Fordisme Aspects Négatifs

de nombreuses acceptions de la notion qui s’est répandue à travers le monde, il est admis qu’il s’agit de la prise en compte des effets des activités des entreprises sur l’environnement social et naturel et le fait de prendre en considération ces aspects dans leur stratégie et leur gestion, ainsi que d’en rendre compte aux tiers concernés. En Europe notamment, à partir de la fin de la décennie 1990, il a été considéré que la RSE était la contribution des entreprises au développement durable. En effet

organisées de sorte qu'un certain régime d'accumulation est possible) successifs. Le plus célèbre mode de régulation est le fordisme. Ce concept vient d'eux. Le fordisme, selon eux, a permis la période de forte croissance de forme actuelle du K appelé les 30 glorieuses. Le fordisme se définit par une certaine organisation des formes institutionnelles vues plus haut. Le fordisme est une opposition scientifique du W (prolonge le taylorisme) en vue d'obtenir un par l'obtention continue de la productivité

L’approche rationnelle et les théories traditionnelles : Taylor, Ford, Fayol, Weber. 2. L’approche humaniste et la théorie des relations humaines : Mayo, Maslow, Herzberg, Mc Gregor, Lewin) 3. L’approche sociotechnique : les théories qui concilient les aspects technique et humain. ( Emery, Trist, Crozier/ Friedberg.) 1- L’approche rationnelle des organisations et les théories traditionnelles a. Taylorisme : Années 30 en France. Ouvrier puis ingénieur, il expérimente l’organisation scientifique du

mondialisation. Les mouvements sociaux et citoyens font pression sur les firmes afin de leur demander des comptes. Ils ont en effet réussi à faire porter l’attention sur les enjeux de la conduite des entreprises. En effet, on avait tendance à oublier ces aspects avec le renforcement du droit du travail, avec l’essor de l’Etat Providence et la période des Trente Glorieuses. Par ailleurs, il ne faut pas sous estimer les enjeux géopolitiques sous-jacents au développement du concept de responsabilité d’entreprise

Problèmes généraux des entreprises. Chapitre I : Introduction sur les aspects cognitifs. Les économistes considèrent que les entreprises sont des boites noires qui maximisent le profit. On va étudier ce qui se passe dans la tête des décideurs, l’aspect cognitif. «Cartes cognitives » chaque individu a un schéma de penser spécifique, qui nous permet de filtrer l’information de la rendre compatible avec notre cerveau, nos cerveau. Ca vient de ses expériences, de son éducation, de sa formation

travail. L’analyse d’une investigation statistique montre que le rapport au travail présente 3 dimensions principales : degré de bonheur, degré de pression, individualisation ou caractère collectif du travail. La souffrance n’est pas exactement le négatif du bonheur : l’absence de bonheur combinée à une forte pression crée le malheur mais il existe aussi des situations où le travail ne permet pas le bonheur mais tolère le retrait. Les principales composantes du statut social, capital économique

"normaux" au sens sociologique du terme, c'est à dire que toute vie en société débouche inévitablement sur des conflits. De plus, à l'intérieur des groupes en conflit, ce dernier renforce leur identité commune. Le conflit a, de ce point de vue, un aspect intégrateur. Cependant pour ce qui concerne plus particulièrement les conflits sociaux, ils peuvent nuire à l’environnement dans lequel il se passe et c’est notamment le cas en entreprise. On peut voir le conflit social en entreprise selon deux manières

Karl Marx 11 2.2. Taylor 20 2.2.1. Principales caractéristiques du travail manufacturier 20 2.2.2. L'organisation scientifique du travail 26 2.3. Ford 29 2.4. L'école des relations humaines 35 2.5. Toyotisme 41 3. Le travail et ses aspects 44 3.1. Le marché dual du travail ou la segmentation du marché du travail 44 3.3. La division sexuelle du travail 51 3.4. L'organisation du travail au début du 20ème siècle 69 3.5. Chômage et protections sociales 73 3.5.1. Le chômage 73

Qualification des travailleurs (compétences du salarié) LAFFER : Lorsque la pression fiscale est trop importante, cela induit à des effets négatifs. Au lieu d’inciter à investir les entrepreneurs et de travailler aux salariés, la pression fiscale va produire la baisse des investissements et la baisse des efforts de travail des salariés. Dans son aspect macro, la croissance dépend de la répartition des revenus sur le capital et sur le travail. Dès lors que la croissance augmente, cela peut avoir

d’investissement) permet  production ; l’innovation et gain de productivité (NTIC), monopole provisoire et rente pour financer la RD B les conditions de la croissance : les irrégularités de la croissance (PT et destruction créatrice, exemple du fordisme aux NTIC, la fin du paradoxe de Solow aux Etats-Unis) ; les limites du déversement d’emploi ; l’investissement ne dépend pas seulement des profits mais aussi de la demande effective II les effets dur la demande : A le multiplicateur d’investissement