Formalisation

travailleurs: élevé, quasi autonome - degré de formalisation: très peu - degré de centralisation: très peu - délégation et faire confiance La production de masse ou en grande série: ex. alimentaire, l'automobile, le textile... → Une complexité technique se renforce. - nombre de salariés sous direction d'un manager: beaucoup de salariés sous la direction d'un contremaitre - niveau hiérarchique: moyen - niveau de compétence des travailleurs: - degré de formalisation: fort - bcp de procédures - degré de centralisation:

laissée au personnel, le système étant alors, selon Whitley (1999), plus informel. Mais, à l’inverse, le système peut être décentralisé, le personnel disposant alors de plus d’autonomie et cette décentralisation impliquant souvent une certaine formalisation des contrôles. Ex post versus Ex ante Les contrôles peuvent également être envisagés dans leur dimension temporelle. Ainsi, les procédures mises en place au sein d'un SCG sont des contrôles dits ex ante tandis que l'analyse des écarts entre

délégation du pouvoir de décision. Cette phase s’achève par une crise de contrôle lorsque la décentralisation des décisions rend les fonctions trop autonomes ; – la phase de formalisation est caractérisée par la mise en place de procédures et de règles de coordination. Cette phase prend fin lorsque l’excès de formalisation conduit à une crise de bureaucratie ; – la phase de collaboration est caractérisée par la mise en œuvre de groupes autonomes et responsables fondés sur la confiance. Cette phase

implication de toute l’entreprise pour arriver à une qualité quasi-parfaite en réduisant au maximum les gaspillages ; et en améliorant les produits de sortie. APPLICATION 1 Points de convergence avec les théoriciens classiques Formalisation et standardisation des procédures : Division horizontale du travail. Standardisation (conformité des produits). Pourquoi ? Car caractère hautement technique et très réglementé de la maintenance aérienne : « règles

comptent redynamiser le Centre de Gestion Agréé (CGA) Anosy qui a pour objet d’apporter une assistance en matière de gestion aux opérateurs aux PME et de contribuer à faciliter l’accès au crédit, à l’élargissement de l’assiette fiscale et à la formalisation des entreprises exerçant dans le secteur informel. Le PPIC souhaite recourir au service d’un comptable pour appuyer le CGA dans la réalisation de ses objectifs. 2. MISSION PRINCIPALE Sous la responsabilité du Secrétaire National, le consultant

successifs Durée Pauses, réflexion, maturation (« surplace ») Du temps sur chaque détail (« usure ») Objectif Empathie (« tout le monde s’y retrouve ») Intérêt personnel (égoïsme, guerre, intimidation) Forme Orale & poignée de main / formalisation Formalisations de tous détails (contrat légère dense) Attente vis à vis de l’autre partie Signaux autorisant la confiance (= désir d’être rassuré) : le « courant » doit passer Preuves de professionnalisme (questions directes, tests, références) Risques

mis en œuvre entre ces différentes unités. Il faut alors définir les tâches qui doivent être accomplies dans l’entreprise et concevoir une structure organisationnelle permettant la coordination de ces tâches entre les différents membres. La formalisation de la structure organisationnelle est souvent représentée par un organigramme (présentation de la répartition des responsabilités et du pouvoir, de l’organisation de la hiérarchie et de la distribution des tâches au sein d’une structure). La

formé pour environ 200 jours au total sur un an entre 2005 et 2006), l’entreprise souhaite aller encore plus loin et passer d’une gestion des compétences à un management par les compétences. Pour cela, elle a souhaité agir conjointement sur une formalisation et une consolidation de ses compétences-clés, ainsi que sur une amélioration de ses modes de fonctionnement. Elle engage donc une démarche compétence en 2007 Comme d’autres, les Ateliers Normand ont eu à faire face à des aléas économiques ces dernières

traités dans les rapports et la manière dont ils sont présentés. - Le risque de fraude et l’information publiée sur la manière dont est géré ce risque. - Les dispositifs de contrôle mis en place au sein de la société et leur niveau de formalisation. - Les interventions de tiers telles que les ratings réalisés par les agences d’évaluation ou les missions de conseil effectuées par des cabinets indépendants. 1 6 pour ces critères, une analyse identique sur l’exercice 2005 a été

missions d’audit prescrites, par la proximité effective de l’organisme et de sa réalité ; ➢ l’ordonnancement et la programmation efficiente des différentes tâches ; ➢ le suivi effectif des travaux de contrôle entrepris ; ➢ la formalisation constante des relations du comité d’audit avec l’organisme, les organes de contrôle et autres ; ➢ la préservation de l’autorité morale du comité. Par ailleurs, les membres du comité ainsi que les personnes invitées à ses réunions