Finalisme

de la matière (pneuma, psyche); l'âme est quelque chose de physique et indissociable, le cœur un élément central. Les 4 causes : cause efficiente (actionnaire), cause formelle (idée, forme), cause matérielle (matériau), cause finale (résultat) finalisme(=téléologie) : penser que rien dans la nature n'est fait en vain/hasard mais que tout est fait en vue d'une fin. Nature = cause efficiente de toute production naturelle mais ses moyens et ses buts restent cachés tripartition de l'âme : -âme

Ccl : La Nature reside dans toutes choses et imprime en elle son changement de manière nécessaire. Nous comprenons le changement dans une chose en faisant intervenir la causalité, qui s’inscrit dans le cadre d’un model explicatif. Le finalisme est un paradigme dans lequel la causalité enveloppée l’idée que la Nature est orientée par des fins. Chez Aristote, la nature est cause de 4 manières différentes :

développée. Dans plusieurs romans du cycle des Rougon-Macquart Zola utilise le modèle de la machine à vapeur pour figurer le dynamisme ambigu de l’histoire, de la société et de la vie[1] en tenant à distance les idées de providence divine ou de finalisme historique[2]. Dès les plans préparatoires du cycle il est soucieux d’éviter la tendance philosophique de Balzac[3]. Il trouve dans la science et dans le recours au modèle de la machine à vapeur le moyen d’expliquer le monde par des lois internes

au 16eme et 17ème siècle avec des découvertes comme l'héliocentrisme, la gravité de Newton,... Tout ceci est du à un changement de paradigme (de vision du monde). On ne fait plus de science comme dans l'Antiquité, la physique comme Aristote et le finalisme reposant sur une physique qualitative et un cosmos organisé et fini qui pense que tout a une place prédéfinie et s'y dirige naturellement, pas d'expérience, pas de preuve, tout a un but. Elle est remplacée par l'idée d'un univers infini, dont la

ne donne pas l'heure d'elle-même pas plus qu'elle ne se remonte d'elle-même). Première partie: le vitalisme d'Aristote. Aristote assimile la vie à l'âme, parce que c'est l'âme qui rend la vie possible. Ce vitalisme s'accompagne d'un finalisme selon lequel c'est la fonction qui crée l'organe et détermine l'articulation des différents organes dans le vivant. Les phénomènes vitaux semblent impliquer la finalité. Les éléments du corps sont adaptés les uns aux autres, existent en fonction

l’orientation scientifique de la connaissance commune. On doit donc se détacher de ces jugements, « bon », « mauvais », ce vocabulaire subjectif utilisé induit une orientation vers la connaissance objective faussée. Il dénonce ensuite la persistance du finalisme dans la démarche scientifique, privilégiant l’action et l’intervention des causes finales pour expliquer l’ensemble des phénomènes. Celui-ci fait pour Bachelard obstacle à une connaissance scientifique objective. L’accès à la connaissance scientifique

en pensant que plus elles s'en éloignent moins elles sont cultivées. Expérimentation L'expérience scientifique peut être définie comme expérimentation, CAD un contrôle méthodique de la validité d'une hypothèse en la confrontant à des faits. Finalisme Doctrine qui explique l'enchaînement des phénomènes entre eux pas une causalité finale. S'oppose à explication causale, qui explique ce qui est par ce qui précède. Le vitalisme est, par exemple en biologie, une théorie finaliste alors que le mécanisme

machine, fatiguent et perdent en énergie… C’est pourquoi Spinoza critique ceux qui, s’émerveillant devant l’harmonie du vivant, en viennent à juger qu’il doit y avoir des causes finales dans la nature… Il s’agit donc ici d’une critique radicale du finalisme qu’il faut examiner afin de répondre à la question posée. Deuxième partie Le vivant est donc à première vue un ensemble de systèmes et d’appareils : On constate par exemple chez tout animal l’existence d’un système nerveux, cardiaque, respiratoire

n’existait pas * Activités productives comme Artisanat méprisées * Agriculture valorisée : Grecs dans l’arrière-pays, propriétaires fonciers, haute place dans la hiérarchie des citoyens * Importance des outils et du finalisme * ACQUERIR ce qui existe déjà par : * Guerre * Dons * Cité dépendante de l’échange même si chacun doit rester dans son domaine * XENOPHON : * Mépris des activités productives = Négliger ses devoirs de

l’improvisation se révèle probablement irréductible et fondamentale. II-Les limites de la programmation En faite , la machine ne donne que l’illusion qu’elle répond à propos. Il faut qu’elle soit programmée pour cela , mais, comme dit Ruyer dans «  Néo-finalisme » : «  On peut concevoir un automate versant des larmes bien imitées quand on lui dit : «  votre recours en grâce a été rejeté » mais alors, il restera impassible si on lui dit «  ayez du courage l’exécution est pour ce matin ». Autrement dit , une