Finalisme

la représentation qui consiste à élaborer en pensée des images à partir des objets du monde réel mais qui ne sont pas immédiatement présents aux sens * Pensée préopératoire et prélogique : * Animisme : choses conçues comme animées * Finalisme : action définie par son résultat * Réalisme : pensées considérées comme des objets * Pensée intuitive : concentration sur l’apparence des choses et absence de raisonnement logique * Raisonnement intuitif : représentation des perceptions

élément est l’effet Usages philosophiques : • Aristote : ex de la statue : 4 causes - matérielle (marbre), formelle (personnage représenté), efficiente (sculpteur et son travail), finale (but de l’artiste : beauté ou gloire) • finalisme : consistait à voir des causes finales de l’œuvre dans la nature, n’est plus une position facilement tenable : on n’accepte plus d’expliquer par exemple la forme d’un organisme par une « intention naturelle ». on s’en tient plus rigoureusement aux

elle inclut des raisonnements. Mais sommes-nous certains de toujours bien raisonner ? Les hommes ont spontanément tendance à ne pas analyser suffisamment la puissance de leurs désirs ce qui les conduit à des illusions. Spinoza le montre à propos du finalisme dont il explique la genèse. Tout d’abord, nous constatons qu’il existe dans la nature des choses utiles dont nous ne sommes pas les auteurs. Nous croyons alors qu’elles ont été créées par des êtres supérieurs qui les ont disposées à notre intention

, l’enfant ne peut pas prendre en considération la pensée d’autrui. L’enfant n’a pas acquis la réversibilité : conservation et transitivité acquises.· L’animisme : l’enfant conçoit les choses, les objets comme vivants.· Finalisme : l’enfant voit l’action par son résultat et définir les choses par l’usage· Syncrétisme : « tout est lié ». l’enfant trouve une raison à tout et le hasard n’existe pas.3. opération concrètes (intelligence opératoire)6/7 ans à 10 ans-Réversibilité

d’un saint au nom d’un finalisme insoutenable (la rade « formée exprès ») et raisonne en occultant ce qu’il a sous les yeux, c’est` à-dire la réalité alarmante (« a priori »). A cause de Pangloss, Candide est dénaturé : il ne peut avoir prise sur la réalité ; il est détourné de l’expérience et du bien. L’Optimisme est ensuite réduit métaphoriquement à un débris flottant (la planche). Le chiffre élevé des victimes du tremblement de terre achève de rendre absurde le finalisme de Pangloss : si l’on se

évaluation et quels remèdes raisonnables pouvons-nous envisager? Beaucoup pensent que la technique détruit la nature parce qu'il se font de la nature une conception de type religieuse dont l'expression philosophique est la croyance finaliste (le finalisme). On peut la résumer par la formule qui dit que "la nature fait bien les choses" ou "qu'elle ne fait rien en vain". Dès qu’on forme cette croyance, on en vient logiquement à penser ce que l’homme produit comme une perturbation d'un ordre naturel

demander de quelle réalité il s'agit . Dire que l'avenir est comme une page blanche, c'est estimer que rien n'est écrit d'avance. Mieux encore, rien ne peut être écrit parce que l'avenir n'a pas d'existence. On voit que c'est le fatalisme ou le finalisme, Rien n'est écrit, tout est à écrire l'homme est libre de son histoire. Mais le sens de l'histoire n'appartient qu'à celui qui la fait. Toutefois, ne peut-on pas trouver quelques déterminismes dans l'histoire ? L'avenir est-il si incertain ? Ne peut-on

grande importance. La Nature est, si on s’en tient à des paradigmes bien campés dans la dualité, est pensable sous l’angle du mécanisme ou sous l’angle du finalisme. Comme système mécanique, elle est semblable à une grande horloge dont la science chercherait les rouages, en repérant en elle des causes et des lois invariables. Sous l’angle du finalisme, elle est organisée de manière intelligente pour réaliser des fins. Kant vit au siècle des triomphes de la physique mécaniste qui va de Descartes, Galilée

organes se complètent. De cette unité dérive le finalisme (on a des yeux pour voir). C'est un horizon que l'on ne peut dépasser (anti-finalisme : Épicure qui était causaliste : on voit parce qu'on a des yeux). Le plus grand finaliste est Aristote, il pense qu'il y a une mécanisme du monde. Tout à un sens, un but. Le savant doit recherche une causalité et non les effet produit par les buts. Il y a une méthode de recherches. Descartes ne dit pas que le finalisme est faux. Ça ne rend pas service aux savants

devait à unemarquise, qui la tenait d’un page, qui l’avait reçue d’un jésuite, qui, étant novice, l’avait eue en droite ligne d’un des compagnons de Christophe Colomb. » Ibid., p. 153. 11 Dans son Dictionnaire philosophique, Voltaire rejette le finalisme naïf de l’abbé Pluche : « tous les nez ne portent pas de lunettes ». VOLTAIRE, article « fin, causes finales », in Dictionnaire philosophique, éd. R. Pomeau, Paris, Gallimard, 1964, p. 67-68. Voir le commentaire de E. Martin-Haag : «Qu’on soit leibnizien