Fordisme Aspects Négatifs

souvent les trois aspects en diagnostiquant l’organisation à la fois comme une entité, comme un processus et comme un ensemble de règles et principes. Int. Chap. 1 Chap. 2 Chap. 3 Chap. 4 Chap.5 9 Auteur et copyright Sommaire Retour ← → SCFC D’UT1 Introduction : Une multiplicité de définitions  Une profusion de définitions selon la perspective théorique, l’angle d’approche et le centre d’intérêt des auteurs ; chacun mettant l’accent sur un aspect précis de l’organisation

du rythme de croissance Une phase de crise : retournement brutal de la conjoncture Ou une phase de ralentissement : le rythme décélère, baisse de la croissance mais pas de la production. Une phase de récession : chute du taux de croissance, il est négatif et la production recule, au moins deux trimestres consécutifs. Exemple : 1974, 1993, 2009 Une phase de dépression : forte chute de la production, phénomène durable qui s'accompagne d'une déflation (baisse des prix et des salaires). Exemple : 1929

du monde occidental (en incluant le Japon). Croissance économique : hausse de la production et de la richesse nationale. Il faut s’interroger sur les causes, les manifestations et les conséquences de cette croissance, tout en tenant compte des aspects conjoncturels et structurels, des contextes politique et international, des différents niveaux (économiques, territoriaux, sociaux...), et enfin des débats théoriques (libéralisme et keynésianisme, théorie des cycles...). De fait, les « Trente Glorieuses »

plus forts gains de productivité ( environ 2% par an ) mais leur emploi a stagné ( environ + 0,3% par an ), le Japon gardant une avance certaine.  On pourrait en conclure que les gains de productivité doivent  être remis en cause pour leurs effets négatifs pour l'emploi, mais n'est-ce pas oublier que ces effets peuvent être compensés ?  La baisse de la durée du temps de travail peut compenser les gains de productivité , la baisse des prix et l'apparition des nouveaux produits favorisent la production

beaucoup plus grande. Certaines institutions tentent toutefois de limiter ce pouvoir des spécialistes (« l’intelligence organisée des spécialistes » JKG). Le savoir-faire de l’ouvrier qualifié du XIXe siècle a été transféré au système de machines par le fordisme et le taylorisme. Actuellement, les comptables sont remplacés par des systèmes de comptabilité. La réalité de l’entreprise s’est ainsi détachée de celle de son patron. II. L’ORGANISATION DE L’ENTREPRISE A. LA RATIONALISATION DE L’ENTREPRISE 1

plus forts gains de productivité ( environ 2% par an ) mais leur emploi a stagné ( environ + 0,3% par an ), le Japon gardant une avance certaine. On pourrait en conclure que les gains de productivité doivent être remis en cause pour leurs effets négatifs pour l'emploi, . II. La baisse de la durée du temps de travail peut compenser les gains de productivité et, surtout, la baisse des prix et l'apparition des nouveaux produits favorisent la production et l'emploi. (annonce du plan ) a) la baisse

travail et apparaît avant la Première Guerre Mondiale aux Etats-Unis - enfin, par le fordisme (organisation du travail industriel, mise au point par Henry Ford, qui associe le travail à la chaîne à une politique de hauts salaires afin d'encourager la consommation) : les salariés profitent en partie de la hausse de la productivité ; le fordisme est typique des Trente Glorieuses ; le décalage entre taylorisme et fordisme explique en partie la crise de 1929. D'où provenait le capital des entreprises ?

favorable au exportation. La politique impérialiste des pays capitalistes est la suivante : il faut obtenir le maximum de nouveaux débouchés extérieurs afin de développer l’industrie. La plus part des pays développe l’impérialisme par la force. D’un aspect économique, les colonies permettent un marché privilégié réservé à chaque métropole, de plus, elles absorbent les biens de consommation pour développer les moyens de communication. Les colonies sont également source d’approvisionnement de matières

rapides de la demande. La flexibilité peut revêtir de multiples aspects : variation des horaires, des salaires, des effectifs. Cela nous amène a nous demander si une flexibilité accrue de l emploie t des salaires permettrait elle la réduction du chômage ou si au contraire elle en détruit plus qu elle n en crée. I. La flexibilité est favorable à la baisse du chômage a) la flexibilité de l emploi Depuis la crise du fordisme, la flexibilité du travail, que l’on pourrait définir comme la facilité

du travail répétitif La définition du taylorisme donnée par l’auteur est un mode d’organisation, contrôlé par la direction de l’entreprise, qui vise à rendre le travail des salariés plus efficace en en maîtrisant tous les aspects – rythme, contenu, liens avec le travail des autres salariés – quelque soit la personne qui effectue le travail . Le travail répétitif gagne du terrain Les chiffres issus de l’enquête «  Conditions, organisation