Foule

elle aussi. La famille est encadrée par deux policiers et une foule ; surtout des femmes ; moqueuse. Les lignes de fuite convergent vers le drapeau tricolore accroché sur le portail de la préfecture, au fond de la rue. La scène est en mouvement , les personnages marchent dans la rue et la quittent. Dans la photo on voit la foule qui suit la scène et un groupe de femmes et de filles qui marchent à coté.Une enfant avance avec la foule guidée par une autre femme.Un policier fais avancer la femme tondue

I – Un texte de contrastes Le texte est structuré de façon rigoureuse sur un renversement : cinq paragraphes pour l’évocation de la fête foraine, et cinq pour le vieux saltimbanque. Les deux parties sont opposées point par point.   a) De la foule à la solitude ‐ Le poème met en scène le resserrement de la focalisation. Pluriel au début qui renvoie à des types d’artistes (Les queues‐rouges ; Les Jocrisses ; Les Hercules ; les danseuses) ou singulier collectif (le peuple, l.1) ou encore emploi

écrit en 1946 qui est une tragédie-moderne et enfin il y avait foule au manoir de jean tardieu écrit en 1966 En quoi c’est scène d’exposition sont-elle particulière ? Nous allons étudier trois textes présents au sein de ce corpus : le malade imaginaire de moliére écrit en 1673 apartenant au style de la comédie-ballet , Antigone de jean anouilh écrit en 1946 qui est une tragédie-moderne et enfin il y avait foule au manoir de jean tardieu écrit en 1966 En quoi c’est scène

La rhétorique est l'art de parler, mais surtout la technique de persuader, et ce, par l'intermédiaire de la parole. Calliclès prône cet art qu'il qualifie de puissant, puisque la rhétorique permet de manipuler la foule par les mots. Socrate et Calliclès se questionnent sur la vérité pour plusieurs aspects de la vie, tels que la justice, le plaisir, le bonheur, la rhétorique et la politique. Ils entretiendront une conversation et se réfuteront sur ces nombreux sujets, auxquels ils ont des opinions

l’endroit de la foule qui l’accompagne. Au tout début, le condamné montre encore un certain courage. > Il essaie tant bien que mal de cacher sa peur. Mais il n’en reste pas moins sensible aux commentaires autour de lui. Pendant tout le parcours, Victor Hugo veut nous démontrer comment la peine de mort est un spectacle insoutenable, le peuple est méchant avec lui. Alors, pendant la plupart du temps, travers les yeux du condamné, on voit une foule qui est insensible à sa détresse. La foule nous est

est celle de la « foule » (p. 130 l.9) sur les boulevards de Paris. Flaubert ne décrit plus des individus comme dans la troisième partie mais les regroupe tous dans l’expression « la foule », une simple masse de gens. L’individu n’est pas capable de résister contre la force de la foule qui « l’étourdit » (p.130 l. 9) comme un « immense flot » (p. 130 l.11). En effet, le champ lexical de l’eau et la métaphore d’ « un immense flot » et « ondulant » (p.130 l.11) caractérise la foule, la société, comme

déchainement de la foule se transmet par ailleurs au lecteur par des aspects visuels et auditifs ;  les bâtons, les barres de fer, la hache, que le peuple hérisse au-dessus de lui, et les images créées par l’auteur : les petits des femmes agités « ainsi qu’un drapeau de deuil et de vengeance » (l.3) et la hache qu’il compare au «  profil aigu d’un couperet de guillotine » (l.11-12) en sont les aspects les plus frappants. A travers cette description, le lecteur peut également entendre la foule qui «  hurlait

arrivée incroyable “les lustres en vibraient” même, de plus Goebbels est associé à tout ce qui rappelle son “charme fou” : “Vulcain fulminant”, “Faust rajeuni” “Siegfried” ou encore “Odin” des divinités nordique. Goebbels demeure “fascinant” pour la foule. Ce “charme” est du qu’à son discours et à son éloquence car, comme le décrit le narrateur, son physique n’est pas impressionnant car il semble “invisible”, de “petite taille”. Son costume est lui aussi pas en accort avec ce “charme”, car il est qualifié

laissent attendre les détails de cette vision. L'indéfini " on " renvoie à tous les participants : spectateurs, narrateur et juge, " l'œil à la mire ". Le couple du jockey et de son cheval aux " yeux sanglants " est sous le regard attentif de la foule qui elle-même deviendra spectacle de délire dans la seconde partie du texte. A la profusion des éléments visuels s'ajoutent deux types de notations auditives : une clameur vague, puis des exclamations. La première phrase du texte est parallèle à

joueur d'orgue de Barbarie et une danseuse amusent la foule. Les tambours annoncent l'arrivée d'un vieux mage, qui capte l'attention de tout le monde. Le rideau s'ouvre alors pour laisser apparaître la curiosité, accompagnée de trois poupées : Petrouchka, la ballerine et le Maure. Le vieux mage joue de la flûte pour user de son pouvoir magique. Il donne vie aux trois poupées, qui se mettent à s'animer et s'agitent en une danse russe, devant la foule ébahie. Le deuxième tableau se déroule chez Petrouchka