Foule

dénoncer la cruauté des habitants de province. Dans une première partie, nous verrons que ce récit s'apparente à une scène de spectacle, et nous étudierons dans une deuxième partie comment cette scène se transforme en mise à mort où la violence de la foule est particulièrement forteCette nouvelle évoque la société de la IIIème République en province, dans la ville fictive de Loubain, et plusparticulièrement la condition des femmes à cette époque-là. C'est un récit enchâssé : un voyageur attendant son

foules pour diffuser sa propagande (la place Rouge, le stade de Nuremberg). Il s’intéresse à un type particulier de foule : il distingue la foule ordinaire de la foule psychologique. Il écrit qu’au sens ordinaire, la foule représente une réunion d’individus quelconques, quelque soit leur origine, leur profession, leur sexe. Ils se trouvent regrouper dans une foule par hasard. La foule psychologique possède des caractéristiques totalement différentes que celles de chaque individu présent : le rassemblement

alors ; deux manifestants, un jeune abbé et M. Cadic, ferblantier à Lorient, rue Paul-Bert sont arrêtés. On relâche presqu’aussitôt l’abbé, mais on maintient pendant deux heures l’arrestation de M. Cadic. En même temps qu’elle crie : Liberté ! la foule chante : nous voulons Dieu ! Des femmes se pressent à la porte du couvent ; les gendarmes sont obligés de les prendre une à une pour les faire sortir. Les manifestants se dérobent aux mains de la force armée et s’épandant dans les dépendances de l’établissement

verra en quoi c’est Un texte cruellement réaliste. Lors de la cérémonie du mariage il y a d’abord la procédure. Comme vu en introduction, la scène débute après que le prêtre ait marié Georges et Suzanne. A ce moment les orgues retentissent et la foule les acclame. Puis les deux époux s’agenouillent côte à côte devant l’autel pour réaliser le sacrifice divin. Ensuite Georges et Suzanne passent dans la sacristie où les assistants défilent devant eux pour les saluer, complimenter et les féliciter :

grandeur des numéros, qu'il réduit à une illusion (poudre aux yeux) • Les hyperboles induisent que la joie de la foule semble exagérée : besoin important d'oublier • Les accumulations marque l'idée d'une dépense extraordinaire (progression éclatée (baraques => foule, hercules, danseuses, escamoteurs) appuie l'idée de frénésie) b. L'immoralité de la fête : • Le comportement bestial de la foule et l'abandon à l'instinct, aux pulsions primaires et basses (métaphores associant élément à animal ; baraques

narrateur a été visité dans son cachot par un prêtre puis par l’huissier. 22 Le narrateur quitte son cachot et se fait conduire dans la voiture qui l’a ramené à Bicêtre vers Paris, le convoi arrive à Paris vers huit heures et demi du matin. La foule, avide de sang, s’est déjà attroupée pour ne pas manquer l’exultation. 23 Une fois arrivé au Palais de Justice, le narrateur a été enfermé dans un cabinet en compagnie d’un autre condamné âgé qui attend à son tour son transfert à Bicêtre.

portrait du héros dont la soif de pouvoir absolu et de reconnaissance le catégorise parmi le plus vil des égoïstes. Son arrivisme, son égoïsme sont à plusieurs reprises explicitement évoqués : « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu’à lui […] une foule noire, bruissante, venue là pour lui, pour lui Georges Du Roy. Le peuple de Paris le contemplait et l’enviait […] il ne les voyait point ». A l’instar de ce bras qui n’est là dans la cérémonie que pour soutenir, supporter la réussite de Bel-ami

perceptions » qui ne sont rien d’autre que des perceptions inconscientes. D’ailleurs de manière implicite l’auteur redéfinit ces perceptions à travers la proposition relative « que nous ne saurions distinguer dans la foule » qui montre le caractère inconscient de ces perceptions. De plus le mot « foule » précise leurs multitude et suggère ainsi la masse que forme ces nombreuses incertitudes, leurs unions qui permet de créer l’apperception. Ainsi l’auteur en introduisant son exemple nous rappelle sa thèse.

voussure supérieure au tympan présente les travaux du mois de l’année et les signes du zodiaque. Sur le linteau, la foule des morts s’avance en attendant leur jugement. Le tympan montre aux chrétiens ce qu’il va se passer après la mort si ils continuent à commettre des péchés. Comme nous le voyons sur le linteau, la foule des morts attend d’être jugée. Sur la partie gauche de la foule, des personnes n’ayant pas commis de péchés (elles semblent être sereines en attendant le jugement), sur la partie

d’origine. Max Yasgur était un fermier, producteur de lait. Le printemps pluvieux ayant détruit ses prairies a donc accepter de loué son terrain a Lang pour le festival. On lui reversa 50 000 dollars qu’il dépensa pour sa ferme. Il est éffrayé par la foule qui commençait à arriver dès le 13 aout puis il est conquis par ses hippies qui lui rappelait ses enfants. L’organisation étant tellement mal organisée, les spectateurs n’avaient ni eau ni nourriture alors les voisins de Yasgur se mirent à de vendre