Problèmes Généraux des Entreprises
Chapitre I : Introduction sur les aspects cognitifs.
Les économistes considèrent que les entreprises sont des boites noires qui maximisent le profit.
On va étudier ce qui se passe dans la tête des décideurs, l’aspect cognitif.
«Cartes cognitives » chaque individu a un schéma de penser spécifique, qui nous permet de filtrer l’information de la rendre compatible avec notre cerveau, nos cerveau. Ca vient de ses expériences, de son éducation, de sa formation. Un économiste (il va être dans l’optimisation) ne pense pas de la même façon qu’un juriste (il va âtre dans les choix légal ou non) par exemple. Si dans une organisation il y a une diversité cognitive (soit des profits différents) c’est positif car ça ouvre des solutions diverses. Cependant trop de diversité cognitive peut créer des coûts car les gens ne se comprennent pas suite à leur formation différente. Toutes les difficultés des organisations c’est de faire vivre ces cartes diverses tout en arrivant à gérer quand il y en a trop. Pour cela il faut une grande intelligence pour se mettre d’accord et adapter sa carte cognitive à autrui. Il faut adapter sa façon de penser (qui est un grand talent, rémunéré).
Les décisions prises selon les cartes cognitives sont la finance comportementale ou l’économie comportementale. C’est un grand courant de pensée. Dans la finance mathématique, on décrit l’individu comme rationnel, est rationnel l’individu qui face à une information donnée va prendre la décision la plus adaptée. Les économistes ont élaboré des actions de la rationalité. Ce sont les décisions qui devraient être prise si une personne est rationnelle. Cet individu la les économistes l’appelle homo-économicus, l’individu optimisateur, rationnel, intelligent qui ne fait jamais d’erreur. « C’est toujours lire les petits caractères en bas des contrats d’assurance ». Finalement toute la théorie classique, décrit l’individu ainsi. A côté de lui on a l’humain, qui a été mis