Fonction exponentielle

logique. 3. Fonctions logiques Définition : Une fonction logique est le résultat de la combinaison de plusieurs variables logiques. Exemple: 4. La table de vérité La table de vérité est un tableau rassemblant les différentes combinaisons de variables ainsi que le résultat de la fonction logique réalisée. |a |b |L | | | | | | | | | | | | | Compléter la table de vérité donnant l'état de L en fonction de a et b.

rappels et compléments sur les fonctions trigonométriques, arriveront leurs fonctions réciproques. Les rappels sur l’intégrale seront suivis de la présentation de méthodes de calculs indisponibles en terminale et de compléments sur les intégrales généralisées. Etc. Aussi, ne vous fiez pas à l’impression de déjà-vu qui sera fréquente...les difficultés arriveront toujours trop vite. 2 Première partie pour tous x, y > 0, ln(xy) = ln(x) + ln(y). Fonctions usuelles x 1 Alors pour x

ℝ une fonction définie sur I à valeurs réelles. Exprimer verbalement la signification des assertions suivantes : a) ∃C ∈ ℝ , ∀x ∈ I , f (x ) = C b) ∀x ∈ I , f (x ) = 0 ⇒ x = 0 c) ∀y ∈ ℝ , ∃x ∈ I , f (x ) = y d) ∀x , y ∈ I , x ≤ y ⇒ f (x ) ≤ f (y ) e) ∀x , y ∈ I , f (x ) = f (y ) ⇒ x = y . Exercice 6 Soit I un intervalle de ℝ et f : I → ℝ une fonction définie sur I à valeurs réelles. Exprimer à l’aide de quantificateurs les assertions suivantes : a) « la fonction f s’annule » b) « la fonction f est

d’une v.a. discrète 3 Fonction de répartition 4 Moments d’une v.a. discrète 5 Quelques lois usuelles discrètes I. Elhattab (ENCG) Variables Discrètes 2011 - 2012 2 / 27 Définition de variable aléatoire (v.a.) Définition de variable aléatoire (v.a.) I. Elhattab (ENCG) Variables Discrètes 2011 - 2012 3 / 27 Définition de variable aléatoire (v.a.) Variable aléatoire Définition Une variable aléatoire X est une fonction définie sur Ω à valeurs dans

. . . 3 Fonctions continues 3.1 3.2 3.3 17 31 D´efinitions et notions de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 3.1.1 Sous–ensembles de IR et de C et fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 3.1.2 Continuit´e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 Propri´et´es de fonctions continues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 3.2.1 Fonctions continues r´eelles

. . . . . . . . . . . . . . 1.3 Solutions des exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonctions de références 2.1 Rappels . . . . . . . . . . . . . 2.2 Les fonctions puissances entières 2.3 Fonction valeur absolue . . . . . 2.4 Fonction racine carrée . . . . . . 2.5 Fonction inverse . . . . . . . . . 2.6 Fonction exponentielle . . . . . 2.7 Fonction logarithme . . . . . . . 2.8 Exercices . . . . . . . . . . . . 2.9 Solutions des exercices . . . . . 15 15 16 16 19 19

la pression sur le piston (application d’une force de surface). Le travail élémentaire reçu par le fluide pour un déplacement élémentaire est dW s = dF ext .dl = − PSdl = − PdV 2 W12 = ∫ − PdV 1 2 V S 2 dl 1 Diagramme de Clapeyron : P en fonction de V Travail dû à des machines (pompe, turbines) Chaleur: Elle est d’origine microscopique transférée au système Ce type de transfert est associé à l’agitation permanente désordonnée des molécules de tout le système, appelée agitation thermique

a e Charles SUQUET DEUG MIAS 2 et MASS 2 2002–2003 Table des mati`res e 1 Espaces Probabilis´s e 1.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . ´ e 1.2 Ev´nements . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 La probabilit´ comme fonction d’ensembles e 1.4 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5 Remarques sur le choix d’un mod`le . . . . e 1.6 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Conditionnement et ind´pendance e 2.1 Probabilit´s conditionnelles . .

$A$2:$C$10. • Quand, dans une formule, on veut utiliser une donnée écrite, il faudra la mettre entre guillemets. Exemple : Si la case A4 est CADRE, alors on lui donne 1000€ de prime, sinon, 0€ : SI(A4= "CADRE" ; 1000 ; 0). • Cette astuce fonctionne aussi quand on souhaite que la case reste vide (Par exemple une case vide au lieu du 0 dans la formule précédente). Pour avoir une case vide, on va écrire "", soit deux guillemets à la suite sans rien au milieu. • Les plages de données sont toujours

signaux ne peuvent avoir que deux niveaux, soit le niveau 1, soit le niveau 0. Un interrupteur, par exemple, est un circuit digital. Les circuits logiques utilisent la technique digitale Les circuits logiques ont besoin d’une alimentation pour fonctionner, cette alimentation ne sera pas représentée pour ne pas compliquer les schémas, mais elle existera toujours !!! 2°) Introduction : * En logique binaire, on a deux symboles possibles : 0 et 1. * En électricité, on a deux possibilités : présence