Foule

impressionnant sur lui la grandeur intellectuelle de la performance. Un voleur se déplace à travers la foule, le vol des mouchoirs et des sacs à main.Un groupe de pages s'étend sur sarbacanes tir à l'autre. Deux élégantes marquises, avec des épées attachées à leur ceinture, la bande de roulement à travers la foule, à l'écart et condescendant. Les lampes sont allumées, et les acclamations de la foule, connaître les performances débutera bientôt. Résumé - Acte I, scène ii Le public attend que le jeu

chaleureusement. Il réunit tout son village et vola au centre de la foule. Il dit d’une voix forte et claire. - Chers Célestiens ! Moi, Christian, fit une grande découverte ! J’ai entre mes mains un fruit permettant de produire un bonheur inégalé ! Goûtez donc à cette merveille que j’ai nommé “L’Éther” ! L'être distribua à chacun des habitants une portion d’Éther, et presque immédiatement, des cris de joie et de plaisirs s'élevèrent de la foule. Les villageois acclamèrent l’aventurier et des questions sur

autres : « il voit, quand les autres végètent » (importance de la conjonction quand qui marque la simultanéité et souligne cette opposition) + opposition »inscrit en silence »/ « ce que la foule n'entend pas ». Le possessif « votre » au v 33 témoigne de la distance qui oppose la situation du poète de celle de la foule. Cette différence suscite aussi le mépris et la raillerie et Hugo reprend le motif romantique du poète maudit et incompris : verbes « raille » et « rit » + allitération en [R]+ champ lexical

chaque allure. (au trop : le poser du diagonal droit correspond au premier temps suivi d’une période de projection ; le 2ème temps a lieu lorsque le diagonal gauche se pose au sol.) La foulée est la distance qui sépare 2 posers d’un même membre. La cadence est la mesure régulière que le cheval ou le poney met dans ses

d'ailleurs qu'avec lui elle n'a donc plus d'intéret pour Bel-Ami et peut aller rejoindre les coulisses. * Le point de vue interne nous montre les sentiments de Bel-Ami, son premier regard se porte sur "Madame de Marelle" (désir) et le second sur "la foule". On retrouve les deux soifs du héros de l'incipit: les femmes et l'ambition. * Le point de vue omniscient nous montre que les femmes sont plus importantes que l'ambition, le mot "lit" clôt le roman, c'est l'ouverture finale, comme dans Le Père

entendu ce bruit auparavant. Avec circonspection, Varian s’avança vers la porte et colla son oreille contre le bois de chêne poli. Rien. Aucun mouvement. Aucun bruit de pas. Puis, comme venant de très loin, le bourdonnement sourd et étouffé d’une foule en liesse devant le château enfla. Me serais-je réveillé trop tard pour assister aux festivités prévues aujourd’hui ? L’étrange goutte-à-goutte se fit de nouveau entendre, tombant cette fois sur le sol glacé, évoquant distinctement une sensation

métier avec l’emploi d’une accumulation : « Tout n’était que lumière, poussière, cris, joie, tumulte » l.4. Cette accumulation renvoie au champ lexical de la gaieté. Baudelaire exprime donc la festivité du cirque, l’admiration et la bonne humeur de la foule. Cette jovialité est en opposition avec le quotidien du Saltimbanque. Par ailleurs, le poète nous décrit le personnage comme étant miséreux et gueux. La présence du champ lexical de la souffrance nous le confirme : « baraque » l.9, « pauvre » l

de presse. | | |Sous la bannière de la Double-Croix, le Dictateur s'adresse à ses partisans : il vocifère , s'étouffe, crie, les | | |paroles peu compréhensibles. La foule écoute, crie applaudit, obéit au doigt et l'œil du Dictateur. | | |Un journaliste en voix off commente le discours.( en fait il lit un texte écrit par Garbitsch). Hinkel formule des | |

maigre pas très fort mais qui a le courage de prendre la parole avec une voix qui porte mais hésitante. 2 Le niveau de langue qu'il emploie est soutenu. Il est très révérencieux dans ses propos. Il ne parle pas la même langue des ouvriers. 3 La foule réagit en le huant. Elle lui montre clairement que ce n'est pas lui qu'elle veut entendre. Elle veut de longs discours elle veut simplement qu'on lui donne des éclaircissements sur ce qui est passé. 4 Un vieil ouvrier métallurgiste expérimenté sa

à Rome au milieu de la foule semblent obéir à l'injonction de l'ancien pape. "Je veux montrer que, grâce à ce pape, l'Eglise est vivante et jeune". Avec sa bande de copains, qui avant la messe vendaient aux fidèles T-shirt, tabliers de cuisine et crayons aux couleurs des Journées mondiales de la jeunesse, prévues à Madrid en août, Isabel aurait "adoré" se recueillir sur la tombe de Jean Paul II et voir de près le reliquaire contenant une ampoule de son sang. Mais la foule compacte et le temps l'empêcheront