Faut Il Toujours Obéir Aux Lois

LA LIBERTE : definition etre libre n'est pas a prendre au sens quotidien du terme comme "etre libre c'est faire ce que je veux ", il ne faut pas voir la liberté comme une possibilité d'assouvissement des désirs mais plutot dans son terme philosophique comme l'autonomie du choix..La liberté est alors non pas tant un fait qu'une exigence dont l'homme a à se montrer digne. Le terme liberté se revele ambigu. LE DETERMINISME: quant au determinisme son principe affirme que tous les phénomènes sont liés

seconde guerre mondiale, on assiste à une surenchère graphique entre les Allemands et le gouvernement de Vichy. Les lois de propagande ont pour but d’être efficace. Pour être efficace, le concepteur de l’affiche doit obéir à sept règles : - la règle de l’ennemi unique. On doit le désigner et il doit être reconnaissable par tous. Ainsi, l’image du Juif est pratiquement toujours identique. - la loi de « contamination ». on lui agrège d’autres ennemis, comme par exemple le « judéo bolchevik »

non seulement très belle, mais très raisonnable, et il n'y a rien de plus absurde ni de plus déraisonnable que de former des désirs téméraires et de vouloir que les choses arrivent comme nous les avons pensées. Quand j'ai le nom de Dion à écrire, il faut que je l'écrive, non pas comme je veux, mais tel qu'il est, sans y changer une seule lettre. Il en est de même dans tous les arts et dans toutes les sciences. Et tu veux que sur la plus grande et la plus importante de toutes les choses, je veux dire

nous faire comprendre qu'il faut savoir prendre des initiatives et ne pas uniquement suivre la route tracé par la société . Partant de cela nous pouvons émettre la problématique suivante : « L’Homme est-il libre de suivre sa conscience dans notre société, c’est-à-dire sans « déranger la stabilité sociale ». Les difficultés qui se posent dès lors sont par exemple : la marginalité vivre en dehors de celle-ci ou bien être un « pantin » et suivre comme un mouton les lois sans vouloir les comprendre.

Ce texte est difficile parce qu'il illustre, comme l'aime à dire Pascal, une pensée " de derrière la tête " ( cf. 245 [310] et 311 [336] ). Les maîtres mots ne sont peut-être pas ceux que l'on croit ; les concepts qu'il faut en tirer ne sont pas nécessairement transparents aux mots. Si donc les rapports de la justice et de la force sont le sujet du texte, cela ne veut pas dire que le texte définisse l'une et l'autre et traite par là honnêtement son sujet. Les rapports de la justice et de la force

Lumière. Il est difficile pour chaque individu de se sortir de la minorité car il a toujours été soumis à ce régime qui prône le « Ne réfléchissez pas, mais obéissez». Les gens ne savent donc pas vraiment comment penser par eu même. Kant ajoute que la population devrait plutôt réfléchir (liberté de penser) mais aussi obéir (liberté d’agir). Il faut donc faire un usage public de la raison tout en respectant les lois, ce que Kant appel l’usage privé de la raison. En résumé, les gens doivent penser ce

Il n'est d'autre remède à cette maladie épidémique que l'esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les moeurs des hommes, et qui prévient les accès du mal; car dés que ce mal fait des progrès, il faut fuir et attendre que l'air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent, pas contre la peste des âmes; la religion, loin d'être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. Ces misérables ont sans cesse présent à l'esprit l'exemple

Aux côtés de Grégoire, Duport, Robespierre déploie ses arguments au moment de la première discussion sur les propositions du comité de législation quant aux conditions d'éligibilité ; Contre Dupont de Nemours qui soutient que pour être électeur il faut avoir une propriété. Alors Robespierre se pose une question finalement lors de la première séance de l’assemblée constituante, à savoir, comment celles et ceux qui sont exclus de fait de la représentation politique pourraient faire passer l'idée

devant la loi. Or, comme dans tout principe il y a une faille. Au niveau juridique, « les supérieurs » (fr62) joue de leur pouvoir pour parvenir à leurs fins personnelles. Pascal présente la justice comme il présente le statut de supérieur. Il faut obéir aux lois et aux « supérieurs » qu’ils soient justes ou pas. Une loi doit être respectée dans la mesure où elle est loi. Le peuple face à cette puissance est aveuglé, il a « trop de croyance » et il est la victime des supérieurs qui n’ont point trouvé

façon d'être... Est t'il bon d'avoir des préjugés ? Et sont-ils influençables par autrui ? Mais faut-ils que l'on cherche la vérité pour rejeter l'autorité d'autrui ? Et faut t-il toujours accepter l'autorité d'autrui ? Le texte est repartit sur trois arguments. Le premier argument est la thèse que nous montre que Kant. Il nous parle des préjuger et l'autorité d'autrui c'est a dire de se faire obéir par les autres, on le voit grâce au déterminant possessif « car » a la ligne 3. Donc le premier