ( Conan Doyle, « les aventures de Sherlock Holmes », 1891-1927) ; le roman

valoriser les beaux personnages, il faudrait alors exclure les monstres physique qui pourtant sont des personnages majeurs de la littérature : Quasimodo dans Notre-Dame de Paris et Gwynplaine dans l'Homme qui rit de Victor Hugo la créature de Frankenstein ou encore la mort en tant que narrateur dans La voleuse de livres dont la caricature symbolise l'horreur.. Parallèlement en ce qui concerne la beauté morale, certes certains personnages sont particulièrement vertueux comme Mme de Clèves de Lafayette

imaginaire. Par le biais d’un personnage, la lecture nous permet de vivre des choses qu’on a jamais vécues. Elle décroche le lecteur de la réalité, les histoires fictives remplacent le vécu. Nous pouvons citer les romans de science fiction, tel que Frankenstein de Mary Shelley, par exemple. Ce genre de roman, entre autres, permet au lecteur de faire appel à l’imagination. L’imaginaire de la lecture offre au lecteur un vaste espace de blanc dans lequel va s’exercer entre les lignes, entre les pages,

été très bien montré dès 1818 par l’auteur britannique Mary Shelley dans « Frankenstein ou le Prométhée moderne » où la science est vu comme un Hybris (que l’on pourrait traduire par la notion de démesure) c'est-à-dire que tel Prométhée qui en donnant le feu et la connaissance du bien et du mal aux hommes se voit condamné à se faire dévorer le foie par un vautour pour avoir voulu changer la nature vierge, Victor Frankenstein se trouve puni par la technique qu’il a utilisé pour améliorer selon lui la

LA CREATIVITE ARTISTIQUE SUPPOSE-T-ELLE NECESSAIREMENT UNE FORME DE FOLIE ? Virginia Woolf écrivait « Malades, il devient possible de voir ce que nous ignorons en temps normal » pour mettre en exergue le lien entre sa maladie mentale et l’écriture de ses romans. Par définition, le terme de folie, apparu pour la première fois dans La chanson de Roland en 1098, désigne pour la doxa l’aliénation mentale, par opposition à la raison. Elle

son premier court métrage d’animation, Vincent, en hommage à Vincent Price qui commente lui-même en voix-off l’histoire d’un petit garçon qui se prend pour Vincent Price. En 1984, il réalise le court- métrage Frankenweenie, hommage burlesque à Frankenstein, où un gamin ressuscite son chien selon les méthodes du même docteur.
Il quitte ensuite Disney et réalise son film Aladin, puis met en scène son premier long métrage, en 1985, Pee Wee’s big adventure, puis, en 1988, Beetlejuice (comédie fantastique)

supériorité incontestables d'être vivante. Succès garanti. Adam bis devient plus célèbre que La Joconde. Mais qu'on le prive de sa liberté et du droit à la conscience, et tout de suite l'homme commence à résister. Un peu cette fois-ci à la façon de Frankenstein, la créature décide d'échapper à son créateur afin de reconquérir sa liberté perdue. Personnages Le jeune homme : Tazio Firelli, qui deviendra Adam bis âgé de 20 ans, suicidaire et inexistant Zeus-Peter Lama : artiste contemporain

Les maths sont la technique. Dualisme entre la pensée et la matière. L’étendu de la matière est disponible à la transformation technique (dissection nouvelle). On peut transformer l’homme, la machine simule la vivant (Frankenstein) => améliorer l’homme. Qu’est ce que le vivant par rapport à l’inerte ? Approche désacralisée du corps. Courant de l’empirisme qui va nous dire que les connaissances viennent des expériences => courant rationaliste structure de la pensée avant